Le Journal d'une femme de chambre

joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu’il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu’il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en 6 poche

joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d'une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu'il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu'il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche

Maman qui venait de gagner à la tontine du quartier. Elle ne s'empêcha pas de pousser un "putin" son mot favori qu'elle aimait tant utiliser, puis réussit enfin à poser ses deux pieds, le gauche en premier délicatement sur les carreaux glacées de la chambre. Elle tâtonna par ci par là pour parvenir au contact de la lampe qu'elle alluma avec un ouf de soulagement. Habituellement paresseuse, Aissata était contrairement ce jour la assez active. Elle prit sa serviette pendue sur le dossier de la chaise

joli garçon, qui s’étendent comme des coups d’épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d’un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d’une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote à prix fixe. Lorsqu’il fut sur le trottoir, il demeura un instant immobile, se demandant ce qu’il allait faire. On était au 28 juin, et il lui restait juste en poche

les marchés aux alentours. Il possède également un magasin dans la ville d’à côté pour y commercialiser ses confitures et son vin. Lucas souhaite également améliorer son activité en rénovant un bâtiment situé sur son exploitation pour en faire des chambres d’hôtes. 2° Son épouse a également ouvert une boutique dans le centre dans laquelle elle commercialise ses bijoux qu’elle réalise entièrement à la main. 3° Maxime à quand à lui ouvert un cabinet d’expertise comptable après des études de gestion

la vieille Jeanne, qui travaille chez Daniel Dupont, qui fait la cuisine et le ménage, arrive dans le café où elle demande à utiliser le téléphone, car la ligne ne fonctionne plus chez Dupont. Elle appelle un médecin, parle d'une blessure au bras. Plus tard, dans le journal, on apprend que Daniel Dupont, grièvement blessé, est décédé sans reprendre connaissance. On retrouve alors Daniel Dupont à l'hôpital, en parfaite santé, si ce n'est une blessure légère au bras. Il parle au médecin de sa décision

malentendu : Une femme épouse un homme dans l'espoir qu'il changera et il ne change pas. Un homme épouse une femme dans l'espoir qu'elle ne changera pas et elle change. 2ème malentendu : Une femme se préoccupe de son avenir jusqu'à ce qu'elle trouve un mari. Un homme ne s'inquiète jamais de l'avenir jusqu'à ce qu'il trouve une femme. 3ème malentendu : Le succès d'un homme se mesure à sa capacité à gagner plus d'argent que sa femme ne peut en dépenser. Le succès d'une femme se mesure à sa

Jean oui La femme de Monsieur Jean oui Plusieurs têtes de rhinocéros Oui  Oui  oui À partir des répliques et des relevés extraits du décor en début de chaque acte et tableau et des relevés extraits des didascalies Acte premier Acte II, premier tableau Deuxième tableau Acte III Lieu « une place dans une petite ville » , « une maison avec rez de chaussée et un étage », « épicerie », « terrasse » , « café » P.122 D. « palier » p.91 debut de tableau « bureau d’une administration »

social de Georges Duroy. Commençant comme employé au bureau des chemins de fer du Nord, il rencontra un ancien ami, Charles forestier rédacteur politique à La Vie française qui lui propose un poste dans ce journal. Au cours d’un diner chez les forestiers, il rencontre Mme Forestier qui est la femme de son ami lui donne des conseils et l'aide à rédiger ses premiers articles. Puis il fait la connaissance de Clotilde de Marelle, un sympathique bourgeois, qui sera son amante durant tout le roman. Sa fille

premier étage, il y avait d'abord la chambre de "Madame", très grande, tendue d'un papier à fleurs pâles, et contenant le portrait de "Monsieur" en costume de muscadin. Elle communiquait avec une chambre plus petite, où l'on voyait deux couchettes d'enfants, sans matelas. Puis venait le salon, toujours fermé, et rempli de meubles recouverts d'un drap. Ensuite un corridor menait à un cabinet d'études ; des livres et des paperasses garnissaient les rayons d'une bibliothèque entourant de ses trois côtés