Le Philosophe Est Celui Qui Dit En Y Pensant

et donc de montrer à tous que l’on est. Cependant, on est soi même entre alors en contradiction avec le fait de ne pas être soi même, car si l’on reprend l’exemple du fait d’être apte à dire « je », un nouveau né ou un enfant encore très jeune ne dit pas « je », il parle de lui à la troisième personne ou il ne parle pas du tout. Peut-on alors dire que cet enfant n’est pas ? Rappelons que la question est : Etre ou ne pas être ? On peut alors reformuler la question en disant, Pour quelles raisons

 à cela s'ajoute le fait qu'il y a une chose qui échappe  à ce doute, le fait que, pour douter, il me faut penser, et pour penser il me faut bien être quelque  chose. Voilà donc la première intuition: je suis quelque chose qui pense, je suis une chose pensante.  On pourrait objecter que cette vérité fondamentale, première de Descartes, nous éclaire sur  ce  que  l'on  est, non sur  qui l'on est. Cependant, le fait que la pensée me renvoie à ma propre  existence est quelque chose que je dois assumer en première personne

pense immédiatement, sans réfléchir : "ce que dit ce texte est vrai". Cet homme s'est laissé emporter par le flux de ses impressions sensibles : il se trompe lui-même, et se dirige par conséquent vers "de mauvais sentiers" (cf. Le Poème de Parménide). Il croit en effet que c'est parce qu'il aime ce texte qu'il est vrai; il a pensé par images, et non rationnellement, c'est-à-dire qu'il n'a nullement cherché en lui-même en exerçant sa raison si ce que dit le texte est vrai. Alors, penser ou ne pas penser

 La folie et la démence de sa fin de vie, son style très poétique, l’utilisation bien malgré lui de ses écrits par le nazisme auront fait de Friedrich Nietzsche un philosophe très particulier. Pourtant il aura été une figure essentielle de la philosophie de la seconde moitié du 19ième siècle et à l’origine de la thèse de l’éternel retour, décrivant le monde comme un ensemble dynamique en perpétuelle recréation destiné au surhomme. Le Gai Savoir, ouvrage dont est tiré l’extrait que nous allons commenter

cette analyse, Sigmund Freud a désiré définir et analyser le rêve. Il expose la signification que l’être humain donne au rêve et fait apparaitre deux catégories : les personnes - peuples de superstition - pensant que le rêve a un sens, qu’il annonce le futur, et les personnes – scientifiques – pensant que le rêve n’a pas de sens, qu’il est l’annonce d’un désir accompli, une attente anxieuse, un projet ou une reflexion, c’est un processus physiologique. Néanmoins, l’écrivain décide de se mettre du côté

Explication de texte: Bachelard, le cogito et les rêves! rss! Expliquer le texte suivant :! Dans les quarante ans de ma vie de philosophe, j'ai entendu dire que la philosophie reprenait un nouveau départ avec le Cogito ergo sum de Descartes. J'ai dû aussi énoncer moi-même cette leçon initiale. Dans l'ordre des pensées, c'est une devise si claire! Mais n'en dérangerait-on pas le dogmatisme si l'on demandait au rêveur s'il est bien sûr d'être l'être qui rêve son rêve ? Une telle question ne

Emmanuel Kant (1724-1804), philosophe des Lumières, va à travers ce texte retransmettre une de leur principale idée que l'on peut résumer ainsi : il faut penser (ou raisonner) par soi même si l’on veut être libre. La liberté est définie par le fait de n’être soumis à aucune contrainte qui viendrait entraver notre volonté. C’est l’acte d’un sujet libre doué de raison, qui est capable de faire des choix, personnels, de se justifier rationnellement et de décider. Raisonner c’est : observer et agir

Titre : Commentaire du texte de Hume sur la fiction du moi Texte étudié : « Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous appelons notre moi ; que nous sentons son existence et sa continuité d’existence ; et que nous sommes certains, plus que par l’évidence d’une démonstration, de son identité et de sa simplicité parfaites. [...] Pour ma part, quand je pénètre le plus intimement dans ce que j’appelle moi, je bute toujours sur une

auteurs, mais d'apprendre à penser, à tout remettre à plat et se poser des question.  Elle n'est pas plus importante de nos jours mais peut-être plus accessible, voilà pourquoi l'on perçoit une urgence à se donner la possibilité et le "pouvoir" de philosopher. Lorsqu'on se penche objectivement sur ce qui bâtit l'actualité et les évènements, je crois que l'on se doit de se munir de cet instrument de réflexion et d'analyse pour ne pas sombrer dans le désespoir. La philosophie possède cette faculté

habilité + sagesse était dit sophos aux personnes qui étaient compétente dans un domaine. Au XI av JC ont voit une définition différente Les sophistes qui ont des compétences dans l’art rhétorique (persuader) Et les pré-socratique qui essaieront de convaincre par un discours rational ils seront à la recherche de la vérité. Ils tournent le dos à la Mythologie. ( Thales, Anaxagore, Héraclité … ) Socrate sera concidérait comme le premier penseur, le premier philosophe. Il sera investi d’une