Le Devoir Du Franc Maçon

les origines de la franc maconnerie La maçonnerie dite « spéculative », apparue à la fin du XVIIe siècle en Angleterre. Elle serait issue de l'ancienne maçonnerie « opérative » du Moyen Age. L'histoire de la Franc-maçonnerie peut se diviser en trois périodes :  Il a existé tout d'abord -Une Maçonnerie dite opérative, qui ne comportait que des gens des métiers de la construction. (Des bâtisseurs, qui se déplaçaient de ville en ville, installaient sur leurs chantiers des « loges », lieux de vie

Les Devoirs et les découvertes de l’Apprenti Si l'initiation au premier des trois degrés de la Maçonnerie symbolique ne me confère, en effet, que fort peu de droit, elle m'astreint par contre à de nombreux devoirs. Chaque Maçon a prêté son obligation, c'est‑a‑dire qu'il s'est soumis par avance a des devoirs qui lui sont indiqués par la constitution et les règlements généraux de la grande loge de France. Mes Frères, permettez‑moi de rappeler un court passage du Rituel du premier degré

sacré ou même pourrait symbolise l' axe du monde connu . Avec l'érection des cathédrales au Moyen Age la Pierre est au centre du mythe fondateur de la franc-maçonnerie ; en effet , au Moyen Age , un peu partout en Europe , des ouvriers , apprentis et compagnons parfois devenus maîtres oeuvraient sur les chantiers des cathédrales ; c'étaient des maçons «  opératifs «  , ceux qui édifiaient avec leurs mains des temples matériels ; le soir , après le travail , pour préparer celui du lendemain et instruire

biens aimés frères, LE SERMENT Un serment est, d'une manière générale, une affirmation solennelle et codifiée qu'une personne fait par voie orale en vue d'attester la vérité d'un fait, la sincérité d'une promesse, l'engagement de bien remplir les devoirs de sa fonction. C’est la renonciation d’une partie de nos libertés par un acte solennel et, sans contraintes. La pratique du serment remonte à la nuit des temps. Le premier serment biblique ne s’est pas fait sur une Bible, mais sous la cuisse d’Abraham

 «Etes-vous franc-maçon ? Mes sœurs et frères me reconnaissent comme tel ».   Ce thème de réflexion posé par notre cher Frère second surveillant vient de notre livret d’instruction où se posent effectivement des questions sur la démarche et l’engagement maçonnique. Aussi ai-je d'abord commencé à réfléchir sur ce qu’est véritablement un franc-maçon ? Quelles qualités y développe-t-on? Et à travers cette pensée, me demander si trois mois après mon initiation : « Le suis-je devenu ? » Ensuite, j'avoue

L’ENGAGEMENT MAÇONNIQUE V :. M :. et vous tous mes F :. en vos grades et qualités Qui devient maçon en prend l’engagement au cours de son initiation. Il s’engage dans une vie nouvelle prend un chemin initiatique et prête serment. C’est donc de l’engagement maçonnique que je vais vous entretenir en tentant de définir tout d’abord ce qu’est un engagement puis comment nous, F. : M. : nous le vivons et enfin comment je vis cet engagement maçonnique. L’engagement, c’est avoir un gage au jeu

|L’engagement du Franc-maçon | |Sept ans et + se sont déjà écoulés depuis mon initiation dans la franc-maçonnerie. Je ne possédais qu’une connaissance | |superficielle et fragmentaire de la réalité maçonnique et de ses objectifs. A cette époque, je me rappelle que j’étais | |intuitivement attiré par cet idéal et je pensais pouvoir y trouver un certain épanouissement spirituel

maçonnique ? Planche présenté à la Loge Laval no.139 À l’O∴ de Laval Le 12 janvier 6010 Vénérable maitre et vous tous mes frères en vos grades et qualités, Pendant le temps ou la franc-maçonnerie était opérative, les ouvriers franc-maçons qui désiraient être embauchés dans les chantiers devaient connaitre le mot du maçon, le mot de passe et les attouchements qui indiquaient qu’ils possédaient « l’art royal ». Bâtir était pour nos anciens frères, un geste de foi, une offrande à Dieu. C’était l’époque

DE LA CHEVALERIE A LA FRANC-MACONNERIE Une marche vers la pureté intérieure pour une humanité meilleure 1 Histoire de la Chevalerie La Chevalerie n’est pas une de ces institutions officielles et régulières qui font soudain leur apparition dans l’histoire. Elle n’a rien qui rappelle dans ses origines les origines d’un ordre religieux. C’est moins une institution qu’un idéal ! La Chevalerie du XI et XIIième siècle n’a jamais été héréditaire et il a toujours fallu un rite spécial

est de vous apporter quelques éléments de la « saga » des Agapes et des Banquets depuis les premiers textes connus, prétexte pour en esquisser quelques caractéristiques fondamentales. Dans la toute première divulgation des usages maçonniques en France, en 1738, on note simplement : « Le Récipiendaire est nommé Frère. Ensuite, on se met à table ». À l’époque, l’ouverture de la loge et la réception d’Apprentif-Compagnon duraient moins d’une demi-heure. Par contre, le banquet se déroulait sur trois