Le Jeu de la mort

recueils Capitale de la Douleur (1926) et L'Amour de la poésie (1929). Il a écrit également plusieurs textes dénonciateurs comme Au rendez-vous allemand (1944). Dans ce poème on remarque que la vie est marquée par le bonheur et l'échange tandis que la mort est marquée par le silence et la noirceur de sa vie. Il est question d'une vie passé, c'est marqué par le temps du passé au vers 1 à 8. Ce qui nous permet de dire que le passé est révolu et in changeable La vie est associée à la lumière : «

démonter. Les types de textes : Le texte argumentatif : C’est un texte servant à présenter une opinion de façon à convaincre le lecteur (article, discours). Le texte prescriptif : Il sert de cadre à des réalisations, des actions (règle du jeu, recette règlement mode d’emploi, publicité...). Le texte informatif : Comme son nom le précise, il donne ou résume des informations, il explique, il décrit. Le texte narratif : Il raconte une histoire réelle ou fictive. Ce peut être un récit d’aventures

mot République n’avait pas le même sens que celui de notre époque. Napoléon mort en 1815 donc en 1830 Monarchie de juillet avec Louis XVIII et Charles X remplacés par Louis Philippe lors des 3 glorieuses. Mais aucuns progrès avec Louis Philippe qui conserve la monarchie donc désillusions totales. Lien avec la mort du Duc dans Lorenzaccio qui n’a rien changé car il a été remplacé par un cousin encore plus tyran. Donc mort de Lorenzo inutile. 2) Alexandre est un tyran arbitraire, cruel, débauché qui

Charles X du trône. C'est un période de désenchantement ou le triomphe de l'argent ruine les valeurs morales. Le roman est aussi philosophique, car il invite à réfléchir sur le choix que chacun peut faire sur sa propre vie. Les thèmes principaux sont le jeu, le désir destructeur, le temps, l'argent et la science. C'est un roman qui se compose de trois parties : 1. Le Talisman : dans cette première partie, le jeune Raphaël de Valentin entre dans une maison

Vladimir, à plusieurs reprises, « ôte son chapeau, regarde dedans, y passe la main, le secoue, tape dessus, souffle dedans, le remet » (G, 12-13), et surtout le long échange des chapeaux (G, 101-102), relèvent d’une mimique et d’un numéro de clown. Le jeu de la valise, au cours duquel Lucky dépose et reprend alternativement son fardeau, appartient peut-être aussi au répertoire du cirque, à une « entrée » de clowns intitulée « charge et décharge »6. Le chien en peluche auquel « il manque une patte » et

envoie Cassius à la mort. La comédiedevient farce tragique.II Une farce tragique1 Prendre les patriciens au motLa dénonciation de l’hypocrisie entreprise par Caligula est pourtant simple : elle consiste seulement à les prendre aumot. Lucius en est quitte pour sa

boit et jette la fiole » ou encore « Ils s’asseyent à côtés l’un près de l’autre » et de didascalies expressives mettant en avant la mort lente et de plus en plus imminente des protagonistes : « d’une voix affaiblie », « d’une voix de plus en plus faible ». L’accentuation du visuel est aussi présente dans le scénario puisque les trois personnages se donnent la mort sur scène (un élément donc contraire à la bienséance ce qui peut éventuellement charmer un peu plus le spectateur en lui donnant l’illusion

stratégie de combat, à l’extermination progressive et méthodique des hommes : 1) on tire au canon dans le tas, 2) on tire au fusil sur rescapés, 3) on va finir à la baïonnette les blessés. + symétrie, de chaque côté 2) la guerre vue comme un jeu - distance : le regard du narrateur embrasse tout le champ de bataille ; a un regard panoramique - les personnages semblent des soldats de plomb : renversèrent (euphémisme pour « tuèrent ») - sujets des phrases sont les noms des armes, pas des

Cette séquence s'inscrivait dans un premier pôle consacré à l'écriture fantastique et onirique : -Séquence 1 : L'écriture de la peur : raconter une histoire pour prendre le lecteur au jeu. L'invité de Dracula, Bram Stoker. -Séquence 2 : La peur et le rythme. Un classique du genre : la course contre la mort. Etude intégrale de L'enterrement des rats, Bram Stoker. Support 1."Rêveries", Victor Hugo, Les Orientales (1829) 2.Spleen, "Quand le ciel bas et lourd", Baudelaire, Les Fleurs

soir; il vient ». De quoi ou de qui parle Hamm, d'une réalité ou d'une fiction ? La réalité même des faits ne serait-elle pas dans le récit de Hamm justement ? Lorsqu'il dit « il ne connait que la faim, le froid, et la mort au bout » (p.109), n'annoncerait-il pas sa propre mort ? Il semble raconter l'origine de la catastrophe, mais cela demeure imprécis, est-ce un récit ou est-ce une réalité ? Tous ces éléments confus participent à la perte des repères pour le lecteur, est-ce la fin de la pièce