Le Porte Glaive

l'adverbe « chaudement » et le terme « froid » v.11. C'est donc tout l'être qui le perçoit. Mais surtout, la nature est personnifiée en effet elle semble « fière » au v.3 de ce rejeton qu'est pour elle le petit val. La nature « chante » aussi v.1 et porte des haillons v.2. Enfin, elle est comparée à une nourrice avec l'impératif « berce-le » au v. 11. C'est donc un cadre impressionniste dans son esthétisme avec des touches colorées, une lumière omniprésente et une absence d'ombre. C'est un cadre

furent pas de simples conquêtes territoriales puisque les chevaliers étaient accompagnés de missionnaires, de magistrats et de colons allemands: les chevalier furent chargés d’assimiler les peuples conquis. Aidés par un autre ordre chevalier (les Porte-Glaive), les teutoniques conquirent et assimilèrent la Pologne ainsi que la région balte (Estonie, Lituanie et Lettonie), puis annihilèrent complètement le peuple prussien: le dernier locuteur à parler le prussien s'est éteint à la fin du XIIIe siècle

mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait de toute son

Par ces “quatre coups brefs” “frappés “sur la porte du malheur” il va jusqu'au bout de son acte et se prépare ainsi à entrer dans une phase qui sera désormais son avenir : l'image de la porte symbolise une ouverture puisqu’il s’agit de franchir un seuil. Par cet ultime geste, dans toute la scène, a été le jouet du destin, prend en charge ce même destin en assumant jusqu’au bout avec l'utilisation de la première personne du singulier lorsqu'il se porte seul coupable de l'acte : « j'avais détruit.

ouvert est un costume qui sera commun à Hippolyte et Thésée et qui ne sera marqué d’aucune époque précise tout comme la veste longue portée avec un t-shirt blanc de Théramène. Chaque personnage se démarque par une couleur : Théramène en bleu sombre, Hippolyte en blanc au début puis en noir, Phèdre apparaît avec un tissu blanc qui la recouvre puis on voit qu’elle porte une robe de soirée et une veste de tailleur bleu foncé et enfin poitrine nue sous un tailleur noir. Oenone en veste et jupe noires

long et d'une portée de 30 mètre, ou la pique (hasta) ainsi qu'une épée longue, empruntée aux espagnols, qui devient courte (gladius) à partir du IIe siècle av. J-C. Leurs armes pour la défense était des casques en bronze ou en cuir, la cuirasse appelé aussi le péctoral, le bouclier long (scutum) ou rond pour les vélites et les cavaliers. Tout les soldats se déplaçait avec 30 ou 35 kg de bagages. 1. Armure pour les épaules 2. Cape 3. Plastron ou cuirasse 4. Glaive 5. Jambière

combats, Et fais émerveiller tous les yeux de la terre, De voir que le malheur ne m'ose mettre à bas. A la merci du Ciel en ces rives je reste, Où je souffre l'hiver froid à l'extrémité, Lors que l'été revient, il m'apporte la peste, Et le glaive est le moins de ma calamité. Tout ce dont la fortune afflige cette vie Pêle-mêle assemblé, me presse tellement, Que c'est parmi les miens être digne d'envie, Que de pouvoir mourir d'une mort seulement. Que tardez-vous, Destins, ceci n'est

pour un autre destin A quoi peut leur servir de se lever matin Eux qu'on retrouve au soir désœuvrés incertains Dites ces mots Ma vie et retenez vos larmes           Il n'y a pas d'amour heureux Mon bel amour mon cher amour ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent           Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il

Séance 2 : LA n°1 : l’incipit, de « Aujourd’hui… » à « deux heures de route ». Prolongement : comparaison avec un/deux autres incipit Séance 3 : LA n°2 : la scène du meurtre de l’Arabe, de « J’ai pensé que je n’avais qu’un demi-tour à faire… » à « la porte du malheur ». Séance 4 : L’évolution du « héros » de roman, à partir de la comparaison entre la scène de crime dans L’Etranger et celle de Claude Gueux Séance 5 : LA n°3 : le procès de Meursault Séance 6 : LA n°4 : l’excipit qui marque l’évolution

frères adoptent une position qui suggère la figure géométrique du triangle. Ils évoquent la force, la stabilité et l'unité de leur groupe, mais aussi celles qui règnent dans chacun d'eux. Le père des trois combattants, constituant la deuxième partie, porte aussi en lui le chiffre « trois » : les trois épées qu’il s’apprête à confier à ses trois fils. Enfin, au niveau du troisième groupe, les femmes sont au nombre de trois : en les représentant toutes trois, David a sans doute voulu mettre en valeur