Le Désespoir Lamartine

La réalité ne correspondait pas à ce qu'elle avait lu dans ses livres car elle avait été élevée dans un couvent, parmi des jeunes filles du monde, s’y était délectée de livres pieux, mais aussi de Bernardin de saint-Pierre, de Chateaubriand, de Lamartine, de Walter Scott, de romans sentimentaux et historiques, de poèmes romantiques, avait rêvé devant des images pieuses, des assiettes peintes, des gravures anglaises ou exotiques représentant des scènes d'amour. Et cette influence fut très forte sur

l’Amour, les poètes racontent leurs déboires sentimentaux, et parfois la souffrance qu’ils endurent. Quand je vous dis romantisme, vous pensez à la promenade nocturne, aux chants d’oiseaux printaniers. Moi, je pense également à la souffrance et au désespoir. Pourquoi un tel engouement pour l’amour ? Parce qu’il est le sentiment le plus sincère, le plus mystérieux, celui qu’il n’est pas donné à tous de ressentir. Qu’est-ce que l’amour ? Un regard, un sourire, une histoire, qui meurt souvent dans une

est aussi une image de la passion et de l'infini (le « Lac » de Lamartine est le lieu d'une communion entre Dieu et les hommes). L'océan symbolise, par exemple, chez les romantiques l'immensité de Dieu mais aussi la grandeur de l'âme. • la quête de l'idéal : l'homme romantique rêve de beauté, de liberté et d'absolu. Pour cela, il voyage et décrit des paysages exotiques : Chateaubriand, Itinéraire de Paris à Jérusalem (1811) ; Lamartine, Voyage en Orient (1835). Mais il s'engage aussi dans les combats

contrariés et des sentiments contradictoires... Ici, l'élégie amoureuse se veut à la fois émouvante et plaintive, tendre et triste à la fois : une célébration élogieuse mais aussi une lamentation chagrine, pleine de mélancolie et de tristesse, teintée de désespoir. Car les bonheurs et les malheurs trouvent de manière égale leur place dans la passion amoureuse. Le poète élégiaque exprime des sentiments en demi-teinte : « la tristesse », « ma lèvre morose » (vers 2 et 3).Appliqué à une personne (l' expression

homme avait-il pris d'empire rien qu'en montrant son chapeau ? L'on croyait la France abattue ? Du tout. A la vue de l'aigle, une armée nationale se refait, et nous marchons tous à Waterloo. Pour lors, là, la garde meurt d'un seul coup. Napoléon au désespoir se jette trois fois au-devant des canons ennemis à la tête du reste, sans trouver la mort ! Nous avons vu ça, nous autres ! Voilà la bataille perdue. Le soir, l'empereur appelle ses vieux soldats, brûle dans un champ plein de notre sang ses drapeaux

La réalité ne correspondait pas à ce qu'elle avait lu dans ses livres car elle avait été élevée dans un couvent, parmi des jeunes filles du monde, s’y était délectée de livres pieux, mais aussi de Bernardin de saint-Pierre, de Chateaubriand, de Lamartine, de Walter Scott, de romans sentimentaux et historiques, de poèmes romantiques, avait rêvé devant des images pieuses, des assiettes peintes, des gravures anglaises ou exotiques représentant des scènes d'amour. Et cette influence fut très forte sur

confirme le désengagement de Flaubert. Celui-ci y a affronté en l'écrivant les difficultés du roman historique: «J'ai bien du mal à emboiter mes personnages dans les événements de 48b […] On s'intéresse moins à Frédéric qu'à Lamartine». La solution résidera dans l'effacement de Lamartine. Souvent nommés, les grandes figures historiques ne sont pas mêlées aux personnages fictifs. → dévaluation de leur rôle Les anonymes ne prennent pas pour autant la relève: la génération de Frédéric se grise de mors

sens, participe à embellir nos sentiments et à mieux en faire sentir la force. Il me semble ainsi nécessaire de montrer maintenant en quoi la poésie est le « temple des sentiments », de tous ceux qui agitent nos cœurs : amour dévoué, mélancolie, désespoir, haine… La poésie qui les exprime est bénéfique car elle sert d’exutoire à l’être humain désemparé. Dans certains cas, elle permet d’exorciser le désir de suicide, de ne pas passer à l’acte. Pour illustrer cela je vais citer quelques vers d’un poème

signifie que l'homme qui rêve d'infini est un être fini, limité par le temps. Corbière se demande quel sens donner à une vie que l'on a pas choisie. Les strophes ne sont pas toute bâties sur le même modèle. Le manque d'amour est la première cause de désespoir pour Corbière. Le tercet développe une vision de l'amour que l'on retrouve chez Baudelaire dans « Le désir de peindre ». Corbière prouve son amour en se sacrifiant. Corbière est réfractaire au romantisme parce que son chant est faux. Le cynisme de

d'un mot. V. métaplasme Bus pour autobus. APOCOPE , F - (PHON.) = suppression de la finale d'un mot. V. métaplasme. Prof pour professeur. APOSTROPHE , F - (DISP.) = interpellation d'une personne ou d'une chose personnifiée. O rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? (P. Corneille) CALEMBOUR, M - (PHON.) = jeu de mots fondé sur une similitude de sons recouvrant une différence de sens. SHELL QUE J'AIME. (publicité) Voir cette figure