Le Fantôme noir

Tableau : Claude Monet, soleil levant, 1872 Texte F : ‘’J'ai tant rêvé de toi’’ de Robert Desnos Petite analyse de ce poème Tableau : Salvador Dali, Le rêve (1931) Conclusion Préface La mélancolie signifie étymologiquement la bile noir (Melan : noir et Cholie : bile). Le mot mélancolie apparait en -2400 et renvois a la théorie des humeurs d'Hippocrate selon laquelle le corps contient quatre humeurs qui chacune détermine notre tempérament. La notion de mélancolie est donc très ancienne et

Condor et 13 avion de l’aviation légionnaire italienne fasciste pour appuyer le coup d’etat nationaliste.Le tableau represente les republicain,lors du bombardement. 1_decrire l’œuvre Ce tableau de contient que des couleurs monochrome (gris,blanc,noir).la toile est decoupé en plan triangulaire.Au centre on peut apercevoir Le centre est occupé par une lampe en forme d’un il, et qui domine toute la scène. Au-dessous, la silhouette d’un cheval, dont les violentes contorsions traduisent une immense

Que ce soit dans la rue et dans la multitude, Son fantôme dans l'air danse comme un flambeau. Parfois il parle et dit : " Je suis belle, et j'ordonne Que pour l'amour de moi vous n'aimiez que le Beau ; Je suis l'Ange gardien, la Muse et la Madone. " bleu : ce que j’ai pensé écris analysé avec mon joli petit cerveau noir : tiré d’internet aucun mérite Introduction : contextualisation et presentation :

envoyés par hitler pour aider les nationalistes, massacrent les habitants de Guernica, une petit ville du nord au main des républicains. IV. COMPOSITION DU TABLEAU La figure géométrique retrouvée souvent est le triangle. La palette utilisée est le noir et le blanc qui rappelle les photographies de guerre. Les éléments du tableau sont superposés. Ce tableau rattache au cubisme. Il y a un peu de perspective vers la lampe car c’est un des éléments essentiel du tableau. V. SENS DE LECTURE Les

silhouettes noires, vient souvent envahir l’écran et fondre l’image dans un noir endeuillé. Les ombres peuvent servir la crainte qui s’empare de Marji . Par ex : l’adolescente interceptée par deux extrémistes au moment où elle achète une cassette d’Iron Maiden : le noir des tenues envahit l’écran, menaçant d’étouffer l’enfant. Dans la BD, les dessins sont tous en noir et blanc. Les contours sont travaillés soit en noir, soit en blanc. Aucun contraste, tout en aplat et les fonds, noir ou blanc,

opposition évidente avec le reste du tableau, plongé dans la prénombre. A première vue le tableau ne semble pas profond, l’oeil s’arrête au premier plan, attiré par la blancheur de la femme. Mais après observation, on s'aperçoit que l'obscurité, le noir saturé du fond, derrière les rideaux, renvoie à une profondeur infinie, laissant libre court à l’imagination du spectateur. Toute idée de perspective perspective semble absente de ce tableau. En effet, on ne voit ni murs, ni sol, ni plafond,

langues de feu au-dessus de la bai bleu-noir et la ville. Il sentait un cri infini qui passait à travers l’univers et déchirait la nature. PREMIER PLAN : Un pond qui domine la mer comme un spasme, une personne se sert les tempes avec ses deux mains et cri sous un ciel de sang. La personne n’ayant pas de cheveux, les traits fins et le teint pâle. Le personnage semble être déshumanisé par l’artiste. Il est comme s’il était un fantôme, habillé tout en noir et on dirait qu’il flot dans les airs.

toi (Desnos) : Ce poème est une complainte amoureuse, le poète fait une ode à la femme qu’il aime. Celle-ci ne semble pas savoir la nature de ses sentiments, elle ne semble même pas le connaître (« il ne me reste plus peut-être, qu’à être fantôme parmi les fantômes »). Il y a un effet pathétique car le poète étreint l’ombre de son aimée. Ce poème ce classe dans l’émotion amoureuse car il décrit un désir, premier sentiment ressenti souvent basé sur le physique. 8- Il n’y a pas d’amour heureux (Aragon) :

Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées

un bleu presque noir, est pleine de symboles : Le rouge d’abord, qui renvoie au feu, au sang et à la souffrance ; et puis le bleu-noir qui lui symbolise la mort, le vide, l’absence de vie. Enfin, le personnage principal semble avoir été totalement déshumanisé par l’artiste : est-ce véritablement un être humain ou la représentation d’une âme tourmentée? Dépourvue de cheveux, les traits émaciés et le teint cadavérique, cette silhouette nous fait penser à un fantôme tout de noir vêtu qui ondule