Le Héros et le Soldat

LE PORTRAIT DU HEROS L’intérêt premier de ce portrait est la façon dont Maupassant utilise les notations physiques pour suggérer des traits de caractère. Ainsi l’allure générale du personnage, immédiatement nommé, est mise en valeur dès le début, « Il portait beau de nature », « il cambra sa taille », et reprise en apposition dans le dernier paragraphe de l’extrait : « Grand, bien fait ». Il attire donc l’attention des femmes : elles « avaient levé les yeux vers lui ». Le premier détail évoqué

personnages, des héros qui eux peuvent être réels ou idéalisés. Depuis l'Antiquité le terme de «héros» a énormément évolué, entre le héros gréco-latin, fils d'un dieu et d'une mortelle ou inversement, et le héros de nos jours qu'on peut apercevoir a la télévision, on aperçoit une grande différence. Le héros du roman dont nous allons parler est le personnage sur lequel est fondée toute l'action c'est généralement le personnage principal, ils vivent de nombreuses aventures. Un bon héros de roman est-il

conduit à la défaite rapide de l'armée irakienne, à la capture et l'exécution de Saddam Hussein et à la mise en place d'un nouveau gouvernemen t.Le conflit ne s’est donc achevé de manière effective que le 18 décembre 2011 avec le retrait du dernier soldat américain du pays mais la violence continue. Cette guerre aura duré 3207 jours, soit huit ans et neuf mois. La première guerre du Golfe fut alimentée on le sait, par l’Occident, en armements à Saddam, notamment français et américains, et financièrement

portrait d'un personnage haut en couleur, Georges Duroy? Plan: I) portrait d'un héros a) Georges b) le femmes II) Paris, un tableau réaliste a) paris une ville riche b) paris réaliste dans l'incipit le narrateur nous dévoile une majeur partie du caractère physique et morale du héros Georges Duroy que l'on suivra tout au long du roman. Nous pouvons ainsi découvrir le portrait de Georges

7), « croisade apocalyptique » (l. 8), « foireux » (l.21), « crétin » (l.34).  présence de sentiments : « effroi » (l.1), « perdu » (l.1), « mon frère peureux » (l. 21), « j’étais dépucelé » (l. 27). = Bardamu se révèle être le contraire du soldat courageux : l’auteur nous expose avec réalisme les émotions d’un être humain en proie à l’horreur. = l’engagement de Bardamu est absurde, comme le souligne le paratexte, puisqu’il s’est engagé sur un coup de tête. Absurde aussi l’agitation frénétique

royaume en mer d'Egée. La capitale de la Macedoine (belle) s'est retrouvé dans les confins du centre même de l'empire qu'il avait contribué à établir durant ses campagnes. Mais c'est aussi un personnage de tragédie, fauchée à 33 ans, souvent comparé au héros mythique Achille, et à travers ses batailles, Alexandre le Grand met en scène ses conquêtes, mettant en œuvre son projet, un acte conquérant d'abord ans son objectif (abattre l'empire perse qui s'étendait à l'est du monde grec) mais aussi dans un second

Critique littéraire 6206681691.docx Critique littéraire : L'album n°7 d'Astérix "Le combat des chefs" « Le combat des chefs » est une bande dessinée rédigée par René Gocciny et dessinée par Albert Uderzo. Les personnages principaux sont Astérix (le héros), Obélix (ami inséparable d’Astérix), Abraracourcix (le chef de la tribu gauloise), Panoramix (le druide vénérable du village), Aplusbégalix (le chef de la tribu gallo-romaine), Perclus et Langélus (les centurions romains),

strict nécessaire : V11 « des bivouacs désolés » Les bivouacs sont censés être des lieux de carrefour, de repas, de chaleur et de repos. Mais les soldats se trouvent dans des bivouacs désertés, vide, qui n’a rien à leur offrir. V20 « On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus. » Il y a un parallélisme dans la coupe du vers. On voit bien que les soldats manquent du strict nécessaire, ils n’ont pas de chaussures alors qu’il neige. B- Chacun manque de soins : V11 12 « Les blessés s'abritaient dans

le point de vue naïf de Candide (cf verbes « renverser, infecter »  fait penser à des soldats de plomb qui tombent). -Gradation ds le décompte d. victimes (énumération 2 chiffres) « milliers, six mille, neuf à dix mille » : l’iptc d. chiffres valorise la W (+ il y a de morts, + succès ê gd). La guerre ressemble à un jeu séduisant pour Candide ( a du mal à comprd la réalité 2 la W) : hô comparés à des soldats de plomb. B/ La justification morale et philosophique « tremblait cô un philosophe »

double de Céline. Le héros, comme Candide, découvre le monde et ses horreurs : la guerre en Europe, le colonialisme en Afrique et l’industrialisation aux Etats-Unis. - L’extrait : récit à la première personne, sorte de monologue intérieur de Ferdinand, soldat sur le front, Mais le personnage n’agit pas en soldat (au contraire), il observe « le théâtre de la guerre » et en tire des réflexions, des interrogations sur la guerre et son absurdité. Pb : En quoi le portrait d’un anti héros permet-il une critique