Le Journal d'une femme de chambre

moi c'est cette douleur,je me souvenu que des crocs me transperça tout ce liquide chaud passa de mon corps à des lèvres pulpeuses je pense qu'elles étaient colorés de ce rouge,je sentis un souffle chaud,puis sur mon torse je sentis une poitrine de femme. Après être rester plusieurs jours dans le coma dans ma maison vide,je me réveilla avec beaucoup de mal. Je partis vers la salle de bain,dans le miroir je me regardais,mon visage avait changé,la couleur de mes yeux aussi,mon cou me piqua tout à coup

joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu’il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu’il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche

joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d'une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu'il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu'il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche

joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu’il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu’il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche

Il meurt à Mougins en 1973. [pic] Notices d’œuvres [pic]Buste de femme, 1907 (Étude pour les Demoiselles d’Avignon) Huile sur toile. 66 x 59 cm © Picasso Administration [pic] Les Demoiselles d’Avignon, une des œuvres fondatrices de l’art moderne, annonçant aussi bien le cubisme que l’expressionnisme, ont demandé à Picasso neuf mois de travail et un grand nombre d’études préparatoires. Parmi celles-ci, le Buste de femme se situe à la charnière de ces deux orientations stylistiques. Une

Résumé très complet « De japanse tuin » C’est la nuit, une jeune fille sort d’une boite de nuit pour prendre l’air car elle se sentait mal et sur le fleuve KolenKaai qui était calme (et à côté de la boite de nuit), elle aperçoit comme un sac poubelle éventré, puis elle se rend compte qu’en fait c’est un garçon mort, car elle voit sa tête. Elle crie et raconte l’histoire aux personnes de la soirée, mais personne ne la prend au sérieux jusqu’au moment où une personne va vérifier et appelle la

joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d'une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu'il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu'il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche

soupçonneux. Le jeune homme lui cachant de toute évidence quelque chose, il lui demande de pouvoir rencontrer sa mère, ce qui lui est vigoureusement refusé. Après avoir averti Lila, d'une cabine téléphonique, que le comportement de Bates l'intrigue, Arbogast revient sur place en se faufilant jusque dans la maison. La vieille femme le surprend alors en haut sur le palier. L'enquêteur trop curieux, assailli au poignard, dévale l'escalier et meurt. Norman arrive et procède à nouveau au « nettoyage » des lieux

observations.  "Pour une nuit d'amour" relate la vie de Julien, un personnage insignifiant comme on en croise parfois et que l'on ne regarde pas. Il mène une vie lisse, fade avec les règles qu'il s'est imposées. Il travaille sans relâche, se repose dans sa chambre louée, n'a pas d'ami, d'amante. Il mène une vie de moine retiré de ce monde. Sa seule distraction est de jouer de la musique, sans incommoder ses voisins qui sont aussi silencieux que lui.  Cette atmosphère tranquille va être bouleversée par le retour

dont l’histoire montre la réussite d’un personnage arriviste qui par ses pensées nous permet de pénétrer cet état d’esprit. C’est la réussite du mensonge, de la trahison, du reniement et de l’opportunisme. « Derrière chaque grand homme, se cache une femme » citation de Gabriel-Marie Legouvé, poète français (1764-1812) L’auteur Sa carrière Ecrivain français, né en 1850 en Normandie, Maupassant vient à Paris en 1871 où il rencontrera Flaubert qui l’initiera sur la voie littéraire. Il fréquentera