Le Pont Mirabeau Conclusion

père et le principe actif de la richesse, tandis que la terre en est la mère » (W. Petty). 4) La croissance économique : Repérer les facteurs déterminants sur lesquels il importe d’agir afin d’induire l’expansion de la richesse nationale. 3. Conclusion : L’analyse mercantiliste est l’une des premières tentatives d’analyse de type scientifique des phénomènes économiques. C’est une première démarcation par rapport à la religion. Les mercantilistes ont été les premiers à avoir posé la problématique

heures) Et tout sera fini(le retour a 12h) On a un lyrisme discret : "mon cœur", "les Muses aux portes de ton cœur" : cœur/corps = paronomase - Dans le calligramme on a 2 sens : vue : "yeux", toucher : "main" - Muses : figure de l'inspiration Conclusion Le calligramme montre qu'il a su se renouveler le genre du vers figuré : les mots ne sont pas disposés juste pour illustrer des objets, il utilise leur valeur symbolique. Les mots du texte sont positionnés d'une certaine façon pour qu'ils forment

: dernier vers  la n ature apparaît alors comme la seule consolation du poète et comme le garant de la permanence de l'amour Conclusion - un poème lyrique et romantique - une élégie - mais l'amour vainqueur - un thème constamment renouvelé : celui de la fuite du temps, motif récurrent en poésie que l’on retrouve dans le poème d’Apollinaire : « Le pont Mirabeau

paupières » sont comme l'expression de l'effacement du regard amoureux : les yeux sont fermés sur le poète, c'est un amour fini. Conclusion : Derrière l'évocation d'une promenade printanière sur le Rhin, on note la présence d'un motif récurent chez Apollinaire associant le temps qui passe et l'amour perdu à la fluidité, au mouvement de l'eau, comme on le voit dans « Le Pont Mirabeau », un autre poème de recueil. Le temps qui passe dégrade toute chose, comme la beauté et l'amour.

et purificatrice pour le poète. Tout d’abord, dans la première strophe, le poète, héros dans ce poème semble enfin prendre en charge son destin en jetant dans « le noble feu » son passé. Ceci fait contraste à certains de ses poèmes comme « Le pont Mirabeau » ou « Les sapins » où le poète semble subir le passage du temps sur son avenir. En faisant référence au « noble feu », le poème nous donne un premier indice sur la vraie fonction de celui-ci. En effet, le feu semble purifier le passé de l’auteur

On voit ci que le temps passe inexorablement mais sa peine demeure, cette image rappelle bien entendu le Pont Mirabeau d’Apollinaire. V24 V25 : l’interrogation du dernier vers avec la conjonction de coordination « donc » qui a une valeur de conséquence, laisse penser que la souffrance du poète peut trouver sa conclusion avec la fin de la semaine « Quand donc finira la semaine » CONCLUSION : Ce poème lyrique aborde le thème de l’amour mais plus précisément l’amour perdu car ce poème décrit la

oeuvres. Autre inscription sur un cadran solaire : « Les heures passent, les oeuvres demeurent ». Cf. aussi la signature des oeuvres d’art par leurs auteurs, les graffitis sur les monuments, les coeurs gravés dans l’écorce ou les cadenas sur le Pont des Arts !... C’est le désir de l’immortalité qui pousserait les hommes, si l’on en croit Platon, à enfanter selon la chair. Qu’est-ce que le temps donc : est-ce une réalité extérieure à soi-même, ce sur quoi nous aurions prise grâce aux instruments

intimement liés : dernier vers  la nature apparaît alors comme la seule consolation du poète et comme le garant de la permanence de l'amour Conclusion - un poème lyrique et romantique - une élégie - mais l'amour vainqueur - un thème constamment renouvelé : celui de la fuite du temps, motif récurrent en poésie que l’on retrouve dans le poème d’Apollinaire : « Le pont Mirabeau » 

d'interprétation ->Désacralisation (ref religieuses) car il compare Dieu à un aviateur (vers 7.8 "zones") II) La mélancolie du poète mal aimé -> Utilisation d'une métaphore de l'eau ce qui montre la fuite du temps (topos) = poème de la nostalgie (Cf "Le pont Mirabeau") -> Cadre sombre = renforce la nostalgie -> Mal aimé, désillusion, tristesse car 2 échecs amoureux -> CL du malheur, du désespoir, mort -> "Je" = poésie lyrique ("La chanson du mal aimé"). "tu" en parlant de lui dans "zones" pour parler des souvenirs

11 fois ("la mer", "la mère", "amer") [l], [m], [r] à cause des répétitions [f] vers 6,7,8,10,11,13,14 [s], [z] 2ème quatrain, 1er tercet [e], [a], [], [u] à cause des mots "et", "est", "amour" et "mer" qui reviennent constamment Conclusion Ce poème présente donc essentiellement une musicalité très travaillée. Dans le texte, on trouve une notion de baroque : c'est une terminologie assez floue qui a été créé tardivement pour désigner une réalité artistique du 17ème siècle, opposée