Le Livre Du Courtisan I

représentation de la société du 17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste. C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7. I - Une fable habilement menée            1.Une Fable qui rappelle les récits mythologiques •  Récit •  « Un mal qui répand la terreur » : allusion à Œdipe de Sophocle (mauvais comportement des Hommes qui entraîne des châtiments avec la nécessité

• Un juge idéal. Montrez que Zadig cumule les qualités : impartial, intelligent, libéral, modeste, généreux (un indice pour chaque adjectif). à savoir : dans l’épisode des deux frères espérant l’héritage, on peut penser au jugement de Salomon (livre des Rois, dans la Bible) qui lui aussi trouve un moyen habile pour faire surgir la vérité et donc rendre la justice. • La critique sociale. Quels aspects de la société de son temps Voltaire vise-t-il à travers l’anecdote du grand seigneur orgueilleux

sous-jacente (hypocrisie du Lion, le détournement du langage par les courtisans et l’injustice) et didactique (morale) • Présence du narrateur (opinions antithétiques à celles du Loup par exemple « peccadille » ou encore effet de surprise du vers trisyllabique « le berger » • Modalisateurs qui soutiennent le discours narrativisé du Loup (« ce maudit animal, ce pelé, ce galeux », « crime abominable ») et les opinions des autres courtisans (« cas pendable », « expier un tel forfait ») c. Des animaux

définissant le mieux l’œuvre littéraire de La Fontaine. -Cette fable dépeint un procès mettant en scène des animaux. Elle propose une critique du pouvoir et de la justice. -Pb : Dans quelles mesures cette fable s’apparente-t-elle à un apologue ? I) Une fable habilement menée a) Un préambule qui rappelle les récits mythologiques tragiques -Intrigue qui évoque la pièce de Sophocle Œdipe : Thèbes ravagée par la peste, recherche du coupable pour exhausser la volonté des dieux. -« Un mal qui répand

I. ÉDITIONS DES OEUVRES DE BALZAC A. Éditions originales Balzac ne conçoit pas d'emblée La Comédie humaine. L'élaboration de son oeuvre est progressive, comme en témoignent les Scènes, les Romans et Contes philosophiques ou encore les Études publiées avant l'édition « Furne ». Les éditions séparées de romans, contemporaines de Balzac, ne sont pas mentionnées ici. Elles sont recensées dans les notices des oeuvres (rubrique « Histoire(s) des textes »). a) Éditions collectives avant La Comédie

17ème siècle. Cela lui permet d’éviter la censure. La Fontaine peint l’homme de façon pessimiste et critique le roi et sa cour. Ici, il s’agit de Les Animaux malade de la peste. C’est une fable issue du deuxième recueil du livre 7 Annonce des axes de lecture Analyse : I - Une fable habilement menée 1.Une Fable qui rappelle les récits mythologiques · Récit · « Un mal qui répand la terreur » : allusion à Œdipe de Sophocle (mauvais comportement des Hommes qui entraîne des

Pierart Valentin 1S2 07/11/09 DM de Français Note : | Observation : | I) Question On peut constater qu'il y a différents formes de points communs dans ces deux fables. Ainsi, dans un premier temps, des points communs dans la forme des fables sont présents avec des animaux personnifiés, «le Cheval » et « le Loup » sont écrits avec des majuscules ce qui veut dire que ce sont des noms propres donc des être comme l'Homme. Ces animaux dialoguent avec d'autres animaux et leurs paroles

I] Rencontre âpre entre Caignet et le janséniste La première visite de Gabriel Caignet, « le joueur de viole attitré de Louis XIV et qui appartenait à sa chambre » (p. 24), est mise en relief par deux éléments dominants : la taille de Jean-Pierre Marielle, et les marches de la cabane. De la sorte, Caignet est vu en plongée, rendu inférieur à Sainte Colombe, aspiré par la caméra. Ce sentiment d'infériorité est accentué et concrétisé lorsque le janséniste renvoie avec fermeté le courtisan, bousculé

D'après les préceptes chrétiens, Dieu est le créateur de notre monde puis il en devient le spectateur. Ainsi, le monde est un théâtre dans lequel chaque être humain joue un rôle. Cette idée se retrouve à de nombreuses reprises dans Les Caractères. Dans livre VI «Des biens de fortune » (remarque 31), La Bruyère écrit : « Le peuple a souvent le plaisir de la tragédie : il voit périr sur le théâtre du monde les personnages les plus odieux, qui ont fait le plus de mal dans diverses scènes, et qu'il a le plus

tout le monde en veut davantage. A m o r a l , i n t e l l i g e n t , impitoyable et captivant, c e t o u v r a g e c o l o s s a l condense trois mille ans d ’h i s to i re du pouvoir en quarante-huit lois. Véritable manuel de la manipulation, il analyse la quintessence de cette sagesse millénaire, tirée de la vie et des œuvres des plus illustres stratè- ges (Sun Zi, Clausewitz), hommes d’État (César, Louis XIV, Bismarck, Talleyrand), courtisans (Castiglione, Gracián), séducteurs (Ninon de