Le Dernier Souffle

la vie, ce n'est pas juste perpétuer un souffle, c'est surtout des moments qui vous coupent le souffle Il y a un moment dans la vie où l'on se retrouve à la croisée des chemins.____________ ____________Les choix qu'on fait à ces moments là peuvent déterminer tout le restant____________ ____________de notre vie. Bien sûr face à l'inconnu, la plupart d'entre nous préfère____________ ____________faire demi tour et rebrousser chemin Dans certaines occasion, les gens se dépassent, ils donnent le

les jointures. Aussi lui pardonnait-il volontiers, débordé d'un gros chagrin, à la voir blessée à mort, en agonie. La pauvre Lison n'en avait plus que pour quelques minutes. Elle se refroidissait, les braises de son foyer tombaient en cendre, le souffle qui s'était échappé si violemment de ses flancs ouverts, s'achevait en une petite plainte d'enfant qui pleure. Souillée de terre et de bave, elle toujours si luisante, vautrée sur le dos, dans une mare noire de charbon, elle avait la fin tragique

théâtre écrite par Edmond Rostand en 1897 et jouée pour la première fois le 27 décembre de la même année à Paris. Dans la scène 7 du 3ème acte, il est question du rendez vous entre Roxane et Christian dans lequel Cyrano prend la parole à la place de ce dernier. Pour mettre en évidence l'originalité de cette scène, nous analyserons dans un premier temps dans un premier temps... Développement : Pour cette scène, Edmond Rostand s'est inspiré de la scène du balcon de Shakespeare, dans laquelle figurent

envi/euse ». Surtout, souhait de mourir dans l’enlacement : rapprochement entre le premier et le dernier vers. Le sein de l’homme aimé devient finalement le lieu d’une mort heureuse : « Bien je mourrais, plus que vivante, heureuse »(v.14), tout le poème n’étant que l’illustration de cette idée. Ex : « Ne nous pourra déjoindre en cette vie »(v.8)= seule la mort les séparera. Image du dernier souffle qui se confond avec un baiser (v.13), souligné par un chiasme : « il » « me »/ « mon esprit » «

vient donner de l'ampleur à l'aspect lugubre de la France.On trouve, vers 18, une France peuplé de «corbeaux» symbolisant le malheur résidant en France, et détaillé précédemment. Victor Hugo va même jusqu'à évoquer explicitement la mort avec le dernier vers du cinquième quatrain, «Le brin d'herbe sur les tombeaux». Victor Hugo nous présente une France en mauvais état, une France meurtrie, marquée par un paysage sombre et funeste. Il utilise pour cela l'exagération. Le pathétique dans la situation

................................................................. 89 2.2.5 Des médiations éducatives .......................................................................................... 90 PRESENTATION DU TERRAIN : L’association Second Souffle :....................................... 94 1 Une structure expérimentale au sein de l’Aide Sociale à l’Enfance ............................. 96 1.1 1.2 Contexte et origine juridique ..............................................................

Séquence n°1 Commentaire n°1 Préface du Dernier jour d'un condamné de Victor Hugo ( 1802-1885) Victor Hugo, écrivain engagé, a défendu nombre de causes ou dénoncé nombre d'injustices de son temps. Les misérables (1862) offre l'exemple d'un roman utilisant la fiction à des fins dénonciatrices : c'est l'inégalité des couches sociales de la société du XIXe siècle qui y est stigmatisée. Par ailleurs, Victor Hugo reste célèbre pour sa prise de position avant-gardiste contre la peine de mort,

popeline assortie d'une magnifique cravate, ces habits des plus noble faisaient assurément ressortir son élégance. Après avoir pris une douche, s’être coiffé, préparé. Il décida d’y aller. En sortant de chez lui il vit une photo lui rappelant son dernier amour ; cette femme si parfaite qui avait quitté sa vie du jour au lendemain… Cette disparition avait été pour lui un déchirement. Après un court moment de réflexion il se ressaisi, ce soir allé être une grande soirée et il fallait en profiter. Il

 C’était un matin de janvier. Le vent avait soufflé toute la nuit. Les champs Élysées débordaient de piétons. Le ciel était propre comme une assiette de porcelaine bien léchée. Une jeune française marchait paisiblement. Une écrivaine. Son manteau noir entourait finement sa taille de guêpe. Les saveurs des pâtisseries la gardait endormi. Elle s’arrêta à un café de la place. Son latte lui brula le bout de ses lèvres rouge peinturée, un peu gercées au froid. Elle s’assit sur un banc, en

dans un four en matériaux réfractaires résistant à la fois aux hautes températures mises en jeu et à l’érosion provoquée par le lit de fusion. Bien évidemment, ces réfractaires doivent limiter au maximum les pertes thermiques vers l’extérieur. Ce dernier comporte : * un bassin - à niveau constant par débordement – où s’effectuent la fusion et l’affinage du verre * une voûte qui recouvre et isole le bassin et intervient dans la transmission de la chaleur par rayonnement * des canaux ou