Le Poète Observateur De La Réalité

passage avec une trame historique révèle la passivité de Frédéric ? Dans un premier temps nous verrons la figue de l’anti-héros. Et dans une seconde partie, nous analyserons que la révolution décrite est ratée. I ] Un anti-héro. * F est observateur, spectateur de cette révolution. Termes du regard qui est décliné dans le texte : « de leur fenêtre », « regardaient », « verrait » * F ne prend donc pas part de cette révolution. * Il n’est pas impliqué, il est passif. « On casse quelques

de son aide à la diffusion du dadaïsme, il contribuait à la naissance du mouvement surréaliste à Montparnasse. Après une période passée avec les surréalistes, il quitte leur groupe en partie à cause de Breton qui voulait écarter l'ami de Ernst, le poète Eluard. En 1934, il commence à sculpter, fréquentant Alberto Giacometti. Max Ernst vit à New York où, à côté des peintres d'avant-garde Marcel Duchamp et Marc Chagall qui ont fui la guerre en Europe, il aide au développement de l'expressionnisme

être aussi, elle doit être surtout la réalité profonde prise aux mots, une vérité qui se fait chant. » Trouvez-vous que ces propos définissent correctement toute ambition poétique ? Règle n° 1 : chercher à reformuler le sujet de façon à dégager la problématique. Pour ce faire, recherchons les notions clés. La poésie = une forme ou un genre littéraire ? Nuages = illusions, évasion, contraire de réalité, luxe. Pain = nourriture, réalité, nécessité. Réalité profonde = vérité + chant, musique.

Apollinaire le poète Apollinaire a été, parmi les soldats, l’un des seuls qui pendant le conflit a infiniment su apprécier les traits de spectacle que même de si tragiques événements pouvaient susciter. Son habileté consiste à réussir à transformer un scénario triste et concret de guerre en un paysage fantastique capable d’éloigner l’homme de la brutalité du conflit. Quand autour de lui tout est désolant, voici ce qu’il écrit à son amie Madeleine Pagès le 2 septembre 1915 : « J’ai été observateur aux lueurs

personnages. Le récit, les descriptions, sont donc opérés de l'extérieur. L'auteur ne peut pas faire part des sentiments, impressions, réflexions, intentions des personnages, sauf si on peut « les lire » sur leur visage, et les déduire de leurs actions. La réalité est réduite à ses apparences extérieures. Le récit est dans ce cas plus objectif (plus neutre) qu'en focalisation interne. Dans cette situation, le narrateur en sait moins que les personnages (contrairement à la focalisation zéro). La focalisation

va prier. Arrivée en scène du vrai Don César déguisé en Zafari qui s'est réfugié par hasard dans le logis de Ruy Blas. Il est habillé en haillon et revêt un beau manteau trouvé (déguisement donné à Ruy Blas par Salluste). Il reçoit à son nom (en réalité pour Ruy Blas) une grosse somme d'argent puis un rendez-vous avec une dame, il joue le jeu et accepte les deux. Don César tue Don Guritan. Salluste fait arrêter Don César et doit hâter sa vengeance contre la Reine. Acte V - Le tigre et le lion Ruy

exception près. La majorité de ses trente-deux pièces relève du genre sérieux. On raconte que Corneille suivit le conseil d’un ami lui disant que la gloire était liée au traitement des sujets graves. Une autre raison tient aussi dans la maturation du poète : au fil des années, il eut une vision de plus en plus noire et de plus en plus chrétienne de la vie et de l’Histoire. Il fut pourtant à ses débuts un remarquable auteur de comédies. Les comédies de jeunesse Corneille jeune fut le peintre de la

poésie de la Renaissance est très passionné et humaniste. Les poètes parlent de la beauté, de la tristesse de la perte et des amours qui « durent en tout temps ». Le sonnet «  Tant que mes yeux pourront larmes épandre... » décrit l'amour perdu. Le poète utilise le parallélisme et un champ lexical rempli des mots négatifs pour exprimer son désespoir. Dans « Quand vous serez bien vieille... », Ronsard essaye d'immortaliser l'amour et en même-temps d'évoquer l'importance de la phrase « Carpe diem ».

l’église ou ne sent pas son odeur, il regarde tout simplement. Mais il a un grand sens de l’observation, décrivant avec une grande habileté les détails de l’église et surtout de son clocher. On pourrait dire que le narrateur sait déjà qu’il faut être observateur pour devenir écrivain, il semble mettre en place lui-même les personnages et les lieux, il devient metteur en scène de ce qu’il voit, il choisit de le décrire d’une certaine manière, peut-être pas toujours de la manière exacte dont il voit les choses

deux théories : - Théorie traditionaliste se base sur la perspective historique - Théorie individualiste se base sur la perspective esthétique Il y a un problème : on a eu une tendance à superposer légende et histoire, fiction et réalité. On a crû que la chanson de geste était une espèce de chronique. - Le caractère primitif est l‘orale. Il y a une figure reliée à l’oralité du Moyen Âge, le jongleur. Il utilise des phrases qui se répètent pour assurer l’attention de l’autre ou des