Le Journal d'une femme de chambre

Né en 1850 d’une famille normande, il participe à la guerre de 1870, ce qui sera pour lui une de ses principales sources d’inspiration. Il vient à Paris dès 1873, et fait la connaissance de Flaubert (auteur de Madame Bovary) dont l’influence sera déterminante. Il fréquente par la suite Zola lors des célèbres soirées de Médan, qui fondent le mouvement naturaliste. C’est le succès de la nouvelle Boule de suif (1880) qui le fait connaitre. Parallèlement, il travaille dans différents journaux notoires

Contexte Aspects extérieurs du livre Titre Couverture: peinture de Ianna Andréadis Quatrième de couverture Contenu de l'œuvre et thèmes principaux Résumé Thèmes: Statut de la femme Identité sexuelle Présentation du début de l'œuvre Analyse de l'incipit Conclusion Sources Sites internet Introduction Tahar Ben Jelloun, un écrivain marocain contemporain, a écrit cette oeuvre, parue

son ami, il s’est installé dans son appartement bourgeois de la rue Fontaine et a pris le nom de Du Roy de Cantel, rédigeant avec son aide des articles politiques contre le gouvernement républicain. En effet, Walter, homme d’affaires directeur du journal « La Vie française », désire porter au pouvoir le député Laroche-Mathieu afin qu’il devienne ministre et que tous deux puissent réaliser de fructueuses spéculations. Nourri d’un arrière-plan historique réel, ce passage nous permet de découvrir les

Georges Duroy possède tous les traits de la figure naissante de l’arriviste, sous le Second Empire. Dans l’extrait du chapitre deux de la partie deux qui fait l’objet du commentaire littéraire, Duroy rentre chez lui avec un bouquet de roses pour sa femme, il apprend que Vaudrec est invité à dîner comme tous les lundis. Désappointé, il passe, finalement une bonne soirée. Le les évènements du Maroc. Ainsi, nous étudierons d’abord l’ascension sociale de Duroy puis nous montrerons que le narrateur

pour ses jeunes gens, une vie rangée, sans accroc, et surtout sans scandales publics). 2. Présentation de l’auteur : Jules Barbey d’Aurevilly est un écrivain français du XIXe siècle. Né à Saint Sauveur le Vicomte en 1808, il grandit au sein d’une famille d’origine noble, dans la plus pure tradition catholique. Ses parents sont des monarchistes que la Révolution Française a fortement bouleversés. En 1816, Jules présente l’école militaire, mais on lui en refuse l’accès. Il poursuit donc des études

une femme qui se trouve dans sa chambre. Cette pièce est le lieu le plus intime d’une habitation. En effet, on trouve dans la chambre de cette femme une grande partie de sa vie. A travers les vêtements jetaient au sol, les bijoux, les fleurs etc. on comprend la vie et le caractère de cette femme qui mène une vie au milieu du luxe et des fêtes. Tout ce désordre évoque également un mode de vie très actif et certainement dépassé. Néanmoins, il décrit cette femme telle une déesse, une femme d’une grande

très confirmés. Une femme corrigeait des copies avec hauteur, sans hésiter. Il suffisait de franchir correctement l'heure suivante pour être autorisée à faire comme elle toute ma vie. Devant une classe de première, des matheux, j'ai expliqué vingt-cinq lignes — il fallait les numéroter — du Père Goriot de Balzac. « Vous les avez traînés, vos élèves », m'a reproché l'inspecteur ensuite, dans le bureau du proviseur. Il était assis entre les deux assesseurs, un homme et une femme myope avec des chaussures

humaine) mais a connu diverses punitions : parfois aucune dans les temps anciens puisque la femme était considérée comme un objet à échanger, parfois énormément comme avec la loi islamique et souvent au détriment de la femme (chez les Amérindiens de l'Illinois, la femme adultérine se fait couper le nez, arracher les cheveux ou subit un viol collectif), comme le montrait avant le droit français où la femme était passible d’emprisonnement dès lors que l’adultère était commis (à cause des « enfants

Duroy, d’une grande élégance, se rend chez Forestier où il se met à relater ses souvenirs d’Afrique après avoir donné l’image d’un jeune homme intimidé par la présence de son patron. La facilité avec laquelle Duroy fait revivre ses souvenirs attire l’attention de tous et en premier lieu celle de trois femmes : Mme Forestier, Mme Marelle et Mme Walter. M. Walter veut le revoir le lendemain et lui demande un article sur l’Algérie. Chapitres III et IV Duroy se retrouve chez lui, dans une chambre insalubre

[Madame Bovary] : Procès intenté à M. Gustave Flaubert devant le tribunal correctionnel de Paris (6e Chambre) sous la présidence de M. Dubarle, audiences des 31 janvier et 7 février 1857 : réquisitoire et jugement. [pic] Saisie du texte : O. Bogros pour la collection électronique de la Bibliothèque Municipale de Lisieux (07.IX.2000) Texte relu par : Y. Bataille Adresse : Bibliothèque municipale, B.P. 27216, 14107 Lisieux cedex -Tél. : 02.31.48.66.50.- Minitel : 02.31.48.66.55. - Fax : 02.31