Le Désespoir Lamartine

c'est pourquoi il n'est pas représenté dans cette anthologie. Cependant la richesse du XIXe justifie le fait que ce soit la période la plus représentée dans mon anthologie avec de grands noms comme Victor Hugo, Gérard de Nerval, Alphonse de Lamartine, Charles Baudelaire, Arthur Rimbaud et Paul Verlaine. A mes yeux cette période est l'âge d'or de la poésie, elle a vécu ses plus grands moments de gloire. Pour conclure mon tracé historique je suis presque remonté jusqu'à nos jours avec Guillaume

à un âge d’or médiéval et catholique (Europe et chrétienté, Novalis). A ces valeurs s’ajoutent une nouvelle liberté, celle de l’imagination et de la créativité personnelle. On accorde une nouvelle place au héros romantique qui souffre alors d’un désespoir, d’une mélancolie intense et peu mourir d’amour, jeune et d’une maladie. Au XIXème siècle, on place l’individu au centre des préoccupations et surtout ses sentiments, le « moi » et l’égotisme définissent le nouveau héros au théâtre, dans les romans

dans l'ombre du vallon. Dieu, pour le concevoir, a fait l'intelligence : Sous la nature enfin découvre son auteur ! Une voix à l'esprit parle dans son silence : Qui n'a pas entendu cette voix dans son coeur ? Lamartine, Médiations Poétiques, ''Le Vallon'' Description : Alphonse de Lamartine né à Mâcon le 21 octobre 1790 et mort à Paris le 28 février 1869, est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en même temps qu'un homme politique français qui participa à la Révolution de février 1848 et

poèmes du Spleen. Ce poème va mettre en scène une cloche, c’est en quelques sortes un « poème alarme » du fait qu’il soit le dernier poème avant l’explosion, que sont les quatre poèmes du Spleen. Ce poème est en faite une montée en puissance vers le désespoir. Le vers 9, « Moi, mon âme est fêlée », est une analogie entre la cloche et l’âme du poète. I – Le système des analogies opposées (le poète et la cloche sont fêlés) Il y a donc des correspondances entre sensations physiques et la physiologie

retrouver ses propres sentiments. Ainsi, la poésie lyrique porte à la fois les marques de la première personne mais aussi de la deuxième personne. On retrouve un célèbre exemple de lyrisme romantique dans les Méditations Poétiques de Lamartine, dans le poème « Le Désespoir» avec les vers : « Va, dit-il, je te livre à ta propre misère ; Trop indigne à mes yeux d'amour ou de colère, Tu n'es rien devant moi.» A travers la poésie lyrique, le lecteur peut s’identifier au poète et, en partageant ses états

de ces sentiments est souvent liées à un aspect nostalgique de la poésie, ici aussi, appuyée par le lyrisme En effet, certains poètes se servent du lyrisme pour exprimer leur nostalgie. On retrouve cet aspect dans '' Le Lac'' De Alphonse de Lamartine grand poète du mouvement romantique. Il évoque ici ses sentiments lorsqu'il revient au lac sur lequel il avait l'habitude de se balader avec sa bien aimée décédée un an auparavant . Cette situation est propice à l'expression de la nostalgie et de

l’invitation au voyage. La grande littérature (puisque c’est là qu’on emploie le plus souvent le mot) nous fait penser la volupté comme un idéal, un accord parfait et absolu, il est donc nécessaire de la rechercher pour se donner une voie, supprimer le désespoir et la tristesse liés à la finitude de l’homme et à la peur de l’idée de mort. La volupté est une aspiration immanente alors que les dieux sont transcendants, au-delà du domaine des hommes. Nous devons faire de la volupté une fin, sans quoi nous

mesurerons la carrière, Qu’il aura fallu parcourir. Tel un pilote octogénaire, Du haut d’un rocher solitaire, Le soir, tranquillement assis, Laisse au loin égarer sa vue Et contemple encor l’étendue Des mers qu’il sillonna jadis. Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques, XVIIIème siècle [pic] Venise Dans Venise la rouge, Pas un bateau qui bouge, Pas un pêcheur dans l’eau, Pas un falot. Seul, assis à la grève, Le grand lion soulève, Sur l’horizon serein, Son pied d’airain. Autour

qui gouverne la raison, on favorise l’expression de l’imagination, de la sensibilité et l’exaltation du moi et la communion avec la nature. « Tout ce qui est dans la nature est dans l’art » V. Hugo. Auteurs représentatifs de ce courant : Hugo, Lamartine, Chateaubriand. • Le réalisme : Courant qui nait en opposition aux excès du romantisme et son idéalisme qui déforme la réalité. Le réalisme demande le respect des faits et l’étude des hommes d’après leur comportement dans leur milieu. Ce courant

vite lassés du sentimentalisme exacerbé de la jeune femme qui rêve de voyages et de vie trépidante. Emma accumule une dette envers M. Lheureux, qui exige d'être remboursé. Les amants d'Emma ont refusé de lui prêter de l'argent. Emma se suicide par désespoir. Charles de son côté, meurt de chagrin. Personnages Emma Bovary : personnage principal du roman Charles Bovary : mari d'Emma Berthe Bovary : fille d'Emma et Charles Léon Dupuis : Emma tombe amoureuse de lui une première fois mais elle résiste