Le Porte Glaive

maître d'études : – Monsieur Roger, lui dit-il à demi- voix, voici un élève que je vous recommande, il entre en cinquième. Si son travail et sa conduite sont méritoires, il passera dans les grands, où l'appelle son âge. Resté dans l'angle, derrière la porte, si bien qu'on l'apercevait à peine, le nouveau était un gars de la campagne, d'une quinzaine d'années environ, et plus haut de taille qu'aucun de nous tous. Il avait les cheveux coupés droit sur le front, comme un chantre de village, l'air raisonnable

Il s'agira dés lors d'évaluer l'intêret de ce monologue tout autant que la portée du dilemme dont il est question. Dans un premier temps, nous nous attacherons à évaluer les manifestations de ce vif tourment intérieur puis il s'agira de mesurer la cause du tourment c'est à dire l'acte prodigieux de Lantenac et d'en dégager les modalités. Enfin, nous nous interrogerons sur l'universalisation de l'évènement et la portée réflexive qu'il implique. Il s'agit bien ici d'un monologue intérieur motivé

portant son enfant mort : La douleur et les hurlements de la mère sont perceptibles au premier abord, alors que le reste du tableau peut sembler plus difficile d’accès. L’enfant mort dans les bras de sa mère se rapprochent-ils d’une autre image à portée universelle : celle d’une piéta ? Le chœur des femmes : Trois femmes sur le coté droit de la composition forme un chœur antique, pleurant la liberté agonisante. Femme blessée à la jambe (on le voit à la jambe qui est très déformée) : malgré sa

bouclés, il est sacré chevalier par son oncle le comte de Montcornet pour sa bravoure. Mis à part sa fougue et sa joie excessive qui l’ont mis maintes fois en danger, Thibault est un garçon honnête et attaché au sens sacré de la chevalerie. Armé de son glaive Santacrux, d’un bouclier vert et d’une pierre magique le rendant invincible, son rêve est d’acquérir gloire et renom à travers les combats mais aussi d’épouser l’élue de son coeur la belle Eléonore.
 b) Eléonore :
Fille du Comte de Blois, âgée de

l’âme car toute ta vie tu as été un valeureux combattant. C’est pourquoi ton berceau lui aussi fut visité. La Providence dépêcha auprès de toi une fée et un génie. Mais comme tu étais aussi petit et léger qu’une plume, ils voulurent se mettre à ta portée et, réduisant leur taille, ils vinrent à toi, la fée sous l’aspect d’une abeille et le génie sous l’apparence d’un papillon. Les voici donc tous les deux au-dessus du berceau où tu es en train de goûter ton premier sommeil hors du sein maternel.

voué à la prouesse solitaire de ceux de son père. Fils de Thésée et d’Antope, reine des Amazones, il présente une parfaite « grandeur d’âme ». Il sait garder le contrôle de lui-même, lorsque Phèdre lui avoue sa passion: il refuse de la frapper de son glaive (scène 5, acte II). Il fait preuve de fidélité, envers Aricie, à qui vont ses dernières paroles (vers 1561-1566), et même envers Phèdre, qu’il refuse de dénoncer ou de couvrir d’opprobre : jamais il n’oublie qu’elle est reine, épouse de son père (scène

Caravane “ Sur la terre, tantôt sable, tantôt savane, L’un à l’autre liés en longue caravane, Echangeant leur pensée en confuses rumeurs, Emmenant avec eux les lois, les faits, les mœurs, Les esprits, voyageurs éternels, sont en marche. L’un porte le drapeau, les autres portent l’arche ; Ce saint voyage a nom Progrès. De temps en temps, Ils s’arrêtent, rêveurs, attentifs, haletants, Puis repartent. En route ! ils s’appellent, ils s’aident, Ils vont ! Les horizons aux horizons succèdent,

Croissance et institutions Depuis une trentaine d’années, l’intérêt porté par les économistes aux institutions et à leur rôle dans le développement et la croissance économique n’a cessé d’augmenter. En effet, la théorie néoclassique quant à la croissance ne permet pas de l’expliquer entièrement et est insuffisante pour expliquer les grandes disparités de taux de croissances entre les pays. Ainsi, pour expliquer les différentes croissances selon les pays, les études économiques ont

jours suivant l’incendie. Néron aurait ouvert les portes de ses palais afin d’y héberger les sinistrés. Il aurait également mis sur pied un service de redistribution des vivres afin de s’assurer que chacun ne manque de rien. Malgré cette attention portée envers ses citoyens, ces derniers, réclamant un responsable à accuser, continuaient de répandre la rumeur voulant que Néron ait été à l’origine de l’incendie, certains allant même jusqu’à dire que ce dernier jouait de la lyre et chantait lorsque la

le son fatal comme celui d’un gong sur un ring et semblent aussi annoncer les coups de feu comme s’ils n’étaient que l’écho du signal du soleil. Dans ce passage on peut trouver aussi du vocabulaire de l’armement « couteau », « acier », « lame », « glaive », « épée »,  « revolver »,  « crosse », « balle », on a l’impression que Meursault doit affronter une armée qui le torture car nous trouvons tout au long du passage un champs lexical de la souffrance très prononcé avec les mots : « mal », « brûlure »