Le Choeur Dans Phedre Racine

............................................................  20   RACINE,  BRITANNICUS,  I,  1.  (1669)  ..............................................................................................................  21   RACINE,  BERENICE  (1670)  ..............................................................................................................................  22   RACINE,  PHEDRE  (1677),  ACTE  I,  SCENE  3,  V.  255-­‐279.  ........

dérive d’une racine grecque signifiant « l’action de voir ». L’historiê, ou recherche, constitue les débuts de l’histoire telle qu’elle sera définie au xviiè et xviiiè siècles par les philosophes de l’histoire comme le rappele H. I., Mairou dans « qu'est ce que l'histoire » in l'histoire et ses méthodes, encyclopédie de la Pléiade, ed. Gallimard, 1961, p. 4 « le mot est un héritage du grec ancien et plus précisement du dialecte ionien : historiê se rattache à la racine indo-européenne

côtés de Vénus), mais il opère alors un choix à l’intérieur d’un tout qui progresse selon l’ordre du récit. Tandis que l’allégorie ou le symbolisme restent immobiles, le mythe possède la forme narrative du conte ou de la légende. Le mythe a une racine religieuse Un mythe a été ou est encore l’objet d’une croyance religieuse — ou du moins, il met en scène des êtres qui possèdent une aura sacrée. Ce critère permet de distinguer les mythes des contes. Certains récits populaires, profondément ancrés

séquences 5 et 6. Textes • Texte A. MOLIÈRE (1622-1673), L'École des femmes, acte V, scène 4, extrait (1662) • Texte B. MOLIÈRE (1622-1673), Le Misanthrope, acte II, scène 1, extrait (1666) • Texte C. RACINE (1639-1699), Bérénice, acte IV, scène 5, extrait (1670) • Texte D. RACINE (1639-1699), Phèdre, acte II, scène 5, extrait (1677) Corpus Texte A. MOLIÈRE, L’École des femmes, V, 4 (1662) Arnolphe, bourgeois vieillissant, a fait élever dans la plus parfaite ignorance une jeune fille avec l’intention

beaucoup compter sur l’homme, ni beaucoup lui demander. Ce serait une naïvité de croire qu’il est naturellement bon ou raisonable (l’infulence du courant libertin). Un pessimisme profond apparaît au contraire dans l’oeuvre de La Rochefoucauld et de Racine : l’homme est esclave de son amour propre et de ses passions. Les passions sont mauvaises en elles-mêmes et la raison (la volonté) est impuissante à les maîtriser. L’analyse pessimiste est présente aussi dans l’oeuvre de Pascal (l’influence de jansénisme)

Fiches & Méthodes CPGE scientifiques La parole Platon, Phèdre Marivaux, Les fausses confidences Verlaine, Romance sans paroles Coordination Sophie Rochefort-Guillouet Patrice Bégnana Brahim Boumeshouli Claudine Chevallier Lahoucine El Merabet Abdelbasset Fatih Céline Guillemet Françoise Gouzard-Thomas Jérôme Jardry Mustapha Jbilou Aurélien Liarte Irène Moillo Dominique Poulain Sophie Rochefort-Guillouet. Enrique Seknadje-Askénazi Charlotte Simonin Simon-Alexandre Zavadil ISBN 978-2-7298©Ellipses

« contre » qui signifie la confrontation, le conflit est utilisé à plusieurs reprises.Scène 3 : toute la famille encore sur scène Ce sont S et la Mère qui introduisent cette dernière scène : elles se placent avec Catherine comme le chœur dans les pièces antiques, en position de spectatrices, silencieuses, face aux deux frères. Antoine rappelle que son frère toujours s’est plaint de ne pas être assez aimé. Qu’il utilisait même cette affirmation, ce reproche « c’est

Exercice [F. Leroux, La Machine à assassiner] 2/ A grande échelle : la réécriture mythique 2.1. Des invariants à la réécriture 2.2. Les variations de l’organisation et du contenu du récit mythique [Don Juan] 2.3. Les variations de registre [P. Dac, Phèdre] 2.4. Bilan : arborescence ou constellation mythique 3/ De la réécriture à la réinterprétation 3.1. La christianisation des mythes [Hercule] 3.2. La romantisation des mythes 3.3. L’actualisation des mythes au XXe siècle [Médée] Chapitre III/ L’exemple

représentation. Cette dramaturgie relève d’un choix esthétique et éthique : on essaye de proposer un spectacle qui imite le plus possible la réalité contextuelle du spectateur (pour cela Néron, dans Britannicus de Racine, porte les habits du XVII° siècle). Premièrement en obéissant au caractère de vraisemblance , soit qu’il faut que le spectacle se déroule en respectant les codes de la logique, de la rationalité, en faisant apparaître

créateurs de lois et de pensions, mais aussi de grands amateurs de théâtre. Ainsi, le roi est un mécène : Louis XIV, en organisant des fêtes monumentales, où la musique, la danse et le théâtre sont à l’honneur, permet aux grands dramaturges tels que Racine, Molière ou au fabuliste La Fontaine de se faire une renommée et d’exercer leur art en toute quiétude. De même la Reine Elisabeth I permet à Shakespeare de jouer ses pièces à la cour dans les palais royaux de Greenwich et de Whitehall et dans