Le Peigne

L’hygiène des mains et donc une prévention à ces infections. Après m’être informée sur Anaïs, je vais dans l’infirmerie chercher : * Du shampoing contre les poux /lentes * Une lotion après shampoing (pour décoller les lentes mortes) * Un peigne fin (pour retirer les poux/lentes, après avoir appliqué l’après shampoing) * Un sac, pour les serviettes, (une fois utilisées), pour pouvoir les emmener à la laverie, sans risques * Un sèche-cheveux * Un gant de toilette (pour que la

Conclusion On voit que les poètes sont capable de métamorphoser la laideur en beauté cad métamorphoser la réalité(C’est l’une des fonctions du poète) Proposer un nouveau regard sur les choses. Un simple objet banal en l’occurrence un peigne. Dans ces trois poèmes, les poètes non-seulement sont inspirés par la laideur mais vont meme la transfigurer en beauté. Laideur morale , celles des hommes, (avec leurs défauts, …. Leur petitesse, leur mesquinerie, Egalement grande

scène où le Chevalier de la Charrette trouve le peigne inconnu. Mais, on voit aussi le côté nu et faible du Chevalier quand la jeune fille de ses aventures explique l’origine du peigne. « Ce peigne, que je sache, appartenait à la reine. Croyez-moi, les cheveux que vous voyez, si beaux, si clairs, et si brillants […] viennent de la chevelure de la reine […] de la femme du roi Arthur. » (de Troyes, 34) Après avoir vérifié la propriétaire du peigne, après « cette révélation le chevalier eut une

seuls ses jambes et son torse dépassaient. Il prit à l’étagère de verre le vaporisateur et pulvérisa l’huile fluide et odorante sur ses cheveux clairs. Son peigne d’ambre divisa la masse soyeuse en longs filets orange pareils aux sillons que le gai laboureur trace à l’aide d’une fourchette dans de la confiture d’abricots. Colin reposa le peigne et, s’armant du coupe-ongles, tailla en biseau les coins de ses paupières mates, pour donner du mystère à son regard. Il devait recommencer souvent, car elles

long jour assise à son miroir À ranimer les fleurs sans fin de l’incendie Sans dire ce qu’une autre à sa place aurait dit Elle martyrisait à plaisir sa mémoire C’était au beau milieu de notre tragédie Le monde ressemblait à ce miroir maudit Le peigne partageait les feux de cette moire Et ces feux éclairaient des coins de ma mémoire C’était un beau milieu de notre tragédie Comme dans la semaine est assis le jeudi Et pendant un long jour assise à sa mémoire Elle voyait au loin mourir dans son

de la félicité de celui-ci est aussi donnée par l’expression de son bonheur. En effet, le lyrisme de Charles traduit son enthousiasme. Il nous dévoile sa joie avec des énumérations (« un repas en tête-à-tête »,…) ainsi qu’un rythme ternaire (« son peigne », « son fichu », …). De plus, il est satisfait comme le montre « l’esprit tranquille » et « à ses narines ». Enfin, Flaubert insiste sur la complète sérénité de Charles avec des hyperboles (« sans soucis de rien », « la continuité de son bonheur »

d’une aide humaine pour sa toilette -L’âge - Fracture du col de fémur Etre propre Maintenir l’autonomie Mettre tout le nécessaire à sa porter (gant, serviette, brosse à dents, dentifrice, peigne) Pas de difficultés à effectuer les taches de la vie quotidienne, demande souvent de la peigner derrière car a du mal et reste les pinces à cheveux à mettre dans ses cheveux Peut prendre son traitement A besoin d’une aide pour avoir une bonne respiration - Asthmatique Respirer Qu’elle n’est

Main courante Moteur Présentation d’un escalator Pignon Balustrade Plaque de peigne Panneau de jupe Marche Armature Entrainement main courante Plateforme d’accés Main courante Réparation d’un escalator J’ai remplacé les mains courantes sur les escalators de Mériadeck. Tout d’abord, il faut mettre hors-service l’escalator. Ensuite, il faut dévisser la plaque de peigne et puis retirer la plateforme d’accès. Nous somme descendus dans la fosse pour atteindre

esprits ; ensuite il s’habillait d’après la saison, mais de préférence il endossait une grande et longue robe de grosse frise fourrée de renards ; il se peignait ensuite du peigne d’Almain, c’est à dire avec les quatre doigts et le pouce, car ses précepteurs disaient que c’était perdre son temps en ce monde que se, laver, se peigner et autrement se nettoyer. Après quoi il fientait, pissait, rendait sa gorge, rotait, pétait, baillait, crachait, toussait, sanglotait, éternuait et se morvait tel un

En premier lieu, nous constatons qu’il y a une présence de domination de Jean durant l’extrait, la ponctuation dominante et dirigeante, par exemple lorsqu’ il découvre que Bérenger est décoiffé et qu’il lui propose un peigne « Vous êtes tout décoiffé ! (…) Tenez, voici un peigne ! » , nous permet cette authentification. Après, nous pouvons identifier une attitude maternelle de Jean. Le fait de vouloir coiffer et arranger la tenue vestimentaire de Bérenger car il a honte d’être vu avec son ami