Le Fantôme de la liberté

frayeur. Au sol, on peut remarquer le corps écartelé d'un soldat, → Dans la partie de gauche, sous la tête menaçante d’un taureau, une femme crie désespérément et tenant dans ces bras le corps d'un enfant → Enfin dans la partie de droite, une femme-fantôme semble faire irruption dans le tableau, brandissant une bougie. Interprétation de l’œuvre. Dans ce tableau Pablo Picasso exprime sa révolte et veut montrer l’ampleur du massacre en utilisant des moyens propres à son art : Pour montrer la

choix : • Le chevalier au bouclier vert d’Odile Weulersse • Les cinq écus de Bretagne d’Evelyne Brisou-Pellen • La croisade de la liberté de Bertrand Solet • Le vœu du paon de Jean-Côme Noguès • Double meurtre à l’abbaye de Jacqueline Mirande • Dans l’officine de Maître Arnaud de Marie-Christine Helgerson • Le fantôme de Maître Guillemin d’Evelyne Brisou-Pellen • Le faucon déniché de Jean-Côme Noguès • Meurtres à la cathédrale de Martine Pouchain

avec un engagement politique et social comme le font Hugo et Lamartine pour défendre des idéaux de progrès. Contre le classicisme, ensuite, qui contraint l’art à la mesure et à l’harmonie par une batterie de règles, ils veulent alors défendre la liberté absolue en art, rejeter toutes les contraintes formelles et refusent donc tout rationalisme. Leur but étant de faire appel à la sensibilité (mélancolie, mystère, imagination) en allant au delà du réel et du rationnel. Poésie et théâtre mélangeront

Liberté Prenez du soleil Dans le creux des mains, Un peu de soleil Et partez au loin! Partez dans le vent, Suivez votre rêve ; Partez à l'instant, La jeunesse est brève ! Il est des chemins Inconnus des hommes, Il est des chemins Si aériens ! Ne regrettez pas Ce que vous quittez. Regardez, là-bas, L'horizon briller. Loin, toujours plus loin, Partez en chantant ! Le monde appartient A ceux qui n'ont rien. Maurice Carême    Pour la liberté Laissez chanter l’eau qui chante

monstre car l’influence de sa pensée sur son corps s’est fait à son insu. Par conséquent l’inconscient crée l’impression qu’il y a un autre moi dans le moi, que nous sommes deux sujets à habiter le même corps et que ma conscience est hantée par un fantôme. Poussée à l’extrême cette disposition peut susciter la scission de la personnalité en plusieurs. Ainsi la psychiatrie connaît des cas d’individus ‘habités’ par plusieurs personnes distinctes qui ont souvent des rapports conflictuels entre elles,

contraire, le désir serait le signe même de notre liberté. Par opposition à l'animal (qui n'éprouverait pas de désirs, mais des besoins et des instincts biologiquement déterminés), l'homme est l'être indéterminé: ses désirs n'ont pas de but préalablement défini, signe que son existence n'est pas soumise au déterminisme. Le problème central apparaît donc. Reconnaître que le désir est, par essence, errance, est-ce le caractériser comme une privation de liberté, ou au contraire comme le propre même de l'Homme

empathie ou frustration. Or les écrivains formant le courant, dans les années 1950, du Nouveau Roman ont souhaité bouleverser les lois du genre romanesque, telles qu'elles avaient été plus ou moins fixées au XIXème. Ils revendiquent dans des Essais leur liberté (Pour un nouveau roman, Alain Robbe-Grillet, par exemple) et leur volonté de sortir de ce qui leur semble un carcan tant pour l'auteur que pour le lecteur. Leurs ouvrages sont destinés, et assumés comme tels, à une élite intellectuelle.Dans ce cas

Hernani I - Le nom : la question de l’identité Héros à l’identité tronquée et mystérieuse : son identité réelle ne sera révélée qu’à l’acte IV, et n’est pas présente dans la liste des personnages. D’ailleurs, l’intrigue de la pièce est l’histoire d’un nom « Je suis Hernani » (III, 3) - Hernani, donne son prénom à la pièce → nom du bandit, du brigand, du marginal ; référence à la ville espagnole Ernani à laquelle Hugo ajouta son initiale. - Dès la scène d’exposition, quiproquo sur son identité

par la langue pointue comme un couteau. Son corps à un effet papier journal. Il a perdu son cavalier. 3/ COLOMBE : Elle symbolise la liberté du peuple qui agonise. o Les humains : 4/ FEMME A L’ENFANT MORT : Tout son corps est déformé par sa douleur. C’est une référence à la Vierge à la Piéta. 5/ LA PORTEUSE DE LUMIERE : Est-ce un espoir ou vision d’un fantôme, d’une âme perdue ? 6/ FEMME FUYANTE : Son corps est déformé, elle cherche un refuge ou fuit les bombardements. 7/ LA FEMME AUX BRAS

ne voulais plus rien avoir à faire avec elle. J'ai dénigré jusqu'à mon sexe, tant il me rappelait le sien, j'ai dénigré l'amour que j'avais appris d'elle, j'ai oublié les souvenirs et les odeurs, les caresses et les baisers, j'ai oublié jusqu'à ma liberté pour lui laisser la sienne. Je n'ai jamais rien su, jamais rien compris. Elle était au-dessus de nous tous, elle était bien au-dessus de moi et j'aurais du m'en rendre compte. ------Je l'ai aimée comme je n'aimerais jamais personne, tu comprends