Le Désert Camus

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Mercredi, 14 novembre 2012 Commentaire Albert Camus est un auteur humaniste du 20ème siècle. Le dernier chapitre de son célèbre roman La Peste, publié en 1947, raconte la fin de l'épidémie de la peste, qui mène à différentes réactions selon les personnages. Il sera intéressant de se demander comment Cottard a réagi. Pour cela, le cadre du récit sera étudier dans un premier temps, et la découverte du personnage dans un second temps. Dans le récit on peut observer un cadre festif

romanesque : ordre et rythme du récit, caractérisation du personnage. Problématique Comment les romanciers donnent-ils vie à leurs personnages de fiction ? Texte 1 : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678, p. 68 (oral bac 6) Texte 2 : Albert Camus, L’Etranger, 1942 (oral bac 7) Emile Zola, Thérèse Raquin, 1867 Texte 3 : Incipit depuis « Au bout de la rue Guénégaud » à « des vitrines profondes, tapissées de papier bleu. » (oral bac 8) Texte 4 : Chapitre XVIII depuis « Thérèse, elle aussi, avait

doit s'en dégager. Ainsi dans La machine Infernale de Jean Cocteau, on note une grande richesse des indications scéniques sur la mise en scène ou encore les décors. Cocteau, avant l’acte II, fait une description d’une page sur le décor «  Un lieu désert, sur une éminence qui domine Thèbes, au clair de lune… ». De même, dans Antigone de Jean Anouilh, la première didascalie : « Un décor neutre, trois portes semblables » définit le décor qui sera utilisé par les comédiens pour qu’ils puissent jouer

« A la recherche du temps perdu » Colette  François Mauriac : Thérèse Desqueyroux Blaise Cendrars : L’or Albert Camus : L’étranger Boris Vian : L’écume des jours Jean Paul Sartre  Simone de Beauvoir  Raymond Queneau : Exercices de style extraits Antoine de St Exupéry : Le petit prince si vous ne l’avez pas encore lu Nathalie Sarraute : Enfance Le Clezio : l’Africain , Désert Georges Perec : Les Choses et des extraits de La disparition Marguerite Duras : L’amant Primo Levi : Si c’est

frappe ensuite, c'est qu’il fait de l'enterrement une simple formalité, Le deuil se fera par l'aspect extérieur, c'est-à-dire par son habillement, par le rituel d’inhumation, les litanies et les pleurs qui suivent. Comme dans La célèbre phrase de Camus « Dans notre société tout homme qui ne pleure pas à l'enterrement de sa mère risque d'être condamné à mort ».  « Il ramasse ses os et se dirigea vers la porte, revint sur ses pas, s’affala sur le lit, se releva, voûté et fébrile, courut s’isoler

Bibliothèque nationale de France direction des collections département Littérature et art Janvier 2010 CINQUANTENAIRE DE LA MORT D’ALBERT CAMUS (1913-1960) Bibliographie sélective En 1957, alors qu’il était en pleine période de doute et de rupture avec l’intelligentsia de gauche, Albert Camus se voyait attribuer le prix Nobel de littérature, en raison de « son engagement moral authentique ». A travers son œuvre de journaliste, romancier, essayiste et dramaturge, il fit entendre une voix singulière

gens ne font rien du temps épargné par la consommation des pilules apaisant la soif. Le fait qu’il existe dieu sait combien de roses pareilles à la sienne a renversé sa croyance que sa rose fût unique au monde. Pour l’aviateur perdu dans l’énorme désert, la question de vie ou de mort lui paraissait plus importante et sérieuse que celles sur une rose banale. Irrité par cette indifférence, le petit prince a blanchi de colère tout en argumentant contre cet homme déraisonnable qui s’appliquait à réparer

souvent dans le théâtre contemporain​ /​Ionesco dans ​La cantatrice chauve dénonce l’absence de communication, l’impuissance du langage mais aussi la​ ​déshumanisation liée au mode de vie​ ​moderne Camus dénonce l’égoïsme, l’égocentrisme et le cynisme par le biais de ​Caligula ,​,​Les Justes​ de Camus est inscrit dans une réflexion sur le terrorisme ​.​On peut citer ici des exemples d écriture contemporaine de tragédies (Braises ), porteuses elles aussi d’une réflexion sur l’humain (dénonciation

du narrateur, qui ne peut contrôler ses émotions de détresse ou de colère. De plus, la forte présence d’un vocabulaire évaluatif montre que le narrateur ose exposer son point de vue sur les actes et les faits commis. A l’inverse, dans le texte de Camus, la présence du narrateur est beaucoup plus discrète, voire ténue. En effet, on ne remarque qu’une seule marque de la première personne : « j’ai essayé » (l.1) ; la voix narrative cède devant celle du procureur, qui développe sa plaidoirie. Cette voix