Le Journal d'une femme de chambre

pour se sentir moins seul.L'écriture pour retrouver ses originespolycopié C Texte A : Simone de Beauvoir, Mémoires d'une jeune fille rangéeLe pronom personnel dominant est « je ». Il désigne l'auteur, Simone de Beauvoir, un écrivain qui a milité pour le féminisme (militante féministe).Niveau de langue soutenu parce que c'est une femme cultivée qui aime le français, (puisqu'elle est écrivain).Les personnages évoqués sont ceux de sa famille. Ils sont désignés par leurs vêtements

la vitre. Il lut : " CHAMBRES AVEC PETIT DEJEUNER ". Un vase plein de beaux chrysanthèmes jaunes était posé juste sous l'écriteau. Intrigué, Billy s'approcha. Des rideaux de faux velours vert garnissaient la fenêtre, rehaussant l'éclat des chrysanthèmes. Billy se dressa pour fouiller du regard, à travers la vitre, l'intérieur de la pièce. Il vit d'abord un joyeux feu de cheminée. Devant l'âtre, sur le tapis, un petit basset allemand dormait, recroquevillé. La chambre elle-même, aussi loin

joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu’il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu’il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche trois

la vieille Jeanne, qui travaille chez Daniel Dupont, qui fait la cuisine et le ménage, arrive dans le café où elle demande à utiliser le téléphone, car la ligne ne fonctionne plus chez Dupont. Elle appelle un médecin, parle d'une blessure au bras. Plus tard, dans le journal, on apprend que Daniel Dupont, grièvement blessé, est décédé sans reprendre connaissance. On retrouve alors Daniel Dupont à l'hôpital, en parfaite santé, si ce n'est une blessure légère au bras. Il parle au médecin de sa décision

 Prologue : l’auteur nous raconte ses premiers moments dans son LIS (locked-in syndrome, syndrome d'enfermement). Il décrit les souvenirs de ses proches, sa paralysie et sa paupière gauche qui peut bouger, la journée type dans la chambre 119 à l’Hôpital maritime de Berck. Seul son esprit peut « bouger » car son corps est totalement paralysé. Il raconte le moment où l’infirmière vient le réveiller : il est 7 heures du matin. Le fauteuil : Il n’a jamais vu autant de blouses blanches et ne comprend

omniscient Les personnages : le comte Athol, sa femme Véra qui est morte, son serviteur Raymond. Thème : l’amour est plus fort que la mort Genre : nouvelle fantastique PLAN DU TEXTE :* le présent : l’enterrement de Véra (flash back rapide sur le décès) *retour sur la scène de l’enterrement *description de la chambre de Véra *raconte leur rencontre, le mariage : c’est un amour fusionnel et exclusif *retour à la réalité dans la chambre, rêverie du comte *La comédie du comte, *l’anniversaire

intervienne la journée mais dans des pièces sombres, dans une chambre à coucher par exemple. Elle est toujours composée du même mobilier (une armoire, une commode, le fauteuil, la glace, le secrétaire et le grand lit », l’ambiance y est angoissante, il y a très peu de lumière, des recoins très sombre, propice aux apparitions. D’ailleurs, Maupassant nous décrit très bien ce décore dans « Apparition » où il y a l’apparition d’une femme morte. Elle apparaît derrière le fauteuil, ou le narrateur était

réveil; elle ne choquait pas ma raison, mais pesait comme des écailles sur mes yeux et les empêchait de se rendre compte que le bougeoir n’était plus allumé. Puis elle commençait à me devenir inintelligible, comme après la métempsycose les pensées d’une existence antérieure; le sujet du livre se détachait de moi, j’étais fibre de m’y appliquer ou non; aussitôt je recouvrais la vue et j’étais bien étonné de trouver autour de moi une obscurité, douce et reposante pour mes yeux, mais peut-être plus encore

premier pas législatif menant aux institutions de la IIIè République est le décret du 17 février 1871 qui a pour but de nommer Adolphe Thiers chef du gouvernement de la IIIè République française. Ce décret est provisoire en attendant une rédaction d’une Constitution. Le gouvernement est contrôlé par l’assemblée : on a un début de régime parlementaire. Les monarchistes ont adopté ce décret car ils veulent du temps avant de rétablir la monarchie. En effet, le camp monarchiste est divisé sur le sujet

4 juillet 1848 (à 79 ans) Paris IIe République Nationalité France Activité : principale Écrivain, Traducteur, Ministre des Affaires étrangères, Ambassadeur, Auteur Mouvement : Romantisme Issue d’une famille noble bretonne ruinée, François-René, vicomte de Chateaubriand, né à Saint-Malo le 4 septembre 1768 et mort à Paris le 4 juillet 1848, est un écrivain et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français