Le Désir Insensé

celui qui l’envoie. Être Enseignable : - Pr 12:15 L’insensé pense toujours qu’il fait bien, Mais le sage écoute les avis des autres. - Pr 12:1 Celui qui aime la connaissance désire être corrigé, Mais celui qui déteste les réprimandes n’est qu’un sot. - Pr 15:1 Seul un insensé méprise ce que son père lui a appris, Mais celui qui tient compte des avertissements est prudent. Pr 1:1-10, 15, 19 v. 4-5 : DIEU te donne un support de formation, le liras-tu ? v.

plus un simple désir onirique (cf plus haut) ; par l'anaphore "au bout du petit matin" qui martèle les choses, comme un rituel pour leur donner plus de vigueur (matin, symbole de renouveau). * Remarque: cette anaphore se prolonge d'ailleurs très avant le poème, bien au-delà de ces deux premières pages. De plus, les points de suspension après la première occurrence de cette expression laissent attendre qqch et créent justement le suspens d'une annonce à venir. Le "réveil insensé" est alors celui

comique de caractère qui met en scène des personnages qui ont des défauts, des vices. Pour faire rire, l'auteur accentue volontairement à l'excès ces défaults. Ainsi, M.Jourdain dans Le Bourgeois Gentilhomme, de molière Molière est obnubilé par son désir de devenir noble. Enfin le commique de mot joue sur les mots, sur la langue, il est possible de provoquer le rire du spectateur. Par exemple dans Les Femmes savantes, Molière l'évoque tout en faisant rire: "Bélise (à la bonne): Veux-tu offenser toute

l'inconscient qui se libèrent. La réalité de celui qui lit : la peinture intime du poète permet au lecteur de s'identifier à lui et de comprendre ses plus grands soucis ou ses plus fortes émotions. Le poète nous révèle à nous-mêmes. Exemples : « Insensé qui crois que je ne suis pas toi » (Hugo) ; « Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère » (Baudelaire). Le poète et donc la poésie ont le pouvoir de révéler des émotions et des sentiments nouveaux qui permettent au lecteur de se rapprocher de

toute leur vie à rester droits et fixés endroit tout en étant passifs. De plus, on peut constater que : > D’après Platon, la société crée des êtres perdus à son avantage afin d’en bénéficier à l’avenir et de les pousser à agir de la façon qu’elle désire, pour les manipuler et leur diriger comme elle en a envie. Enfin, Platon mentionne : > À force de ne voir que les mêmes choses, dans ce cas, des ombres, ces prisonniers de la caverne pensent que ces dernières représentent la réalité alors que ce n’est

la spontanéité. On assoupli le vers afin qu’il soit plus fluide, ainsi il est plus apte à transmettre un discours. Le dictionnaire n’est plus présent, ce qui compte est l’inspiration du poète. Le lyrisme cherche la fusion avec le lecteur. « Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi ». Victor Hugo. Cela veut dire que toi et moi ne sommes qu’un seul. Le lac de la Martine est le poème romantique par excellence. La confession d’un enfant du siècle, Alfred de Musset : Le texte est une description

communique aux hommes ses mystères « s’ils ne sont vertueux, dévots et solitaires » De plus le poète est rejeté par ses semblables irrités par cette différence qu’ils ne comprennent pas : « Tu seras du vulgaire appelé frénétique, « Insensé, furieux, farouche, fanatique « Maussade, mal plaisant, car le peuple médit « De celui qui de mœurs aux siennes contredit ». L’inspiration portée par la voix divine ou par la nature si elle est souhaitée et appelée par les poètes est aussi

de vitesse, tarit de rapidité, qu’à l’exception d’un très-petit nombre, la vie délaisse le reste des hommes, au moment où ils s’apprêtaient à vivre. Cette disgrâce commune, à ce qu’on pense, n’a point fait gémir la foule seulement et le vulgaire insensé : même à d’illustres personnages ce sentiment a arraché des plaintes. (2) De là cette exclamation du prince de la médecine : La vie est courte, l’art est long. De là, prenant à partie la nature, Aristote lui intente un procès peu digne d’un sage

temps en temps dans nos manies, dans nos rêves ou nos actes manqués, et qui s'évertue à se dérober à nos regards introspectifs. Il y a alors des raisons aux conduites les plus déraisonnables, et un sens derrière les discours qui paraissent les plus insensés (le discours du rêve par exemple). Seulement la signification de ces discours échappe à ceux-là mêmes qui les tiennent. Si la conscience échoue ainsi à lire en nous "comme dans un livre ouvert", c'est que certaines pulsions, certains désirs incompatibles

[…] avec quelle intensité la nature, un paysage peut nous nier. […]. De même qu'il est des jours où, sous le visage familier d'une femme, on retrouve comme une étrangère celle qu'on avait aimée il y a des mois ou des années, peut-être allons-nous désirer même ce qui nous rend soudain si seuls. Mais le temps n'est pas encore venu. Une seule chose : cette épaisseur et cette étrangeté du monde, c'est l'absurde. 1. Dans le premier paragraphe, comment est décrite l'existence humaine ? Quelle question