Le Recit Surréaliste

lisibilité des poèmes illustrant le dessin est complexe. On ne peut s'appuyer ni sur la syntaxe, ni sur des mots-clés. De plus, on se heurte à une difficulté de compréhension qui peut embarrasser. Il faut donc se référer souvent à l'esthétique surréaliste. D'où le principe de l'agrégation : le plus souvent, on peut comprendre le sens du poème en se rapportant au dessin associé. Ce n'est toutefois pas toujours le cas, certains poèmes étant totalement décorrélés du dessin. IV - L'amplification Dans

au surréalisme, en passant par le symbolisme ou la poésie précieuse. Cependant, malgré la différence et le caractère unique de chacun de ces mouvements, on retrouve les mêmes exigences et la même volonté. C’est ce qu’a voulu démontrer le poète surréaliste Paul Valéry dans Commentaires de Charmes – Variété, en proposant une définition de la poésie. Selon lui, elle se caractérise, d’abord, par une « forme unique », s’opposant ainsi à la prose. En effet, la poésie se définit par des règles, des contraintes

elle-même: «cela doit faire, je crois, une profondeur de six mille kilomètres (...) mais alors je me demande à quelle latitude et longitude je suis arrivée? ». Disney va plus loin en y ajoutant une série de leçons de morale, apprises par cœur, qu'Alice récite tout en les violant telles que « nous ne devrions pas faire ça ».   Dans la petite pièce au fond du terrier, emportée par le flot de ses larmes, Alice rencontre un dodo et plusieurs autres animaux. Une fois qu'ils ont accosté au pays des merveilles

–tout en la trahissant-les apparences. La poésie « moderne » rejette donc toute idée de poésie purement décorative mais recentre son travail poétique sur la lettre [5] même du texte. C’est ce paradoxe qui soutient l’écriture automatique des surréalistes. Abandonner toute maîtrise consciente du processus de l’écriture c’est, pour Breton, attendre du texte produit une révélation illuminante, à l’image de la « beauté convulsive » qu’il définit dans L’Amour fou : « érotique-voilée, explosante-fixe

peine à obtenir des succès, car son écriture est jugée proche du théâtre de l’absurde : il finit par créer sa propre maison d’édition, mais ses textes ne sont quasiment pas montés sur scène de son vivant. • Il rédige également 3 récits, (L’Apprentissage, Le Bain, Le Voyage à La Haye), 1 livret d’opéra (Quichotte), 1 scénario pour le cinéma (Retour à l’automne), quelques articles et éditoriaux (publiés sous le titre Du luxe et de l’impuissance). II. La place de la pièce dans l’œuvre

l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant toujours à la mort. L’origine de cette pensée étant sans conteste le traumatisme, la chute de l’humanisme à la sortie de la Seconde Guerre mondiale. Ce mouvement littéraire s'est inspiré des surréalistes et des dadaïstes mais est radicalement opposé au réalisme. Eugène Ionesco, Samuel Beckett, Arthur Adamov, Jean Genet, voire Harold Pinter sont parmi les auteurs de ces œuvres qui ont bouleversé les conventions du genre. La particularité de Ionesco

l’oxymore « art tyrannique » qui précède vient renforcer le fait que sa démarche est maladroite, pour avoir l’attention des gens, il ne faut pas leur donner l’impression de leur imposer une idée, une façon de penser. II). UN RÉCIT EN ABÎME : LA FABLE a). L’utilisation d’un récit, l’effet est immédiat L’orateur, en réalisant que les personnes auxquelles il s’adresse, s’attardent d’avantage à des disputes d’enfants qu’à ses paroles, réalise qu’en fait ceux-ci ont besoin d’être divertis pour vous prêter

rythme régulier d’octosyllabes. L’alternance récit/discours Sens : Il nous prépare d’emblée à son échec : évocation de la femme aimée et du voyou. une image désabusée de la femme et de l’amour. : Apollinaire cache sa souffrance à travers des raisonnements par l’absurde. Il se met ainsi en retrait par rapport à ce qu’il dit et sa douleur, on a donc ici l’expression d’une douleur insoutenable, pas d’exaltation de la part de l’auteur. Il s’agit d’un récit à la fois réaliste et aux frontières du réel

se sont pas déroulées, mais qui pourraient avoir lieu. Elles sont dites réalistes. La nouvelle de Guy de Maupassant, «  La parure » est un récit qui décrit la mésaventure d'une femme qui a perdue un bijoux prêté par une riche amie. Elle a trimé durant toute sa vie afin de le rembourser, jusqu'à ce que son amie lui annonce qu'il s'agissait d'une copie. Le récit témoigne de la misère de certaine personnes à cette époque. L'auteur a inventé toute l'histoire, mais celle-ci reste malgré tout vraisemblable

Début énigmatique. Introspection Il s’apprête à raconter « une de [ses] folies »→ conception négativede Rimbaud sur la poésie passée. « L’histoire »→ rappelle la valeur des temps qui vont être utilisés→ imparfait/passé simple (récit) « d’une »/ « mes »→ récit d’une expression passé parmi tant d’autres.Dans les 3 paragraphes suivants, Rimbaud raconte ses goûts antérieures sur la poésie.L. 2 à 4 : montre ici qu’il va parler d’une époque révolue → « depuis longtemps », flou, pas