Le Champ Lexical Du Théatre

dramaturge du 17ème siècle appartenant au classicisme. Il est aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV. Il eut beaucoup de succès, notamment avec l’Ecole des femmes, mais peu de temps après, il est accusé d’athéisme et deux de ces pièces Tartuffe et Dom Juan furent interdites. Il revient ensuite à la farce, et monte des comédies-ballets alliant théâtre, musique et danse. Le texte que nous allons étudié est issu de Dom Juan. Il s’agit d’une tirade

*On étudiera d’abord l’éloge de l’amour inconstant puis on mettera en évidence le caractère éphémère et changeant de la vie suggéré par ce sonnet. I/ Éloge de l’amour inconstant A) amour inconstant Amour, passion … = champ lexical de l’amour Champ lexical de l’infidélité et du changement -pas d’attachement à une femme unique. Utilisation du pluriel B)Refus de la contrainte Poète = révolté Marque de 1ère personne dans environ tout les vers. Il montre sa personnalité. - refus

le bateau afin de voir s'il a une voile noire ou blanche. Acte III, scène 2 de Ruy Blas Acte V, scène 4 de Ruy Blas Le champ lexical de la mort est omniprésent dans les didascalies : « chancelant, immobile et glacée, tombe, grave et basse, joignant les mains, levant les yeux au ciel, défaillant, tombe, se jetant sur son corps, qui allait mourir. . Ce champ lexical montre qu'il s'agit de la fin de la pièce. Il insiste sur le côté tragique de la scène. La répétition de « je n'ai pas l'âme

qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions ». Cette évocation pudique de pensées adultères correspond aux bienséances requises au XVIIème siècle. L’aveu de la Princesse de Clèves est exceptionnel comme le montre le champ lexical de l’héroïsme : « force », « périls », « nulle marque de faiblesse », « je ne craindrai pas », « dangereux », « me conserver digne », « digne d’estime et d’admiration », « trop noble ». Le texte s’inscrit ainsi dans le registre épique et met en

rang, L’ordre, La victoire, Discordances, Désunion et Départ. Nous nous demanderons donc quelle est la signification que peuvent avoir les titres de ces chapitres par rapport à l’ensemble de Mémoires. Nous étudierons tout d’abord la signification lexicale des sept chapitres puis nous verrons la signification théâtrale qu’ ils peuvent avoir. Dans ses Mémoires, De Gaulle a donné à ses différents chapitres des noms que l’on peut interpréter de manières variées. Tout d’abord, nous pouvons remarquer

des pressions contre lui, que DJ a vues se multiplier au cours de l’Acte IV. Or, cette conversion est mise subitement en pratique au début de l’Acte V, ds la scène de réconciliation avec son père, Don Louis, scène qui constitue un véritable coup de théâtre : le héros y adopte en effet un nouveau langage, celui des dévots, suffisant pour convaincre son père. Cependant, au début de la scène 2 de l'acte V d'où est extrait le passage étudié, DJ révèle la vérité à Sg, qui s’est lui aussi laissé naïvement

COMMENTAIRE RUY BLAS Pour commencer, la pièce fait bien partie du théâtre dramatique et romantique. Tout d’abord, les règles imposées par ce dernier sont parfaitement respectées. En effet, malgré la présence d’une reine « la Reine », il y a tout de même un mélange des classes sociales avec la présence de « Ruy Blas » un modeste valet qui est par ailleurs le héros romantique. Celui-ci, après avoir bravé l’interdit rencontre la fatalité et est sacrifié ce qui le conduit à la mort, ceci est

THEATRE   Avant d'aborder l'étude, il faut vous poser certaines questions à propos du texte :   -A quel genre il appartient et à quelle époque? : Comédie, tragédie, drame, selon les siècles, les visées du théâtre ne sont pas les mêmes.   -Quels sont les registres utilisés ? : certaines pièces mêlent tragique et comique, au XXème, théâtre de l'absurde.   - Où se situe le texte ? : Il suffit de regarder les références à l'acte, à la scène. Cela est surtout vrai pour les pièces classiques.

la scène est faite par l’utilisation du subterfuge au théâtre par l’auteur. En effet, nous avons le subterfuge de la servante, qui a la capacité réflexible par la finesse de son observation sur sa maîtresse. Mais il y a aussi la ruse de la maîtresse. On observe le champ lexical de la duperie qui est en parallèle avec le subterfuge des deux personnages féminins. Cléanthis est sur le devant de la scène, elle renforce le théâtre dans le théâtre. De plus, elle souligne le caractère théâtral par le thème

Voyage au bout de la nuit . -En 1950, il écrit une pièce de théâtre, Les Justes , qui reprend un fait réel : l’attentat qu’un groupe de terroristes russes, en 1905, avait mené contre le grand-duc