Le Rire Vulgaire

leurs vies en danger, leur santé, ne vous rendez vous pas compte de la douleur, la souffrance et la fatigue ce cela engendre ? Ces enfants qui doivent travailler plus de 14 heures par jours dans des champs, des mines où leur santé n’est plus qu’un vulgaire mot. Pensez-vous aux vapeurs de charbon inhalées ? Les risques de blessures ? Sans parler des maladies sexuelles qui peuvent être constatées dans le milieu de la prostitution. De plus, ces enfants ne sont plus que des machines, vide de pensées, d’esprit

on ne peut plus vulgaire sur un sujet considéré comme sérieux, de plus la mise en avant des caricature de personnalité existantes peut créer des tension sûres avec les personnes concernés. L'humour peut aussi permettre à des humoristes tel que Jeremy Ferrari de se faire de l'argent sur les malheurs d'autres personnes. III/Humour plaisante ou déplaisante ? Lorsqu'il s'agit de sujet vraiment trop grave tels que les guerres ou des idées religieuses, il vaut mieux ne pas en rire. Avec le cinéma

Amélie une tâche comptable où les chiffres deviennent le symbole de l’incapacité qu’elle incarne aux yeux de sa supérieure. À l’image de Sisyphe, elle est enchainée à une tâche qui nie son identité. Puis Fubuki la relègue aux « chiottes », terme vulgaire employé par la narratrice pour illustrer le paroxysme de sa déchéance. À travers l’entreprise, c’est le Japon qui la renie. Comme on lui refuse l’identité nippone qu’elle s’était choisie, Amélie se réfugie dans son univers mental. Elle s’évade

-Trouver dans le texte AntithèseLes qualités de Socrate s’opposent aux activités humaines, activités si banales qu’elles ne méritent même pas de qualificatifs mélioratifs.« tant »Adverbe Achève la différence entre Socrate et les humains «  mépris du vulgaire -Le thème antique de l’éloignement de la foule est considéré comme vertu de sagesse. Socrate n’échoue pas avec les femmes ou en politique mais choisi de ne pas épuiser ses qualités pour des combats qui n’en valent pas la peine.Conclusion Rabelais

haute société se rencontrent pour parler de leurs œuvres, de la politique, de leurs vies… On y développe l’art de la conversation, les conversations doivent être honnêtes. Bienséance : parler bien pas de mots grossies. Comédie : Objectifs : faire rire, devise : CASTIGAT RIDENDO MORES (il corrige les mœurs(les habitudes, les coutumes) en riant). Cadre : Epoque contemporaine, en France

le monologue est tres peu utilisé : la douleur est allégée. La Cie crée une distance entre le spectateur et les pers, ne recherche pas l’identification (ds l’Avare Arpagon fait un monologue dans lequel il exprime sa douleur ms Molière y montre le rire du spect et neutralise l’identification) Dans la Cie svt une fin magique qui empêche la Cie de mal tournée. Il y a un retour à la raison par des fins invraisemblable. Cie rétablit l’harmonie au prix de la déraison alors que la Tie préfère l’incurable

y tenir : seule cause de sa domination ? « quoiqu’il rappelât la forme d’un escabeau et jurât avec les beaux meubles anciens qu’elle avait » : -Contraste avec la proposition complétive précédente : descriptions antithétiques. -Siège soudain vulgaire, épanorthose avec « quoiqu’il » (on corrige la 1ère proposition) : « escabeau », « un siège de bois sans bras ni dossier » : dépourvu de tout confort, n’a plus l’apparence d’un trône. -Opposé aux « beaux meubles anciens » : adjectif mélioratif,

de quelle façon s’exerce la tyrannie de cet empereur fourvoyé, et le sens que cela peut porter au XX°s. Nous verrons dans une première partie l’exercice de la tyrannie de Caligula ; puis, dans une seconde partie, l’hésitation du spectateur entre le rire et les larmes ; enfin, dans une troisième partie, le genre du théâtre de l’absurde. I La tyrannie de Caligula A/ L’empereur de Rome personnage historique : voir la genèse de cette œuvre, et les sources d’inspiration du dramaturge pour l’écriture

du vin pour s'enivrer (Lire comme on boit, pour s'enivrer). L'ivresse qu'on en retire doit-être joyeuse : amuser, divertir son lecteur. (cf Rire & savoir) Le lexique est bas et péjoratif "buveurs", "vérolés. Le genre est burlesque par les termes comiques , vulgaires. L'ambiguïté pèse dès les premiers mots: "buveurs", qui dans sa double acception (propre et figurée) est la clé de l'univers

s’adresse directement à son destinataire, son père. Le verbe pronominal “se torcher” nous montre qu’il s’agit d’une expérimentation personnelle menée par le géant sur lui-même. Le verbe “torcher”, grossier, nous fait entrer dans le domaine de la farce vulgaire, ce qui nous permet de comprendre le lien entre l’œuvre et les Silènes présentées dans le prologue.C’est alors une énumération de compléments circonstanciels de manière qui débute et qui se caractérise par son caractère comique. Les objets sont en