Le Cœur et l'Épée

j'étais un soldat, c'est une erreur ; je suis un pauvre amant de la science. SIRE MAURICE : Votre esprit est une épée acérée, mais flexible. C'est une arme trop vile ; chacun fait usage des siennes. Il tire son épée. VALORI : Devant le duc, l'épée nue ! LE DUC, riant : Laissez faire, laissez faire. Allons, Renzo, je veux te servir de témoin – qu'on lui donne une épée. LORENZO : Monseigneur, que dites-vous là ? LE DUC : Et bien ! Ta gaieté s'évanouit si vite ? Tu trembles, cousin

pour l’honneur. AXE I : DILEMME AMOUR OU HONNEUR Dans ce premier monologue de Rodrigue on le découvre véritablement en exposant le dilemme dont il est immergé. On le voit dès la première stance avec la métaphore « Percé jusques au fond du cœur»(l.291), qui exprime son grand malheur. Le destin le dépasse étant lui un « malheureux objet d’une injuste rigueur ». Le personnage est clairement indécis et il « demeure immobile »(l.295). Ses options à choisir sont représentées équitablement dans

heures sur les terres du Roi, et ramenant quantité de délicieux serfs qu'ils aimaient à déguster le soir, partageant la tendre viande avec les Preux Chevaliers de la Table Ronde. C'était de plus un joyeux compagnon, homme de coeur et d'esprit, habile à la plume comme à l'épée. Simplement ce salaud se tapait la Reine. - Où sont les autres ? - Ils dorment, du moins je suppose. Perceval est parti aux latrines il y a de cela une demi-heure et je l'ai toujours pas vu revenir. - Sûr qu'il va encore

fait qu’en ce moment même il soit emprisonné pour un crime qu’il n’a pas commis me déchire le cœur. Mon enfant, laisse-moi te narrer comment tout cela s’est réellement déroulé. Il est vrai que Ferdinand et moi nous sommes querellés, nous avons sorti nos épées mais nous savions tous deux que ce n’était que provocation. C’est alors que ton frère Charles est arrivé, je ne l’avais pas vu. Il brandit l’épée de Ferdinand en un fragment de secondes et me transperça le corps. Il me regarda d’un air méprisant

les républicains et les Nationalistes. Il est le symbole du combattant, de la violence de la guerre. 5) La fleur sur l’épée représente une lueur d’espoir, une renaissance. 6) Au sommet de la pyramide, au centre de la composition se trouve un cheval, il symbolise la République ainsi que les habitants de Guernica qui souffrent. Le cheval agonise, il est transpercé en plein cœur d’une lance symbole de la crucifixion. Au-dessus se trouve une lampe, elle a une forme d’œil qui éclairait la scène pour

assassins sont signalés comme autant de didascalies pour une éventuelle mise en scène : le geste d’Égisthe est relaté avec une sécheresse glaçante (« plongea l’épée ») ; Clytemnestre « sursaut[e] », « tourn[e] autour du corps » pour « évit[er] » le sang ; ils « retourn[ent] » à deux reprises le corps. Le spectateur peut même suivre la trajectoire de l’épée : elle « transperc[e] » de part en part la chair, puis la dalle, puis Égisthe la « retir[e] », et enfin, méticuleusement, la « rem[et] bien doucement

celui de Lancelot. Il peut parfois se montrer naïf car il a été élevé par sa mère hors du monde. C’est un homme pur, résistant, extrêmement habile et honnête, il est également très attaché à Arthur. Perceval, même s’il est brave, écoute toujours son coeur et ses désirs. C’est cette volonté qui le poussera à partir pour la quête du Graal bien qu’il n’est pas eu l’autorisation du roi Arhur. Résumé du livre Alors qu’un adolescent est en train de se noyer, un vieillard et son chien Bercelet l’aperçoivent

crucifixion le cœur des femmes pleure cette liberté agonisante Complètement à droite de ce tableau on remarque un personnage les bras levés, qui semble vouloir fuir ou implorer le ciel. Le taureau nous renvoie à l’Espagne, à la tauromachie, mais aussi à la brutalité on peut également faire allusion au minotaure En bas de ce tableau nous voyons un guerrier décapité et vaincu, c’est le seul à être armé mais son épée est cassée. On note aussi un certain anachronisme (car l’épée n’est plus de

Mais ce meurtre est transcrit avec beaucoup de sobriété. On a trois répliques qui renvoient au déroulement, trois répliques associées aux didascalies, lignes 641-644. Pour préparer cette scène, il y a la didascalie ligne 640 : « Lorenzo rentre l'épée à la main », ligne 641 : « Il le frappe » et ligne 643 : « Il le frappe de nouveau ». Ce sont ces gestes et leurs apparitions qui scandent cette scène de meurtre. On n'a aucune didascalie concernant la réaction du Duc. Tout ceci permet de mettre

▪ L’ordre du Saint-Esprit fondé par Henri II en 1578 ▪ Le sceptre ▪ La couronne ▪ La main de justice ▪ Le manteau bleu à semis de fleurs de lys d’or doublé d’hermine ▪ L’épée du sacre appelée « la joyeuse » o les vêtements de cour : ▪ la perruque ▪ les bas de soie ▪ la jarretière ▪ le jabot ▪ les poignées de dentelles