Le Dernier Souffle

exigences tyranniques. Or ce n'est pas seulement du théâtre. En effet, Molière y intègre des intermèdes, dans lesquels une troupe de carnaval chante et danse, pour plaire au roi. Dans le texte étudié ici, Béralde, frère d’Argan, essaie de convaincre ce dernier de l'absurdité de la médecine. S'en suit alors une joute argumentative, marquée par la colère d'Argan, où les deux hommes essaient de prendre le dessus. Ainsi, nous pouvons nous demander en quoi ce texte, sous couvert d'humour, présente des enjeux

grand Herrsker accepta dignement le combat singulier proposé, mais à peine avait-il eut le temps de prendre son souffle que son ennemi l'aveugla des larmes de phoenix, et lui lança en pleine face la potion paralysante. L'homme, voyant son ennemi incapable de se défendre, lui enfonça son épée dans la poitrine et avant même que le grand dragon n'ait eut le temps d'expirer son dernier souffle, son coeur lui fut arraché. Ainsi sonna le glas des dragons. Affolés par ce crime honteux, les dragons, bientôt

ventre ouvert» (l.1), «une haleine» (l.2) donnent à la locomotive des traits d'êtres vivants, mais l'auteur lui donne aussi un prénom «La Lison» ce qui renforce le fait que la locomotive soit un objet vivant. L'utilisation de noms communs comme «des souffles» (l.2), «une haleine» (l.2), «le sang» (l.3), «l'âme» (l.8) accentue cet effet d'un objet animal ou humain. De plus, le titre «La Bête Humaine» reflète très bien ces idées car le mot «Bête» fait référence aux traits animal de la locomotive et le

est recueilli et élevé par son oncle, le roi Marc, en Bretagne armoricaine. Ce dernier devait s’acquitter du paiement d’un tribut auprès du roi d’Irlande. Quelques années plus tard, Tristan décide d’en finir avec cette coutume et quand il arrive dans l’île, il doit combattre le géant Morholt, le beau-frère du roi. Tristan reçoit un coup d’épée empoisonnée, mais il blesse mortellement le géant qui, dans un dernier souffle, lui indique qu’Iseut, la fille du roi, a le pouvoir de neutraliser le poison

(par exemple) enterrés dans les familles les plus fières et les plus élevées, et voyez si la littérature, qu'on accuse tant d'immorale hardiesse, a osé jamais les raconter, même pour en effrayer! A cela près du petit souffle, - qui n'est qu'un souffle, - et qui passe - comme un souffle - dans le René de Chateaubriand, - du religieux Chateaubriand, - je ne sache pas de livre où l'inceste, si commun dans nos moeurs, - en haut comme en bas, et peut-être plus en bas qu'en haut, - ait jamais fait le sujet

au vers 18-20. Il y a le champ lexical du corps, ainsi qu'une gradation : organes de plus en plus importants. Nous pouvons aussi remarquer une emphase. Le rythme est irrégulier, il y a un inconfort ainsi que des rythmes irréguliers qui imitent le souffle court,le lecteur est en situation, tout comme l’étranger qui n’est pas acclimaté. Nous pouvons remarquer l'évolution de la place de l’étranger : évolution, point de vue interne progressivement affirmé, apparition du pronom personnel « nous » au vers

ce sourire lui faisait penser au sourire du roi mystérieux Après cette rencontre, il prit un billet pour l’Afrique. Il était dans un café quand un homme lui adressa la parole. Santiago lui confia qu’il partait pour les pyramides d’Égypte et ce dernier se proposa immédiatement comme guide et le berger accepta aussitôt. Une fois avoir vu l’argent du nomade, l’homme le lui prit et lui dit qu’ils devaient aller acheter deux chameaux pour le voyage. Santiago le suivit, mais fut distrait quelques secondes

Dernier grand style européen précédant la Révolution française, l’art baroque s’étend sur deux siècles : de la fin du XVIème siècle à la moitié du XVIIIème siècle. "Baroque" est un terme de joaillerie qui signifie en portugais "perle de forme irrégulière" (barroco). Ce grand souffle de l’art chrétien connaît une formidable expansion géographique de l’Italie à l’Orient chinois et de la péninsule ibérique à l’Amérique du Sud. Mais sa fortune varie selon les pays. A Rome, il incarne le triomphalisme

dynamique logico-temporelle, une dimension volontiers introspective qui fonctionne sur le mode de l’auto ou du psycho-récit et une mise en oeuvre conflictuelle de la parole dans un dialogue qui prend plus souvent l’allure d’un duel que d’un duo. « Souffles » : violence du texte et subversion formelle La période post-coloniale au Maroc, après une courte période de latence, voit l’émergence d’une écriture nouvelle dont les caractéristiques seront la violence et la subversion. Le contexte En effet

personne qui avait occasionné ce désastre, qui avait tué autant de vies, qui avaient été aussi cruel et machiavélique pour sans prendre à des enfants endormis et sans défense, innocent et au commencement de leur destinée ? Qui allait lui retirer son dernier souffle d’un moment à l’autre ? Car ce gamin d’une dizaine d’année n’avait aucun espoir, il savait ce qu’il l’attendait, et puis ce n’était pas la première fois que la mort venait le chercher. Mais il était certain d’une chose, cette fois elle ne l’épargnerait