Le Combat Homérique

puisse être embrassés d’un regard. Ici l’utilisation de l’espace est bien inférieure à celle des peintres corinthiens contemporains, et Persée poursuivi par les Gorgones vient buter contre l’un des quadriges qui encadrent le duel entre deux héros homérique. La poursuite aligne les figures les unes derrière les autres ; cependant la symétrie des combattants et des chars qui les accompagnent annoncent les tableaux bien ordonnés des vases à figures noires d’après 580. B/ Iconographie Ces personnages

et autant d’années de tribulations diverses à la suite de la prise de la ville. De façon comparable, l’Iliade ne raconte pas tout au long les quelque dix ans du siège de Troie, mais seulement les cinq journées et les quatre nuits2 de crise et de combats résultant des colères d’Achille3, au cours de la dernière année de guerre. Devenu nom commun, le mot « odyssée » désigne un voyage mouvementé, une suite d’aventures particulières éprouvées par un individu ou un groupe. Les 24 chants de l’Odyssée

roi des Myrmidons et de la néréide Thétis, Achille reste le plus brillant héros de la guerre de Troie. Plongé dans le Styx à l’exception du talon par lequel sa mère le tenait et donc invincible à sa naissance, Achille est l’idéal chevaleresque homérique par son courage et son sens de l’honneur. C’est la mort de son ami, Patrocle, qui le conduisit, par une rage douloureuse, à affronter Hector, le Troyen. Fils de Priam et d'Hécube, époux d'Andromaque, père d'Astyanax, Hector fut de loin le plus

Sparte. Il reste de lui des fragments de 11 élégies. Elégie : poème qui alterne deux types de vers, pentamètre et hexamètre. On a retrouvé 200 vers de lui. Ces fragments donnent idée, et surtout un idéal aristocratique spartiate, inspiré du modèle homérique. Fondé sur la valeur guerrière : glorifie courageux, et exalte le thème de la "belle mort". (idéal aristo ► chaque citoyen doit être capable de se surpasser pour atteindre cette idéal) exaltation de l'Arèté, la valeur individuelle. Diodore : premier

s'agit de faire vivre cette puissance au yeux des spectateurs c'est une Hypotypose (ensemble de procédée stylistique qui rend vivant cette puissance). Mais la tirades s'achève sur les civils pleurant l'absence des soldats ces vers rappellent l'épopée homérique. Ces vers rappellent la peur des Grecs face a l'armée des Perses. Le chœur compare l'armée a un flot, un troupeau. Le chœur idolâtre la roi le compare a un dieux. Ce qui choque les Grecs ils sont en face de Barbares qui confondent l'humain et

livre) S.VIII : lexique du combat « vainqueur », « captif », « combattu » Réf à Némésis v.5, mytho grecque = Mère d'Hèlène + déesse de la vengeance. Elle est aussi interprétée comme étant un messager de mort envoyé par les dieux comme punition et comme la déesse qui rythme le destin des hommes. Ici, le « combat contre les yeux d'Hélène » qu'engage le poète est accentué et caractérisé par la présence mythologique de Némesis, déesse néfaste qui prédestine le combat comme voué au néant. Nous verrons

=> on pense qu’il est possible qu’il y ait eu un échange de serment au moment de l’intronisation du roi. L’assemblée des macédoniens existe mais c’est une assemblée de l’armée. Le roi = 1er des Macédoniens à l’image des rois dans l’épopée homérique. Hample : le roi a un limité à l’int et illimité à l’ext puisqu’il est le chef de l’armée et de la diplomatie. Aimard : Évolution entre la période classique (roi = souverain d’une monarchie nationale => royauté limitée par un nomos) et la période

plaisir à contempler du rivage les navires en difficulté sur les flots en furie. S'ils ne veulent pas nécessairement la mort des autres, les Romains répugnent à risquer leur vie sur mer : ils n'ont pas le pied marin. Lors de combats, le Sénat républicain détruit et brûle les navires au lieu de les entretenir ; les matelots de la flotte sont méprisés ; la peur de la tempête et du naufrage hante l'esprit de tous ceux qui doivent partir en mer et Cicéron, poursuivi par les tueurs

très estimé qui voyagea à travers le monde grec de l’Asie Mineure à l’Italie du Sud. Il récitait les poèmes d’Homère et d’Hésiode; c’est sans doute dans l’exercice de ces métiers qu’il prit conscience des difficultés contenues dans la conception homérique et hésiodique des dieux. Très pauvre, il écrivit des épopées sur la fondation de Colophon et sur celle d’Elée. Il ne nous reste que quelques fragments de ses élégies et de ses silles (satires), une tradition lui attribue un poème de la nature .Il

l’aède aveugle (poète) Démodocos. Celui-ci chanta la querelle d’Ulysse et d’Achille (Ulysse pleure dans son écharpe, seul Alcinoos le remarque). Il interrompt donc le chant et ouvre les jeux à l’agora (course, combat de main plate, saut, disque, boxe). À la fin des jeux Euryale (vainqueur au combat) met en doute les capacités physiques d’Ulysse ; ainsi Ulysse lance un disque (plus pesant) bien au-delà des marques. Alcinoos propose l’ouverture des danses une fois l’incident clos et fait revenir l’aède