Le Fantôme noir

tout de même celle d’une promenade funèbre : le crépuscule apporte logiquement avec lui le côté sombre qui rappelle le noir de la boutique des Raquin et le passage du Pont-Neuf dans lesquels Thérèse étouffe. Comme dans le passage, l’ombre évoque des fantômes : " De grandes ombres tombaient " et les couleurs, même adoucies, sont principalement sombres : " les eaux étaient noires ", " les deux rives, d'un brun sombre tâché de gris ", " les coteaux n'étaient plus que des tâches brunes et grises ". Lorsqu’elles

portant casque, masque à gaz et cape. A droite, c’est le retour du front ; un homme rampe comme un animal, un autre (qui est en réalité un autoportrait d’Otto Dix) porte un blessé à la tête bandée. Le peintre regarde le spectateur et ressemble à un fantôme. Le décor : des trous d’obus, des arbres calcinés, des ruines, un incendie. Sur la partie basse, on voit des soldats morts alignés sur le dos dans cercueil/une fosse commune avec des parois faites de planches. L’artiste a été engagé volontaire en

jeune couple et un homme plus âgé en costume noir. Ce dernier tient une pochette de cuir sous le bras et referme la lourde porte à clé. Bras dessus, bras dessous, les jeunes gens se dirigent vers une voiture de sport flambant neuve garée dans l’allée devant la demeure. L’HOMME EN NOIR leur serre la main avant de s’éloigner vers le portail. Derrière le muret d’enceinte, on distingue une route de campagne longeant un bois. JEUNE FEMME Et, à propos, le fantôme ? Pendant qu’elle semble hésiter entre plusieurs

complet.     Pas une parole n'était échangée. Ils tapaient tous, on n'entendait que ces coups irréguliers, voilés et comme lointains. Les bruits prenaient une sonorité rauque, sans un écho dans l'air mort. Et il semblait que les ténèbres fussent d'un noir inconnu, épaissi par les poussières volantes du charbon, alourdi par des gaz qui pesaient sur les yeux. Les mèches des lampes, sous leurs chapeaux de toile métallique, n'y mettaient que des points rougeâtres. On ne distinguait rien, la taille s'ouvrait

mortels et l’impossibilité de sortir, le couple fait appel à Beetlejuice, « bio-exorciseur », fantôme des plus extravagants ! Le film fait un carton. Le public raffole de l’humour noir et l’univers fantastique du conteur qu’est Tim Burton autant que les critiques. Beetlejuice remporte d’ailleurs un Oscar pour le maquillage – on admet volontiers que Michael Keaton est méconnaissable sous son masque de fantôme déluré. En octobre 2009, le film ressort au cinéma. Scène d’exposition. Un plan

dans le nord, le ciel était noir sous un étanche drap de brume. La nuit était tombée et j’avais hâte d’être dans mon lit douillet plutôt qu’être prit dans le siège arrière a regardé ce macabre paysage. Florian, mon grand-père, comme si je n’étais déjà pas assez pétrifié par la situation, lança : « Si on est vraiment malchanceux, on pourrait apercevoir le fantôme d’Hector nous dépasser à pleine vitesse dans sa Corvette. ». Je répliquai, sans trop d’assurance : « Les fantômes, cela n’existent pas… ».

 Jazz et vin de palme est un recueil écrit par l'écrivain congolais Emmanuel Dongala. Il a été publié en 1982 aux éditions Hatier dans la collection Monde Noir Poche. Il faut attendre 1996 pour que les éditions du Serpent à Plumes le rééditent. L'édition que l'on trouve aujourd'hui généralement en librairie est celle des Éditions du Rocher, dans la collection Motifs. Le recueil est composé de huit nouvelles réparties entre le Congo et New York. Nous pouvons distinguer nouvelles congolaises et

Les couleurs d’ Halloween, noir et orange, combinent les deux idées : mort et moisson. Les personnages couramment associés à Halloween sont les fantômes, les goules, les sorcières, les vampires, les chauves-souris, les hiboux, les corbeaux, les vautours, les maisons hantées, des personnages à tête de citrouille, les chats

L’Auteur de l’univers, le Monarque céleste S’était rendu visible en ma seule beauté ; Ce vieux titre d’honneur qu’autrefois j’ai porté, Et que je porte encore, est tout ce qui me reste. Mais c’est fait de ma gloire, et je ne suis plus rien, Qu’un fantôme qui court après l’ombre d’un bien, Ou qu’un corps animé du seul vers qui le ronge. Non, je ne suis plus rien, quand je veux m’éprouver, Qu’un esprit ténébreux, qui voit tout comme en songe, Et cherche incessamment ce qu’il ne peut trouver. Jean-Ogier

jours heureux comme ils se l’étaient dits avant le meurtre, c’est le contraire qui se passe. « Et quand la fatigue baissait ses paupières, elle voyait Camille dans le noir, elle rouvrait les yeux en sursaut » « Il lui semblait voir, sous l’arche du pont, passer de longues traînées de noyés qui descendaient au fil du courant. » Le fantôme de Camille ne veut plus les laissées, il ne leur laisse aucun répit, cet âme est tourmenté et ne laissera jamais Thérèse et Laurent en paix. Thérèse et Laurent deviennent