Le Respect Du Corps Humain

Chapitre 4 : Bioéthique er liberté de la personne Bioéthique -> bios = vie & ethikos = morale Quelles règles mettre en place pour respecter la vie et la morale ? I. Quand commence la vie humaine ? - 3 semaines : le cœur commence à battre - Avant 3 mois : embryon - Après 3 mois : fœtus - Sexe identifiable : à partir de 3 mois - 5 mois : l’enfant perçoit des sons - À partir de 6 mois : peut survivre si femme accouche 1) Les principes fondamentaux de l’article 16 du code civil

générale. En droit la personne est un être qui a la personnalité juridique. C'était la conception retenue par le droit romain puis par le code de Napoléon ( code civil de 1804) . La personne n'est pas regardée comme un individu fait d'une âme et d'un corps mais abstraitement d'une manière juridique. Au sens juridiques les personnes sont capable de jouir de droits. Tout les hommes naissent libres et égaux en droit et ont la personnalité juridique. Tel n'a pas toujours était le cas, en effet à l'époque

de la conception. Pour qu’un enfant simplement conçu puisse hériter de son père, il faudrait qu’il ait été conçu avant la mort de ce dernier. Secondement, sur le statut juridique de l’embryon, les religions estiment que l’embryon est une personne humaine et pour cela devrait être considéré comme personne juridique. Le droit positif quand à lui, même s’il met en place un certain nombre de procédés permettant de le protéger, ne reconsidère pas pour autant l’embryon comme une personne juridique. D’autres

milieu scolaire vise à l'apprentissage d'un comportement responsable, dans le respect de soi et des autres. Elle fait partie intégrante de l'éducation à la santé et s'appuie sur les objectifs et contenus des enseignements, la vie quotidienne des établissements, trois séances annuelles obligatoires. Objectifs L'estime de soi, le respect de l'autre, le droit et l'acceptation des différences, la compréhension et le respect de la loi, la responsabilité individuelle et collective constituent des objectifs

communs, des éléments communs. Mais obéissent à des règles particulières. Les personnes physiques Tout être vivant ne constitue pas une personne physique. (ex : les animaux) article 528 du code civil :  « son meuble par nature les animaux et les corps qui peuvent se transporter d’un lieu à un autre »  cette vision de l’animal est critiquée par certaines qui pensent qu’on ne peut pas mettre au même niveau un objet et un animal. Un projet de loi vise à introduire dans le code civil un article 515-14

Pour ou contre la vision libérale du corps? [pic] SOMMAIRE I- Une vision libérale qui dérange. II- Un avis favorable à cette libéralisation. III- Une question qui divise. [pic] Introduction Pour parler simplement, la libéralisation du corps c'est débrider un certains nombre de normes sociales ou religieuses ce qui revient à assumer et à revendiquer la propriété du corps de chacun, et donc de pouvoir le monnayer

Delphine HARTZER Groupe 4 PRESENTATION DE L'OUVRAGE Titre du document : Le corps et le toucher en soins infirmiers[1] Thèmes du document : Le corps comme interface dans la relation de soins. Parfois, la langage n'est plus indispensable ou adéquat ; la communication tactile prend alors le relai. Dans la relation soignant-soigné, le toucher est l'expression du rapport entre deux corps ; il représente une tentative de rapprochement, de solidarité et d'accompagnement de

PERSONNES JURIDIQUES Le droit n'a pas vocation à dire qui ou qui n'est pas un être humain. Cette question ne relève pas des juristes mais de considérations morales ou philosophiques. En revanche, parce que le droit a pour objet d'organiser les relations sociales, il est nécessaire de savoir qui ou qui n'a pas vocation à être pris en compte dans les diverses situations définies et régies par le droit. L'être humain n'aura place dans le monde du droit que sous les traits de la personne juridique. Ce

personnalité  §3 - La personne et les droits de l’homme  A - Statut juridique de la Convention EDH en droit français  1 - Le principe de l’applicabilité directe de la Convention  2 - Le principe de la primauté de la Convention  B - Le contrôle du respect de la Convention EDH en droit interne  1 - Les conditions procédurales du recours supranational  2 - La Cour européenne des droits de l’homme  C - Les principales garanties énumérées par la Convention EDH  § 4 – Les personnes et la place de l'animal

personnalité §3 – La personne et les droits de l’Homme A – Statut juridique de la Convention EDH en droit français 1 – Le principe de l’applicabilité directe de la Convention 2 – Le principe de la primauté de la Convention B – Le contrôle du respect de la Convention EDH en droit interne 1 – Les conditions procédurales du recours supranational 2 – La Cour européenne des droits de l’homme C – Les principales garanties énumérées par la Convention EDH § 4 – Les personnes et la place de l'animal