Le Champ Lexical Du Texte Aux Champs

*Quelle vision nous donne t’il de se massacre ? *Dans ce texte nous étudierons en première partie le massacre après le passage des forces Allemande dans le petit village d’Oradour. Puis en seconde partie nous étudierons les sentiments que cela à provoquer chez le poète et comment celui ci nous racontera se désastre. Après avoir analysé ce poème nous pouvons remarquer avec quelle force le poète décrit la scène, il utilise le champ lexical de l’effroi pour dénoncer le mal qu'endurent le narrateur

LECTURE ANALYTIQUE N° 7 : Thérèse Raquin, chapitre V Préparez la lecture analytique de ce texte, en vous aidant des outils d'analyse ci-dessous (à nommer) : – proposez une problématique – proposez deux ou trois axes – proposez un plan détaillé (complétez les interprétations des outils que vous utilisez) Madame Raquin se souvint brusquement du petit Laurent, qu’elle trouva singulièrement grandi. Il y avait bien vingt ans qu’elle ne l’avait vu. Elle voulut lui faire oublier son accueil étonné par

Comment le texte met-il en valeurs la violence de l'Usine Ford ? Abattoir = scatologie, machine qui broie l'homme animalité = champ lexical des animaux : chimpanzé mécanisation = homme machine, travail à la chaine abrutissement physique et moral hiérarchisation (capitalisme → monde machine à faire de l'argent) texte narratif et descriptif → temps : imparfait et passé composé registres : 1) pathétique 2) polémique 3) tragique (1) champ lexical de la déshumanisation, comparaison

(…) -L’Homme n’a pas modifié la forêt : (une antithèse entre l’artificiel et le naturel est employée afin de mettre en valeur le naturel par la négation de l’artificiel) Champ lexical de l’artificiel : « embellissait », « à coups de ciseaux », « mode », « semer », « sabler », « modérer », « ménager » Champ lexical de la nature : b) Un extrait réaliste: -Goût pour la précision, la minutie du détail : Recours à des CCT : « à vingt ans », « dans ces temps anciens », « un beau matin »

Genre littéraire : Le roman, texte narratif. - Types de texte : Début du roman. - Contenu : Il s’agit de Maheu qui est un mineur, nous assistons à son travail pénible au fond de la mine. Zole décrit avec précision la scène car son principe était de recueillir des témoignages ou bien d’assister au travail de ses personnages, c’est pourquoi il fut un célèbre naturaliste. I/ Le réalisme : a) Description technique et documentée de la scène : - Champ lexical des « outils » => Zola précis

crise, c’est-à-dire quels symptômes sont décrits par l’auteur et comment se traduisent-ils. D’une part, Baudelaire décrit une sensation d’enfermement qui constitue la première étape d’une crise de Spleen. Situé dans la première moitié du poème, le champ lexical de l’enfermement et de l’oppression est composé des termes « lourd », « pèse », « couvercle », « cercle », « murs », « plafond », « barreaux », « filets » et laisse apparaître une oppression de plus en plus marquée. Ainsi l’enfermement devient

l’avez-vous éprouvé ? ». Il est aussi exprimé par l’utilisation du champ lexical du désespoir avec des mots tels que « pleurai, désespoir, malheurs, affreux, horrible, terrible », par les interjections « Oh ! », « Hélas ! » et par l’hyperbole « souffert ma souffrance ». Victor Hugo exprime également sa souffrance à travers plusieurs champs lexicaux : celui de la souffrance, celui de l’horreur, celui de la révolte et du refus. Le champ lexical de la souffrance est exprimé par le verbe « souffrir », le verbe

Illusions perdues Le texte étudié est un extrait de Illusions perdues , roman de Honoré de Balzac. Dans ce passage, Lucien, amant de Mme de Bargeton, lit des poèmes de André Chénier afin que, devant l’aristocratie, Mme de Bargeton puisse le mettre en valeur. En quoi les poèmes lu par Lucien peuvent-t-ils paraître vide de sens pour certaines personnes ?Nous étudierons dans un premier temps, la dure réalité du texte, puis dans un second temps, le détournement

point et pour terminer je mettrai ce texte en lien avec un texte vu en classe écrit par un poète du même courant. On ressent clairement la patte de marceline Desbordes-Valmore car elle écrit à la première personne « et je pleurai longtemps au bruit de sa parole. Un ami me parlait et me regardait vivre. Elle veut essayer de démontrer son monde où elle se sent malheureuse à travers les yeux d'un jeune homme Qui ne la comprend pas. Elle est engagée dans ce texte pour la condition de la femme « il

Commentez le texte suivant : Les vents courent, volent, s’abattent, finissent, recommencent, planent, sifflent, mugissent, rient ; frénétiques, lascifs, effrénés, prenant leurs aises sur la vague irascible. Ces hurleurs ont une harmonie. Ils font tout le ciel sonore. Ils soufflent dans la nuée comme dans un cuivre, ils 5 embouchent l’espace, et ils chantent dans l’infini, avec toutes les voix amalgamées des clairons, des buccins, des oliphants, des bugles et des trom- pettes, une sorte