Le Cœur et l'Épée

orgueilleux, véritable caricature de lui-même. Le Duc est en quelque sorte aveuglé par son amour de la débauche et de Lorenzo et ferme les yeux : « Je veux faire semblant de dormir ». Les didascalies annoncent alors le moment inéluctable : "Lorenzo rentre l'épée à la main", la confiance du Duc est telle que même en face du fait accompli, il est très étonné « c'est toi Renzo ? ». Ce meurtre est plus un meurtre intérieur que physique : pas de récit exalté de l'auteur pas de détails sanglants, tout se fait

lui avait été ordonné par le roi Polydecte, qui cherchait à se débarrasser de lui car il convoitait d’épouser sa mère, la belle Danaé. Mais aidé par des cadeaux remis par les dieux, dont le casque d’Hadès qui rend invisible, le bouclier de Minerve, l’épée et les sandales ailées de Mercure, Persée parvient contre toute attente à s’acquitter de sa mission. Ce groupe très expressif représente le moment où le héros grec Persée saisit, par sa chevelure composée de serpents, la tête de Méduse

Petite introduction : Selon une légende, Phèdre est une princesse crétoise. Elle serait la petite-fille du soleil et la fille de Minos, roi de Crète. Elle serait surtout la descendante d’une race maudite. C’est Vénus qui aurait allumé dans le cœur de Phèdre une passion fatale pour son beau-fils, Hippolyte ; cette passion conduira Phèdre à se suicider. Chez Racine, Phèdre est une femme amoureuse et jalouse. Tout en essayant de garder la légende, comme l’amour hors du commun entre de Phèdre

l'Hospitalier. Le feu de l'écriture lui redonne goût à la vie et à la création : il poursuit avec deux autres récits, pour réunir en une seule œuvre « du Moderne, du Moyen Age et de l'Antiquité ». Un cœur simple, le volet « moderne » du triptyque, raconte la vie pathétique de Félicité, une pauvre servante au grand cœur. Coloré et étincelant comme un vitrail, énigmatique comme un rêve, le conte médiéval La Légende de saint Julien l'Hospitalier retrace le destin sanglant d'un héros qui oscille entre sainteté

la situation habituelle de l’amant dans la lyrique des troubadours : Lancelot aime une dame inacessible, puisqu’elle est la reine, l’épouse de son suzerain, et se voue tout entier à son service, jusqu’à souffrir dans son corps (blessures au Pont de l’Epée) et dans son honneur (humiliation de la Charrette ou du tournoi de Noauz). - La reprise et la transformation de motifs lyriques Chrétien met ainsi la lyrique courtoise au service du roman, en insérant dans ses oeuvres des motifs lyriques,

L'ILE DES ESCLAVES, COMÉDIEL'ILE DES ESCLAVES COMÉDIE Représentée pour la première fois par les Comédiens Italiens du Roi, le Lundi 5 mars 1725. MARIVAUX, Pierre de (1688-1763) 1725 - 1 -Texte établi pas Paul FIEVRE, août 2011. Publié par Ernest, Gwénola et Paul Fièvre pour Théâtre-Classique.fr, Décembre 2020. Pour une utilisation personnelle ou pédagogique uniquement. Contactez l'auteur pour une utilisation commerciale des oeuvres sous droits. - 2 -L'ILE DES ESCLAVES COMÉDIE Représentée pour la

s’appuient-ils sur un registre comique ? Sujet 1 : Commentaire Vous commenterez le texte de Rousseau (document A) DOCUMENT A On donnait ce jour-là un grand dîner, où, pour la première fois, je vis avec beaucoup d'étonnement le maître d'hôtel servir l'épée au côté et le chapeau sur la tête. Par hasard on vint à parler de la devise de la maison de Solar, qui était sur la tapisserie avec les armoiries : Tel fiert qui ne tue pas. Comme les Piémontais ne sont pas pour l'ordinaire consommés dans la langue

rengainez vos épées ; vous ne savez pas ce que vous faites. (Il rabat les armes des valets. ) TYBALT, s'élançant, l'épée nue, derrière Benvolio. - Quoi! l'épée à la main, parmi ces marauds sans coeur ! Tourne-toi, Benvolio, et fais face à ta mort. BENVOLIO, à Tybalt. - Je ne veux ici que maintenir la paix ; rengaine ton épée, ou emploie-la, comme moi, à séparer ces hommes. TYBALT. - Quoi, l'épée à la main, tu parles de paix ! Ce mot, je le hais, comme je hais l'enfer, tous les Montagues et toi. À toi,

Ils sont ici, quelque part dans le palais ; et, à ce que je crois, ils ont déjà l'ordre de jouer ce soir devant lui. POLONIUS. - Cela est très vrai ; et il m'a supplié d'engager Vos Majestés à écouter et à voir la pièce. LE ROI. - De tout mon coeur ; et je suis ravi de lui savoir cette disposition. Mes chers messieurs, aiguisez encore son ardeur et poussez ses idées vers ces plaisirs. ROSENCRANTZ.- Oui, monseigneur. (Sortent Rosencrantz et Guildenstem.). LE ROI. - Douce Gertrude, laissez-nous

beaucoup de déclaration des blessés faîtes devant un notaire. Les letrados14 des juges. Le théâtre est également le lieu de rixes et conflits. On peut en juger par exemple avec l’affaire du soldat de la garde espagnole nommé Juan de Monteserin combat à l’épée contre un garçon qui lui demandait de payer sa place. Création du juge des comédias15 Explication du principe de la ronde. C’est contrôler ce qui se passe dans la rue. Enfermement d’une fille qui transportait du vin car elle a refusé de donner