Le Politiquement Correct

finalement qu’un régime des plus totalitaires qui puissent exister : éradication de la connaissance. Fahrenheit 451 est une oeuvre foisonnante qui aborde une foule de thèmes. La liberté d'expression, la déculturalisation, la tyrannie du politiquement correct et le devoir de révolte n'en sont que les principaux. Mais il est impossible de réduire ce livre à un chef d'oeuvre de contre-utopie car, plus que cela, plus qu'un appel vibrant à la réflexion sur notre société, Fahrenheit 451 est un texte

d’exagération ou d’atténuation * Euphémisme Dire moins pour suggérer moins, atténuer l’expression dans le but d’atténuer une réalité qui pourrait être choquante. « Il n’est plus » ; « En fin de vie » ; « Une contre vérité » -> Faux ; le politiquement correcte : « dommages collatéraux » -> victimes ; « chômeurs » -> demandeurs d’emploi… * Litote Dire moins pour suggérer plus, affaiblir l’expression pour renforcer l’idée, cela nécessite une complicité avec le destinataire. « Va, je

monde est vieux mais il faut encore l'amuser comme un enfant". Nous sommes tous des mythomanes (racontons des histoires) et des mythophiles (aimer les recits). - Langue de bois : discours creu consensuel (dans le sens de tout le monde), politiquement correct, utilisation de formules stereotypées auxquelles tout le monde peut s'identifier, mais il n'y a rien de precis. Ex : "Le changement c'est maintenant" "La France forte" "Yes We can" "Francais je vous ai compris" De Gaulle, guerre d'Algerie

cesse de nous bourrer le crane avec une grande civilisation et développement des sciences arabo-islamiques de laquelle, nous infidèles selon le Coran, seraient débiteurs ad vitam eternam pour notre propre progrès scientifique. Si ce langage du politiquement correct à effectivement quelques bases historiques il est néanmoins opportun, urgent et indispensable de remettre les pendules et autres astrolabes à l’heure. Signalons de prime abord que ce texte se base sur des écrits d’historiens des sciences

pourrais, dans mon activité professionnelle dans le secteur de la publicité, ne vouloir promouvoir que des idées saines et correctes. Je compte bien évidemment tenter de contribuer ainsi à l’établissement d’une société plus équitable à ma manière. Le jour où il m’en sera donné l’occasion, j’aimerais pouvoir décider de ne travailler qu’avec des personnes qui auraient des idées correctes qui respecteraient la morale et l’éthique de notre société démocratique. En tant que communicateur, si je veux contribuer

pourrait-il encore être porteur et véhiculer des valeurs, ou être moteur de la démocratie ? La majorité des associations préfèrent adopter le consensus et être considérées comme partenaires, pire encore, le débat véritable fait peur. Il faut rester politiquement correct et surtout ne pas passer pour des réacs, afin de trouver des fonds pour financer les projets. Projets qui ne sont pas forcément en rapport avec celui de l’association, mais ce n’est pas grave, on s’adapte, il faut bien manger…Depuis 30 ans

poubelle ne peut que faire rire, alors même que l’image d’êtres humains traités comme des déchets, des rebuts, est d’une violence extrême. - L’audace de Beckett prend peut-être, sur ce point, une certaine acuité aujourd’hui, alors que le « politiquement correct » tend à multiplier les interdits imposés au rire, dès lors que sont concernés des enjeux tragiques, ou même simplement controversés…   http://www.dissertationsgratuites.com/sujets/didascalies-dans-fin-de-partie/140

régulièrement mises en cause dans des affaires de justice. Que se soit par exemple l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, pour le financement de sa campagne électorale ou une affaire de mœurs avec Dominique Strauss-Kahn. De plus, le politiquement correct, utilisé en toutes occasions, minimise les actes d’incivismes qui mettent à mal les valeurs fondamentales de la société. Un des exemples le plus marquant est la Marseillaise sifflée lors d’un match de football amical en France. Mais, quotidiennement

on peut se demander si le fait d’avoir vu ces deux femmes sur le devant de la scène s’agit vraiment de féminisme, ou si ce n’est pas plutôt l’idéologie conservatrice américaine qui refait surface… L’éthique américaine est tournée vers le politiquement correct. Les Américains sont donc pragmatiques, dans le détail, et moins dans l’abstrait que les Européens. Le puritanisme a certainement un rôle à jouer dans cela, puisque le relation homme-femme aux Etats-Unis est bien différente de celle présente

et dévoile la misogynie de Tach. Enfin, l’impudence dans ses propos, brisant un tabou comme la sexualité, engendre l’enthousiasme du lecteur, puisque le personnage est ancré dans la réalité d’un XXIe siècle, ou l’on véhicule des idées de politiquement correct. Ainsi, l’extrait dévoile dans un troisième temps, le franc-parler du personnage, que l’on compare aisément à de la désinvolture. En définitive, cet extrait me paraît tisser les trois principales facettes du personnage complexe de Prétextat