Le Combat Homérique

récit des aventures d’un héros solitaire ( il y a + de merveilleux que dans L’Iliade Durant l’Antiquité, L’Iliade est considérée comme une œuvre de jeunesse, L’Odyssée une œuvre écrite + tard. A partir du XIXe siècle, il se pose la « question homérique ». (unitaristes : Homère = poète, il a écrit les 2 poèmes (Analystes : Homère ( poète ; rhapsode qui a assemblé les différents récits à la fin de cette période. (Il y a une tradition orale. 22/09/10 Les Anciens n’ont jamais remis en

et aussi en fonction de leurs rancunes : Athéna et Héra, par exemple, se rangent logiquement contre le Troyen Pâris qui leur a préféré Aphrodite. Ainsi le combat des hommes suit, dans sa ligne incertaine, l'évolution du différend qui oppose les dieux. Car "les dieux sont là, à serrer sur les deux partis le nœud de la lutte brutale et du combat qui n'épargne personne, le nœud qu'on ne rompt ni dénoue, mais qui brise les genoux à des combattants par centaines" (chant XIII). Jamais comme dans le chant

son mari et de défendre ensuite le couple.Eris et la pomme d’or (pomme de discorde) lors du mariage de Thétis et Pelée (parents d’Achille)Le jugement de Pâris (fils de Priam et Hécube) : Héra -> royaume d’Asie ; Athéna -> victoire dans les combats ; Aphrodite -> l’amour de la plus belle femme (Hélène). Aphrodite remportePâris viole les lois d’hospitalité à Sparte + adultèreMénélas alerte son frère Agamemnon roi de Mycènes / rappellent le serment aux anciens prétendants d’Hélène (Ulysse,

le site de Troie entre 1893 et 1894, était de la même opinion que Schliemann : la saga de la guerre de Troie devait contenir un vaste noyau historique que les fouilles archéologiques pouvaient aider à découvrir. Pourtant, l’hypothèse que la cité homérique était à identifier avec Troie VI ou Troie VIIa et que le poète, en décrivant le lieu où la guerre se déroula, avait fait référence à une des ces phases de la stratigraphie de Troie, a été durement contestée par Rolf Hachmann en 1964. Les activités

a-t-il pu avoir ? Pour répondre à cette question, nous verrons tout d’abord, ce qu’on peut apprendre sur Homère, puis nous étudierons les fonctions qu’on pu avoir ses deux poèmes, pour finir par étudier les interrogations autour de la question homérique. I / Que sait-on sur Homère ? A / Une vie méconnue Les biographies antiques du poète, n'ont pas de base historique assurée, et ne s’accordent ni sur la date, ni sur le lieu de sa naissance, ni sur sa filiation. À quelle époque

états grecs achéen qui se trouvait probablement sur l’île Rodos. Il est fort probable que ce sont les Grecs qui ont peuplé la colline Hissarlik après la destruction de la ville. Les tentatives de récupérer les détails historiques des poèmes homériques sont peu profitables même si l'épopée héroïque part toujours des faits réels. L’épopée transforme la réalité historique dans l'esprit de sa propre poétique de telle façon qu'aucune reconstitution des faits réels sur cette base n’est possible.

Nouvelles orientales, Gallimard, 1963 Ithaque Constantin Kavafis, trad. M. Yourcenar et J. Lacarrière 2 Les lectures des Anciens Les lectures des Anciens sont conformes à l’idée que nous nous faisons de l’utilisation « morale » des oeuvres homériques. L’Iliade et l’Odyssée ont servi en effet pour la formation intellectuelle et surtout morale des enfants, comme le rappelle Protagoras dans son discours sur l’éducation (Platon, Protagoras, 326 a) : « Lorsque les enfants apprennent les lettres

vécu toute la Révolution et a changé son époque. Né le 30 août 1748, J-L David était le fils d’une famille de petite bourgeoisie. En 1766, il suit les prestigieux cours de Vien. En 1771, il reçoit deuxième prix au Prix de Rome pour sa peinture Combat de Minerve et Mars . Il reçoit le premier prix en 1774 pour Érasistrate découvrant la cause de maladie d'Antiochus. Il passe 5 ans à Rome où il exerce surtout le dessin avec son maître Vien alors directeur de L’Académie de France. Il a été très

décrite dans son ensemble. - Le combat est long et rythmé ; l’utilisation du présent rend le récit plus proche du lecteur, les actions se multiplient, avec la répétition de certains verbes comme « fendre » (vers 9 et 10). - le rôle des armes : les armes indiquent au lecteur la situation de l’action : il s’agit des armes d’un chevalier : l’épieu, l’épée, le heaume, les escarboucles et le haubert. Cette description réaliste donne au texte une certaine crédibilité. - le combat est violent : les parties

de fureur et porte le coup fatal à son adversaire et enfin l.950 à l.952, Turnus expire. On va se demander en quoi ce dénouement se rapproche du dénouement homérique. Dès le début de l’extrait le héros de l’Enéide est déterminé, « Enée, pour sa part se fait pressant », « il agite […] le cœur plein de fureur », il provoque Turnus au combat, pour en finir une fois pour toute « que signifie donc cette hésitation ? Pourquoi reculer maintenant, Turnus ? […] combattre de près, armes poing » il montre