Le Pont Mirabeau Conclusion

Table des matières A. Introduction B. La femme de Gilles I. Biographie de l’auteur II. Résumé du livre C. Contexte historique D. Analyse E. Repérer les courants F. Conclusion G. Bibliographie   A. Introduction Ce court roman de Madeleine Bourdouxhe, se déroule dans le milieu ouvrier des années 1930. Il nous plonge dans un petit monde routinier, celui des tâches ménagères, des « petites gens », celles qui passent inaperçues. Nous observons à travers ce roman, l’histoire d’une

tout passe et tout change. On retrouve la disparition et la mort dans les vers 11 et 22 (les "flocons" évoquent la fonte), dans le vers 13 et dans le quatrième quintil. Le vers 24, avec l'intarissable écoulement du fleuve, est à rapprocher du Pont Mirabeau. L'automne évoqué dans ce poème est associé à la mort de la nature et des amours (vers 20). Le "coeur changeant" du vers 14, quant à lui, est-il celui de Marie l'inconstante ou celui du poète qui se désirerait inconstant ? 3. La fluidité

souhaite appliqué à son œuvre. En effet, d’après « l’Art poétique » de Verlaine, il faut ‘‘choisir tes mots sans quelque méprise’’ et joindre ‘‘ l’Indécis au Précis ’’. Le fait d’être indécis permet de créer une certaine ambiguïté comme dans « Le Pont Mirabeau » d’Apollinaire. Effectivement, les mots utilisés dans le vers 2 portent à réflexion : ‘‘ Et nos amours ‘‘. Cela s’explique par le manque de la ponctuation. On ne sait pas si ce second vers est rattaché au premier ou au troisième. De même, dans

"la mère", "amer") · allitérations [l], [m], [r] à cause des répétitions [f] vers 6,7,8,10,11,13,14 [s], [z] 2ème quatrain, 1er tercet · assonances [e], [a], [e], [u] à cause des mots "et", "est", "amour" et "mer" qui reviennent constamment Conclusion Ce poème présente donc essentiellement une musicalité très travaillée. Dans le texte, on trouve une notion de baroque : c'est une terminologie assez floue qui a été créé tardivement pour désigner une réalité artistique du 17ème siècle, opposée complètement

qui a « inventé » le mot surréaliste. • Œuvres essentielles : L’Hérésiarque et Cie 1910 (roman) a manqué avoir le prix Nobel Alcools 1913 (poésie) œuvre majeure (Zone : très célèbre, il rend hommage au monde moderne, Poèmes Rhénans, « Le Pont Mirabeau »). Les Mamelles de Tirésias 1917 (théâtre) Poèmes à Lou Edition posthume (poésie) Calligrammes Edition posthume (poésie) Descriptif du poème : Le poème d’Apollinaire se présente sous forme de 5 quintils en alexandrins, d’un vers isolé lui-même

très beau « L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ; il coule et nous passons »), Julie Charles n’est plus de ce monde… CONCLUSION : Un poème lyrique et romantique ; une élégie mais l’amour est vainqueur : ni la fuite du temps, ni même la mort ne peuvent le vaincre. Un double thème récurrent de la poésie amoureuse (cf Apollinaire « Le Pont Mirabeau »), la fuite du temps et la permanence de la nature, immuable, permet de célébrer la femme aimée.

Descartes avec sa fameuse phrase « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien. » - Par ailleurs, la référence aux monuments de Paris comme étant les gardiens du temps qui passe, observateurs de la finitude de l’Homme, n’est pas sans rappeler le Pont Mirabeau d’Apollinaire. b. Le lyrisme de Gabriel → Gabriel semble se laisser aller à des accès de lyrisme spontané. Ainsi parle-t-il de la finitude de l’Homme, un topos littéraire qui explique que chaque homme est voué à la mort, avec les métaphores conjuguées

prisonniers), la présence féminine (celle des « jeunes filles » et de la raison, amante et mère protectrice, rassurante). Le lecteur reconnaît certaines de ses formulations : le lyrisme s'exprime dans les vers 45-46 comme dans le refrain du « Pont Mirabeau ». La tentation religieuse, constante chez Apollinaire (cf. « Zone »), se révèle dans le ton de la prière, les appels à Dieu et la communion avec les prisonniers (« cœurs battant dans la prison »). Le portrait affectif que le poète fait de lui-même

contre, vous rédigerez au brouillon l’introduction et la conclusion, qui doivent être particulièrement soignées. Ce sont des « moments » stratégiques de votre devoir : dans l’introduction, vous donnez au correcteur un premier aperçu de vos compétences d’analyse textuelle et de rédaction ; vous avez tout intérêt à ce que cette première impression soit bonne – tout comme la dernière, laissée par votre conclusion. Soignez par conséquent votre conclusion. Trop de candidats ont le tort de la bâcler, par manque

prisonniers), la présence féminine (celle des « jeunes filles » et de la raison, amante et mère protectrice, rassurante). * Le lecteur reconnaît certaines de ses formulations : le lyrisme s'exprime dans les vers 45-46 comme dans le refrain du « Pont Mirabeau ». * La tentation religieuse, constante chez Apollinaire (cf. « Zone »), se révèle dans le ton de la prière, les appels à Dieu et la communion avec les prisonniers (« cœurs battant dans la prison »). * Le portrait affectif que le poète fait