Le Fantôme noir

fait normales et se comportant de façon répréhensible sont aussi qualifiées de monstres. Des créatures à coller les frissons : des vampires aux longues dents assoiffés de sang, des zombies par centaines, des loups-garous bien poilus, des fantômes, beaucoup de fantômes, des sorcières et sorciers, de sataniques diables et démons, des machines (« Christine », 1983), des robots (« Terminator », 1984), des extraterrestres (« Alien », 1979), des poupées sanglantes (Chucky dans « Jeu d'enfant », 1988 ), des

Voltaire, Le nègre de Surinam, in Candide. (page 4) • Explications du texte de Montesquieu (page 5) • Explications du texte de Voltaire (pages 6-7) • Texte de Richard Wright, Black Boy (pages 8-9) • Texte de Jean-Claude Carrière, Les Fantômes de Goya (page 10) • Explications du texte de Richard Wright (pages 11-12) • Explications du texte de Jean-Claude Carrière (pages 13-14) • Conclusion (page 15) • Bibliographie (page 16) La littérature, miroir de la société

Description, Analyse : 1)Premier Plan Description :De gauche à droite : une mère avec son enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite qui est démembré, un cheval, une lampe au plafond, une femme ou un fantôme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un prisonnier prit par les flammes d’une habitation et tout en bas au milieu une fleur. Les expressions sont fortes (femme criant de douleur, cheval terrorisé, soldat

Le personnage est definie comme un fantome en effet on observe plusieurs termes qui conottent la mort tels que : ''l'absence de chaleur''(l18.), sinuosités froides''(l.16), '' livide ''(l.9), ''pale ''(l.9) les effets produisent de la peur chez le lecteur et donne au personnage l'aspect dun spectre qui a la paleur et la froideur de la mort . On remarque aussi la repetition de l'adjectif noir '' cravate de soie noie '' (l.11) et ''sillon noir'' (l.14) , le noir ; une couleur dominante qui par ces

hait, vous regarde en riant. Comme si votre roi n’était plus qu’un fantome, La Hollande et l’Anglais partagent ce royaume ; = Ruy Blas énumèrent les anciennes possessions perdues par l’Espagne. Du ponant = l’ouest. Ici il y a une PERSONNIFICATION de l’Europe. Il dit qu’elle hait l’Espagne et qu’elle rit d’elle. ( Le Roi est COMPARER à un fantôme = autre dénonciation du Roi par Ruy Blas. Et vu que le Roi est un fantôme, d’autres pays profitent pour se partager l’Espagne. Ce passage

débute à partir de 1865 avec la création d'une organisation de blancs du Sud d'extrème-droite racistes le Ku Klux Klan. Ils portent des capuches pointues blanches et des vêtements blancs pour ressembler à des fantômes et faire croire aux noirs peu instruits et crédules qu'ils sont les fantômes des soldats sudistes morts au combat pendant la guerre de Sécession. Les membres du KKK terrorisent les noirs et pratiquent le lynchage, c'est-à-dire qu'ils frappent les noirs à mort et les pendent. Jusqu'en

Les Ewell sont donc ignorant, vivent dans une baraque, mangent parfois certains déchets trouvés dans la décharge et sont sales ô possible. Le début de cette histoire nous raconte essentiellement la vie des enfants, leurs rêves, leurs jeux, leurs fantômes et leurs craintes. Parmi ces dernières figure en bonne place la maison juste à côté de la leurs. Elle appartient aux Radley, famille dont fait partie un homme au nom de Boo Radley que les enfants n’arriveront jamais à voir, sauf une seule fois. Il

d’abord l’incipit à proprement dit puis les symboles du conte qui y sont présents. I. Incipit. 18 ans après la2nde GM, en Europe, dans une Allemagne traumatisée. Dans le titre plutôt sombre, on trouve déjà toutes les informations, avec le Célèbre Lac Noir, on sait déjà qu’il y a quelque chose d’étrange. Le point de vue est interne et nous sommes face à un roman autobiographique fictif, avec d’une part un récit rétrospectif qui nous plonge dans le passé et un introspectif qui grâce à la polyphonie entre

placés a la rime ou au début du vers, pour la musicalité; l’insatisfaction du poète est suggérée aussi par les mots-clé qui laissent des trainées dans nos ames: des mots du côté négatif: couvercle, plafond pourri, vaste prison, corbillard, drapeau noir, cachot humide. Ces syntagmes font une famille qui nous émeuvent, qui réveillent en nous une sorte de malheur, de manque de liberté. A la sensation d’humide s’ajoute celle du pourri, du corbillard, donc une vision de la mort et il y a l’impression

qu’elle n’est pas vivante. Tous les éléments de la nature sont centrés autour d’elle, ils éprouvent des sentiments envers ce qu’ils voient. Lorsqu’il dit: «Voici plus de mille ans que la triste Ophélie/Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir», on peut voir que son âme, son fantôme peut se voir tous les jours sur le fleuve ou elle s’est noyée.