Le Jeu de la mort

III) La situation Spatio-temporelle : a - Les lieux réels. b - Les allusions à l’époque. IV) Les événements étranges : a - Relevé dans l’ordre chronologique. b - Personnification de la statue. V) Les explications de la mort tragique d’Alphonse : a - Explications réalistes b - Explications surnaturelles. VI) La nouvelle fantastique : Approche de définition. VII) Construction du récit. Mérimée, Prosper (1803-1870), écrivain français appartenant à

Le tombeau d'Edgar Poe, est un poème écrit par Mallarmé en 1877. Il crée cela à la suite du monument qui fut construit en l'honneur du poète Edgar Poe à Baltimore, pour lui rendre hommage vingt-cinq ans après sa mort. Il le fait car il le considérait comme l'un de ses initiateurs (ainsi que Baudelaire qui rendi aussi hommage à Poe). Il y fut convié par l'Anglais Swinburne et Sarah Sigourey Rice car elle voulait faire un volume d'hommage malgrés les très nombreux textes déjà composés à son égard.

confiance dans leur souverain et dans leurs prêtres vient à être trahie, les révoltes ne se font jamais attendre. PYRAMIDE DE LA SOCIETE EGYPTIENNE [pic] Le Pharaon administre le pays par l’intermédiaire de nombreux fonctionnaires qui, à leur mort, transmettent le plus souvent leur charge à leurs enfants. Ces nobles possèdent de belles et riches maisons ; ils accordent beaucoup de temps à leurs loisirs ; banquets somptueux, jeux de société, chasse dans le désert ou dans les marais du Nil.

Développeur ArenaNet Concepteur ArenaNet, des anciens de Blizzard Musique Jeremy Soule -------------------------------------------------------------------------------- Date de sortie 28 avril 2005 (Europe, USA, Corée) Genre CORPG Mode de jeu PvE, PvP, GvG, AvA, HoH, 1vs1 Plate-forme Windows Média CD-ROM (2), DVD et téléchargement Contrôle Clavier, Souris Guild Wars est une série de jeux de rôle en ligne compétitifs (CORPG) sans abonnement développée par ArenaNet et éditée par NCsoft

épanouir la rate du vulgaire » B. Figure de la marginalité Jeu sur l’homonymie : « palais »  château ou « palais »  bouche = désigne l’alcoolisme par metonymie Allitération en P et B dans le dernier tercet, « étaler ses appâts »= prostitution C. Figure du mal La muse est victime de l’ennuie : allitération en N «  les noirs ennuis des neigeuses soirées » et le terme « noirs ennuis » = cf le poème au lecteur car ennui = Mal absolu (néant, mort ) Muse blasphématrice : caractère profane de la Muse

fictive/ Mais éléments historiques tout de même (Waterloo...) ->un roman d'analyse: psychologie (amoureuse) (cf René, Chateaubriand, entre autres) développée, rappel au traité De l'amour+ les mouvements de l'âme au centre des préoccupations, avec jeu sur la focalisation interne, les évolutions (exp: l'amour de Clélia et Fabrice),rien n'est dit explicitement, le lecteur ne peut que tirer des conclusions.) "Ne dites jamais "la passion brûlante", le pauvre romancier doit le faire penser sans jamais

spectacle : noir, sombre, une couleur de mort. Sur le devant de la scène à gauche, le cadavre du roi du Danemark, le père d’Hamlet. Il est étendu dans un costume noir ; le fossoyeur veille sur sa dépouille avec de temps en temps des éclats de rire à vous retourner la peau. Des « tiroirs » sont visibles sur le mur de droite, guettant le moment d’avaler les corps des personnages qui tomberont au fur et à mesure de la pièce… « La chair froide et pourrissante, la mort dans ce qu’elle a de plus brutal et

opprimés =) la mercerie=) cercueil + adjectifs de couleurs du deuil =)la mort : sombres, noires, blanchâtre et rougeâtre (x2) =) péjoratif reviennent très souvent et sont plus forte au fur et à mesure + CL de la mort :"brûlé", "noires", "ombres", "dernières", arbres vieillis jettent leurs feuilles, sent la mort venir, des linceuls dans son ombre,taches brunes et grises qui s’effaçaient + obscurité contraste avec le jeu des lumières +des CCL et CCT : évocation de lieu et de tps en début de paragraphe

avancer l’action en suggérant sans le vouloir à son maître de nouvelles façons d’insulter le Commandeur. Il est impressionné par la beauté du monument, cela donne à Dom Juan une occasion de critiquer la vanité du mort : « Qu’on ne peut voir aller plus loin l’ambition d’un homme mort ; et ce que je trouve admirable, c’est qu’un homme qui s’est passé, durant sa vie, d’une assez simple demeure, en veuille avoir une si magnifique pour quand il n’en a plus que faire » (l. 3 à 5). À peine a-t-il dit

style de jeu "épique": seule la fable compte, tout doit être subordonné à la narration de l'enchaînement des faits, les acteurs doivent renoncer à toute interprétation psychologisante de leurs rôles. Les acteurs, lorsqu'ils ne jouent pas, restent à l'extérieur du cercle, mais à la vue du public. Quand ils s'avancent sur l'aire de jeu, ils prononcent des "vers de liaison" expliquant qui ils sont et le rôle qu'ils vont jouer. Il n'y a donc ici aucune possibilité d'illusion théâtrale. Le jeu est révélé