Le Poète Mourant Lamartine

Florilège de poèmes Cours de français Mme Nulens 5H /Semaine 05/06/2012 Sommaire La pauvreté de Rutebeuf Page 3 Sur la mort de Marie de Pierre de Ronsard Page 5 L’automne d’Alphonse de Lamartine Page 7 Chanson d’automne de Paul Verlaine Page 9 L’adieu de Guillaume Apollinaire Page 11 Préface Mon vers est : Pâle comme un beau soir d’automne (L’andalouse, Alfred de Musset). La thématique retenue est l’automne. Pour moi, l’automne évoque la mort, la tristesse

Museum of Art, New York City. Charles d’Orléans……………………….Le Printemps (1444) Jean de la Fontaine…………………… Le Chêne et Le Roseau (1668) Matsuo Bashô........................................ Vieille mare (1681) Alphonse de Lamartine……………… L’automne (1820) Alphonse de Lamartine………………. La branche d’amandier (1823) Georges Sand……………………………À Aurore (1873) --- Guy de Maupassant……………………. La chanson du rayon de lune (1880) Victor Hugo……………………………..La nature est pleine d’amour (1886) Georges Emmanuel Clancier……

encore, et d'un regard d'envie Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui ! Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ; L'air est si parfumé ! la lumière est si pure ! Aux regards d'un mourant le soleil est si beau ! Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie Ce calice mêlé de nectar et de fiel ! Au fond de cette coupe où je buvais la vie, Peut-être restait-il une goutte de miel ? Peut-être l'avenir me gardait-il encore Un retour

une anthologie de poésies ou des poèmes accessibles sur Internet : des poèmes de Ronsard (beaucoup développent le thème de la fuite du temps, comme celui étudié dans la séance 2), mais aussi « Le Dormeur du val » d’Arthur Rimbaud et « Le Lac » de Lamartine. © Cned / N. Julo – Les Contemplations de Victor Hugo. Durée approximative : 1 heure. Dans cette séquence, tu vas parcourir les siècles, depuis le XVIe jusqu’au XXe siècle, pour étudier une thématique traditionnelle de la poésie : l’expression

du Bellay, de restaurer la poésie française dans sa majesté et devient le chef de ce qui deviendra « La Pléiade » en 1556. Son œuvre est marquée par les sentiments amoureux et son sens de l'épopée qu'il déclame dans ses poèmes. Il est nommé en 1559 poète de la Cour. C'est dans le recueil Les Odes (1550 – 1552), placé sous le parrainage de Pindare et Horace (deux poètes de l'Antiquité), que Ronsard publie ce poème. Il tente de séduire Cassandre qu'il a rencontrée cinq ans plus tôt. La métaphore filée

sa réputation. Toutefois il est victime d'une controverse et est accusé par certains d'avoir été un traitre. J'ai porté mon choix sur ce poème puisqu'il exprime une très forte nostalgie due à la perte d'un grand homme et qui plus est d'un ami du poète, en effet, en incitant a la prière et au pleurs, Deschamps souhaite maintenir du Guesclin dans les esprits et les cœurs. Ce poème exprime également une nostalgie des valeurs de la chevalerie qui commencent a l'époque a disparaître. La mort de du

demandé ce qu’est un objet ? Si pour Georges Braque « L’objet, c’est la poétique », il est plus communément admis qu’il s’agit d’une chose concrète et perceptible, fabriquée par l’homme et destinée à un certain usage. Mais à l’instar d’Alphonse de Lamartine qui dans son poème Milly ou la terre natale disait « Objets inanimés, avez-vous donc une âme qui s’attache à notre âme et à la force d’aimer ? », de nombreux poètes octroient une âme à des objets, et établissent par ceux-ci un reflet de leur propre

confus, des idées ne prenant, la plupart du temps, conscience de lui que dans l’après-coup, la pensée d’une époque ne se détachant clairement sur un fond mouvementé que pour la ou les générations d’après : c’est pour nous que Baudelaire est le premier poète de la « modernité ») ; ou simplement relatifs à la datation des « mouvements », constitués ou non en « écoles », rassemblés ou non autour d’une figure maîtresse, conscients ou non d’eux-mêmes. Cependant, face à l’extraordinaire production littéraire

retourne encore, et d'un regard d'envie Je contemple ses biens dont je n'ai pas joui ! Terre, soleil, vallons, belle et douce nature, Je vous dois une larme aux bords de mon tombeau ; L'air est si parfumé ! la lumière est si pure ! Aux regards d'un mourant le soleil est si beau ! Je voudrais maintenant vider jusqu'à la lie Ce calice mêlé de nectar et de fiel ! Au fond de cette coupe où je buvais la vie, Peut-être restait-il une goutte de miel? Peut-être l'avenir me gardait-il encore Un retour

constitué de 10 poèmes assez variés, venant de différentes époques et écrits par différents auteurs . Guillaume Apollinaire , « le Pont Mirabeau » , Alcools , 1912 . Charles Baudelaire , « L’horloge » , Les fleurs du mal , 1857 Alphonse de Lamartine , « Le lac » , Méditations poétiques .1820 Esther Granek , « Saisir l’instant » , Je cours après mon ombre , 1981 Louise Ackermann ,  « Le fantôme » , Contes et poésies , 1863 Victor Hugo, « Soleils couchants » , Les Feuilles d'Automne,1831 Théodore