Le Philosophe Peut Gouverner Une Cité

sentier, qui est celui de la philosophie, pour espérer entrevoir la lumière. Cependant le philosophe, s’il est de son devoir de partager son savoir, aura du mal à le faire accepter par ceux qui sont restés dans la caverne. C’est pourquoi il est souvent rejeté. Il pourra dire ce qu’il a vu (et donc compris), mais il ne pourra jamais totalement décrire le chemin par lequel il est passé. L’apprenti philosophe doit donc entendre et accepter, à travers ce mythe, que sa vision du monde est une illusion

PREMIERE PARTIE : Les idées politiques des temps antiques CHAPITRE I : La cité grecque matrice de la pensés politique Section 1 : Les origines Le monde grecque se caractérise à la fois par son unité et ses divisions, celle-ci vont le conduire à son déclin. A_ Le cadre politique 1. L’unité Les grecques ont consciences de former une collectivité, d’appartenir à un ensemble qui les opposent au monde extérieur. Ce sentiment remonte aux « guerre médiques » (499-449 av JC) où tous les grecs

mais par des causes naturelles. Certes on peut discuter du statut de philosophe de ces penseurs pré-socratiques, en effet ils cherchent à expliquer la nature et non à comprendre l'homme comme le fera Socrate c'est pour cette raison qu'ils furent nommés « physiciens », pourtant on peut les considérer aussi comme les premiers philosophes dans la mesure ou avant l’émergence de la science notamment physique, l'effort d'explication rationnel de la nature peut être compris comme philosophique dans la mesure

|S| |E| |D| |E| |L| |A| |C| |U| |L| |T| |U| |R| |E| |"| "un bon poème est un bon poème, fut-ce une ode à Staline" "derrière la politiques des régimes totalitaires, se cache un concept entièrement nouveau, celui du pouvoir" "la cité est fondamentalement périssable ; sa survie ne dépend que de nous" "toute cette fureur porte sur des faits, mais pas sur des théories ou des idées"     1 Biographie Hannah Arendt ou la vie d'une juive allemande ▪ Née en Allemagne

Ensuite, à travers le prisme des œuvres d’éminents philosophes comme Hegel, Rousseau et Kant, il introduit le débat à l’intérieur de ce qu’il convient d’appeler le trinôme Contrat-État-Peuple, posant incidemment le problème de la souveraineté populaire. II.- Plan du texte 1.- De la fonction et des diverses acceptions du droit 2.- Le droit : émanation de l’autorité souveraine 3.- Le droit vu par certains philosophes (le droit dans le trinôme Contrat-État-Peuple

certain « rythme » Xénophane Dans toute sensation :sorte de relatif : ns invitant a distinguer la chose en ELLE-MEME et la VISION que NOUS en avons . distinction science et opinion mm si ne se précise pas comme tel . LA CONSCIENCE DANS LA CITE Les Sophistes Sophistes :tels que Protagoras , Gorgias , Antiphon :Grands intellectuels font monnayer leur savoir .Usage de la rhétorique et de la dialectique .Faisaient table rase tout ce qui faisait office d’absolu :mythes , traditions .

deux questions : d’une part, « qui sera le pouvoir souverain de la cité » ? Et d’autre part, « selon quelle modalité, le souverain légitime, quel qu’il soit, doit exercer cette souveraineté » ? bien avant Aristote, Socrate lui-même ne s’est-il pas toujours préoccupé de la question politique durant tout son vécu? De même, Platon n’a-t-il pas essayé de construire une cité juste en préconisant que le roi soit philosophe ou que le philosophe devienne roi ? C’est également dans cette perspective de la souveraineté

(Lois IV) Introduction Les Lois est un ouvrage inachevé que Platon a laissé à sa mort en -347 env. qui a pour but de bâtir une cité juste. Nous pourrions croire que celui-ci va enfin établir les lois au bout du livre quatre, mais il se contente de fixer les condition morales et physique de la personne qui devrait se trouver au pouvoir. Platon essaie donc d’organier la cité idéale ou meilleure possible selon le modèle des Dieux. Effectivement, dans le livre premier les interlocuteurs se demandent si

INTRODUCTION HISTORIQUE AU DROIT ET AUX INSTITUTIONS PUBLIQUES: L’importance du formalisme, il peut apparaitre comme une contrainte. Entre liberté et règle, la liberté n’est pas toujours une faveur et la règle peut être protectrice. Le formalisme juridique c’est aussi un formalisme de protection. On les trouve en histoire dans les sociétés primitives. Le Moyen Age va se caractériser par un grand formalisme, notamment dans les actes juridiques et la procédure. C’est une protection car ça invite les

de la pensée philosophique. Le célèbre fragment B LIII n’est presque jamais cité en entier : la guerre (polémos1) est la mère et la reine de toutes choses, c’est elle qui fait les dieux et les hommes, les maîtres et les esclaves. Principe de division universel donc, puisqu’il sépare les mortels et les immortels2, et parmi ceux-là, les hommes libres et les esclaves. Mais le cosmos héraclitéen n’est pas seulement gouverné par ce principe de division3 : de même que chez Empédocle la Haine qui sépare