Le Philosophe Intemporel

divines[…] voilà ce que toute cette entreprise des arts que nous avons exposé a le pouvoir de réaliser. » (532c). Il s'agit donc de passer de l'opinion (fournie par les sens et les préjugés) à la connaissance de la réalité intelligible des Idées. Le philosophe s'échappe de la caverne grâce à l'exercice de la dialectique, « sans le support d'aucune perception des sens » (532a). À mesure que son regard s'habitue à la lumière vive du monde des Idées, il parvient « au terme de l'intelligible » (532b)8.

pose toujours des questions, mais plus on vieillit, moins on s'en pose. On a moins de temps, tout devient banal, et on ne se pose même plus de questions, alors qu'on ne connait même pas la réponse. Philosopher, c'est retrouver le questionnement permanent de l'enfant. Ce qui fait d'être philosophe, ce n'est pas d'être plus savant que les autres, c'est de se poser plus de questions que les autres. Les premiers penseurs, avant Socrate, s'appelaient les Pré-socratiques ( ex Thalès, Pythagore …

infirmière RESPONSABILITE : celui qui se porte garant, qui répond de ses actes. LEGALITE : conforme à la loi LEGITIMITE : juste et admis par la loi L’homme est doté du libre-arbitre ce qui lui donne des responsabilités. SPINOZA (1632-1677) philosophe néerlandais : tous nos actes sont déterminés par une cause antérieure. KANT : l’homme est pleinement responsable de ses actes et porteur de valeurs morales qu’aucune circonstance ne peut excuser. Il doit se conformer à son devoir. A partir

La Fontaine : « Le philosophe Scythe » 1621-1695 : le classicisme Il n’est pas étonnant que son argument introduit deux grandes écoles philosophiques : le stoïcisme et l’épicurisme. La Fontaine met en scène la rencontre de deux hommes opposés dans un court récit qui se termine par une moralité. Situé dans une antiquité imprécise, l’apologue explicite deux conceptions du bonheur et donne au lecteur une morale qui lui permet de faire son choix et de le justifier. L’auteur n’hésite pas à

les plus puissants dans les contes qui est ici représenté par un >. Nous pouvons aussi remarquer qu’on se trouve dans un lieu imprécis et que le nom du château semble être sorti de l’imagination de l’auteur, le château de >. De plus l’époque est intemporelle en effet il n’y a aucune présence de cadre temporel. On retrouve également l’utilisation de beaucoup de superlatif > ligne 2, > ligne 3, > ligne 8, > ligne 21, > ligne 26, > ligne 33, impliquant un univers de perfection. Ceci montre que tout

de justice, sur leur part respective dans la société. Cette réflexion philosophique a permis de détacher le droit de son origine divine. La pensée des philosophes entraine la laïcalisation du droit. Section 1: La loi à l'époque archaïque paragraphe 1: Thémis et Dikè Ce qui constitue de l'expérience grecque c'est d'avoir laissé les philosophes réfléchir sur le droit, son essence et sur son importance sur la vie sociale. A l'époque archaïque la loi n'est pas écrite. C'est le roi qui dit le droit

avec celui de l'État, au Moyen Âge. Le souverain est donc au départ une personne identifiée ( tel que le représentant de l'État, ainsi donc le Roi), puis se détache de plus en plus de sa personne pour devenir un concept théorique indépendant et intemporel. La souveraineté n'est donc qu’en principe étatique. Le concept émerge pour la première fois avec Jean Bodin dans « Les Six livres de la République ». Il ne recouvre en effet aucune notion de la législation romaine : ni l' « imperium », qui désigne

moment, redescente dans la caverne. MYTHE ALLEGORIE Irruption du merveilleux ( Dieux, Monstres) Grand réalisme du récit À l'origine du monde ou à la toute fin (mythes escatologiques) Logos impuissants Intemporelle Intraduisible dans sa totalité Parfaitement traduisible "Philosopher, c'est apprendre à mourrir" -Socrate C'est une mort symbolique. L'important dans la vie n'est pas l'avoir mais l'être. Au lieu d'une position sociale l'important cest la compréhension de soi- même et des autres

comment Apollinaire parvient-il à rassembler dans ce poème les termes élégiaques du temps et de l'amour ? Dans un premier temps ; poésie élégiaque, puis sur cette essence poétique particulière. I-A) le Temps Éraclite ( philosophe grec, 500 ans avant JC ) est le premier philosophe grec à comparer le temps à l'eau. Ici aussi pour Apo l'eau s’apparente au temps qui passe ; seul le pont reste stable ( champ lexicale du mvt/ de l'immobilité ). L'idée du temps apparaît avec la répétition de la phrase

Anaximandre de Milet (610 avant J.C à 546 avant J.C) : philosophe et savant grec pré-socratique. On suppose qu'il succéda à Thalès comme maître de l'école milésienne, et il aurait eu Xénophane, Pythagore et Anaximène comme élèves. Il est le premier grec connu à avoir tenté de décrire et expliquer l'origine et l'organisation de tous les aspects du monde au point de vue que l'on qualifie de scientifique. Pythagore : réformateur religieux et philosophe, né aux environs de 580 avant J.C, mort vers 495 avant