Le Champ Lexical Du Texte Aux Champs

(poème, alexandrins, rimes suivies) > Je lis le poème. > Qu'est-ce qu'une satire ? (rappel) De quoi se moque-t-il ici ? > Eléments pour l'introduction du commentaire de ce texte : XVIIe : démographie de Paris explose, multiplicat° des transports. Nicolas Boileau, poète classique du XVIIe s. (voir p. 575) Poème satirique = texte qui dénonce un travers social en s'en moquant. Objet de la satire = les nuisances de la ville, la vie parisienne. v. 1-14 : bruits insoutenables entendus de chez lui

Registre littéraire d’un texte = effet produit par ce texte sur le lecteur, nature particulière de l’émotion que le texte vise à communiquer indépendamment du genre dans lequel il s’inscrit Registre littéraire ? registre de langue (=niveaux de langage : familier, courant, soutenu...) REGISTRE LITTÉRAIRE | DÉFINITION + BUT | PROCÉDÉS | COMIQUE | Définition : Décalage entre la situation proposée et la situation attendue. -L’humour : traiter un sujet de manière plaisante -divertir le lecteur

opposés. HYPOTHESE DE LECTURE Ce texte à une visée définitoire, le travail du poète, mais l’auteur a recours à la forme politique comme une mise en œuvre de ses idées. « Comment Victor Hugo s’efforce de définir le travail du poète, tout en étant un lui-même ? » ENONCIATION -Modalités d’énonciation : Vers 1 et 2 : 3 phrases exclamatives Vers 21 et 22 : 2 phrases exclamatives Vers 30 : 1 phrase exclamative Ces phrases exclamatives ouvrent et ferment le texte, ce qui provoque une insistance

« l'art » comme peut nous le montrer le champs lexical comprenant les expression « artiste » et « peintre ». D'après mes connaissances , ces personnages sont réels car Nicolas Poussin a vraiment existé. C'était un Peintre français né en 1594 et mort en 1665. Porbus était quant à lui un peintre flamand vivant entre 1569 et 1622. Pour ajouter des éléments réels, Balzac n'hésite pas à évoquer d'autres personnes connues comme rabelais ou Socrate. Par conséquent, ce texte s'appuie bien sur des éléments réels

qualifiez tous les éléments n’appartenant pas au texte. * Indications sur le contexte historique ou biographique * Situation ou fonction du texte dans le reste de l’œuvre * Titre du texte * Date de parution ou de composition, réelle ou fictive, du texte lui-même * Lieu, réel ou fictif, où le texte a été composé * Nom de l’auteur * Titre de l’œuvre d’où le texte est tiré * Date de parution de cette œuvre * Texte complet ou découpé * Notes de vocabulaire

« Les animaux malades de la peste », Fables de Jean de La Fontaine, 1678. Fable animalière avec morale explicite. Le choix d’écrire un texte hétérométrique (alexandrins, octosyllabes et même un vers de 3 syllabes) correspond à la volonté de l’auteur de jouer sur la longueur des vers pour accroître l’impact de ses propos. Résumé : la peste sévit dans le royaume. Le roi pense que le fléau a été envoyé par Dieu pour punir les péchés des habitants, et propose donc que chacun

Procédés mis en œuvre dans le texte : La Peste, Camus, « le bain de l’amitié » A. Procédés lexicaux : Champs lexicaux et connotations champ lexical de la « nature » : « grands blocs » ; « rochers » ; « les eaux » ; « la mer » etc. Monde extraordinaire ou la peste ne sévie pas. La nature apporte une certaine sérénité aux 2 personnages. La nature est saine par rapport a leur ville malsaine qui n’apporte que la mort : c’est un retour aux origines. Champ lexical: « Sensations » : « doucement » ;

Dans le texte de Victor Hugo, le rôle donné à la musique est d'accompagner l'homme dans son quotidien. On peut trouver une métaphore ligne 24 : ''La nature nous dit : Chante !''. On peut trouver une gradation ligne 11 : ''Pour notre âme, les jours, la vie et les saisons.''. Dans le texte de Charles Baudelaire, le rôle donné à la musique est d'affronter les épreuves quotidienne, les épreuves de la vie. On peut trouver une métaphore ligne 1 : ''Sous un plafond de brume''. On peut trouver une comparaison

[pic] Voir le texte de référence La composition Les outils lexicaux 1. Le champ lexical 2. Les vocabulaires appréciatif et dépréciatif 3. La connotation Les images Les autres figures de rhétorique Les figures d'opposition l'antithèse l'antiphrase le paradoxe l'oxymore Les figures de substitution la métonymie la synecdoque la périphrase Les figures d'insistance (d'amplification) l'hyperbole l'anaphore la gradation Les figures d'atténuation la litote l'euphémisme

mortelle en utilisant le champ lexical des parts et organes du corps : « mamelles » (l.13), « bras », «  jambes » et « cervelles » (l.16) ; et le champ lexical de la violence : « brûlées » (l.12), « criblés de coups », « égorgées »(l.13), « sanglantes » et « éventrées »(l.14), dans un style d’oxymore « boucherie héroïque » (l.7-8) qui décrit l’atrocité de la guerre en opposition au héroïsme qui est fictif . Le style d’euphémisme et de périphrase se présent dans le texte : (« là des filles éventrées