Le Pont Mirabeau Conclusion

Métaphore « à l'amour enflammer » (v. 7) : introduit le thème du « feu amoureux », qui sera développé dans les deux tercets. • Le poète se présente comme un moraliste qui dispense sa sagesse : ∘ Conjonction de coordination « et » (v. 8) : constat, conclusion de la démonstration ∘ Usage du futur simple (« seront » v. 8) : absence de doute II. L'opposition de l'eau au feu amoureux (v. 9-14) 1. Des références mythologiques (v. 9-11) • Convocation de deux divinités : ∘ Périphrase « la mère de l'amour

analytique de Nuit Rhénane de Guillaume Apollinaire Introduction : Apollinaire est considéré comme l'un des poètes français les plus importants du début du XXe siècle, il est l’auteur de poèmes tels que Zone, La Chanson du mal-aimé ou encore le Pont Mirabeau. Il fut l’avant-gardiste artistique du cubisme ou du fauvisme notamment. C’est en 1913 qu’Apollinaire connaît le succès avec la publication de son recueil de poèmes Alcools. Il s’essaya également au calligramme. Le poème à l’étude aujourd’hui est

bonne poignée ^^') -> La notion de voyage est à développer, je pense (très intéressante =D) :- voyage dans un monde réel (Baudelaire, "Parfum exotique", "Invitation au Voyage" ("Là, tout n'est qu'ordre et beauté, luxe, calme et volupté"), "Le Pont Mirabeau" d'Apollinaire- voyage dans l'imaginaire : l'idéal beaudelairien ("La Vie Antérieure", "Laquelle est la vraie" où il nous énonce sa douleur devant la perte d'un idéal féminin : Bénédicta "J'ai connu une certaine Bénédicta, qui remplissait l'atmosphère

et même poème) du                                recueil, “le voyageur” se présente sous la forme d’une suite versifiée, irrégulière, de 55 vers libres,                                c’est-à-dire, à titre de comparaison, deux fois plus que “le Pont Mirabeau” et trois fois moins que                                  “Zone”. C’est donc un poème, et cela a son importance on le verra plus loin, d’une longueur                                  moyenne (comprendre: contenu), similaire entre autres, en matière

inutiles bavards évoqués comme des « roseaux jaseurs » . On peut alors comprendre le vers initial de la strophe comme la revendication, pour le poète, de créer du neuf « Le joli Mai » à partir de l’ancien « les ruines », pour l’embellir (« parer »).Conclusion  : Le poème Mai reprend les codes de la poésie traditionnel pour mieux les déjouer est à la fois un poème de l’absence et de la perte de l’amour, évoqué sur un mode mélancolique par le mise en scène du passage du temps et un art

d’automne”, ou encore “ automne malade”, qui évoque l’automne, la saison romantique par excellence qui apparaît comme mélancolique. De nombreux poèmes sont des poemes d’amour, dedier a plusieurs femme comme Marie Laurencin, parmit ceux-ci se trouve “le pont mirabeau” qui evoque le temps qui passe, theme recurent de la poesie, ou encore “la chanson du mal-aimé”. Le symbolisme est présent dans des poèmes comme “le larron”, ou encore “le signe”. Ce sont des poèmes polysémique.       De nombreux poèmes d’alcools

EL. 1: Fiche La Chanson du mal aiméM o d e r n e EL: Problématique: Cet extrait de la Chanson du Mal aimé relève-t-il d'une écriture traditionnelle ou moderne ? Conclusion: L'échec amoureux L.1: Le terme "lyre" fait d'emblée référence au poète Orphée2 et à Apollon, dieu grec de la poésie et de la musique. Ce dieu est également connu sous le nom de Phébus, dieu de la lumière et conducteur du char du soleil. Apollinaire, dont le nom dérive du nom Apollon, associe ici ses deux emblèmes, la lyre et

peinture cubiste. · le “tu” s’apparente en réalité à un “je”, ce choix permet au lecteur de devenir, au même titre qu’Apollinaire, le destinataire du poème· exprime son sentiment de lassitude envers le monde entier· premier vers ressemble à une conclusion: le reste du poème se présente donc comme une analepseBergère ô tour Eiffel le troupeau des ponts bêle ce matin· personnification de la Tour Eiffel “Bergère” qui ressort au milieu de Paris, presque sacralisée par le « ô » lyrique· symbolise le progrès

Structuration par les rimes 79 Maillages 85 Le vers formule 87 VII. Sonnet VIII : « l'Amour, la Poésie » 93 La matrice du texte 94 Une figure : l'antithèse 95 Rythmes 102 De la sincérité 105 Un pacte de lecture 107 « De toi me plains » 112 Conclusion 116 Documents complémentaires ........................ 117 Les références au texte des Sonnets renvoient à Louise Labé, Œuvres poétiques, édition de Françoise Charpentier, Gallimard, collection « Poésie ». 0 BERTRAND-LACOSTE, Paris, 1991 Toute

SUITE Le titre est étonnant parce qu’il ne se réfère pas à un monument précis comme « Le pont Mirabeau ». Le pluriel est préféré au singulier et interpelle le lecteur qui ne sait pas à quoi s’attendre avec ce poème qui a priori ne va pas décrire un paysage urbain réel. 1/ Une évocation purement architecturale, ABSTRAITE et imaginée, d’où l’homme semble absentCette impression d’une description imaginaire est confirmée par la première phrase : « Des ciels gris de cristal ». Le plafond naturel du paysage