Le Bras de fer

Napoléon) ou Eisenstein et sa caméra braquée sur les bottes des soldats dans son Cuirassé Potemkine. Mais Zola nous oblige aussi à lever constamment les yeux pour regarder les "petits" tendus à bout de bras, les "bâtons" brandis, les visages des vieilles, les "yeux", les "bouches", les "barres de fer" et la "hache" ; et lorsqu'il fait allusion à la "terre dure" et, par prétérition, aux "culottes" et aux "tricots", c'est pour mieux nous ramener à ce qui se passe "au-dessus des têtes". II° partie

éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain, tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu : « Petits comme nous sommes,

par ce meuble caressant dont le dossier et les bras capitonnés le soutenaient délicatement, il lui sembla qu'il entrait dans une vie nouvelle et charmante, qu'il prenait possession de quelque chose de délicieux, qu'il devenait quelqu'un, qu'il était sauvé ; et il regarda Mme Forestier dont les yeux ne l'avaient point quitté. Elle était vêtue d'une robe de cachemire bleu pâle qui dessinait bien sa taille souple et sa poitrine grasse. La chair des bras et de la gorge sortait d'une mousse de dentelle

gauche et aurait un œil de verre. Il ne possède plus de bras et se sert de sa mâchoire pour prendre les cartes. Cette mâchoire est mécanique et il lui manque une partie de sa boite crânienne. Le Joueur de droite : on peut apercevoir qu’il n’a plus ses jambes et possède un bras mécanique. Il porte un cache-nez et a une mâchoire artificielle. La main qui tient les cartes semble être une pince de crabe et il porte sur sa veste une croix de fer, symbole militaire de l’armée allemande. Biographie Otto

| | | |L’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras. | | | |

quelques jours de bonheur prés de celui qu’elle aime tandis que Pharaon, fou de désir et d’inquiétude, la fait rechercher activement. Une nuit, elle suit Poëri à son insu dans les ruelles du quartier juif et avec désespoir le découvre dans les bras d’une femme de sa race : Rachel. Foudroyée par la fièvre la pauvre Tahoser s’effondre devant la porte de Rachel qui la recueille. Quand Poëri reconnaît la malade, Rachel comprend très vite le mal qui ronge cette dernière. Elle fait appel au mystérieux

rivage, s'attachaient à ses vêtements, serraient ses camarades entre leurs bras et pleuraient, ce vieillard s'avança d'un air sévère et dit : « Pleurez, malheureux Tahitiens, pleurez, mais que ce soit de l'arrivée et non du départ de ces hommes ambitieux et méchants. Un jour vous les connaîtrez mieux. Un jour ils reviendront avec le morceau de bois que vous voyez attaché à la ceinture de celui-ci dans une main, et le fer qui pend au côté de celui-là dans l'autre, vous enchaîner, vous égorger ou

allons étudier comment une sculpture du 20ème siècle a été transformé en œuvre de propagande pour l’URSS 2. Présentation de l’œuvre Artiste : Vera Ignatievna Moukhina Année : 1937 Type : Sculpture monumentale Technique : Moulage en acier inoxydable fer-chrome-nickel Dimensions : 25 m (H) et 80 tonnes Lieu de conservation : Centre panrusse des expositions, Moscou, Russie. Commanditaire : L’Etat soviétique dirige par Staline pour l’exposition universelle à Paris en 1937. 3. Replacez l’œuvre dans

est bien noir, La mer est bien haute ! On dirait l'hiver ; Parfois on s'y trompe... - Le vent de la mer Souffle dans sa trompe. Oh ! marins perdus ! Au loin, dans cette ombre Sur la nef qui sombre, Que de bras tendus Vers la terre sombre ! Pas d'ancre de fer Que le flot ne rompe. - Le vent de la mer Souffle dans sa trompe. Nochers imprudents ! Le vent dans la voile Déchire la toile Comme avec les dents ! Là-haut pas d'étoile ! L'un lutte avec l'air, L'autre

incalculable plus-value résultant de l’abolition des parasitismes ; plus d’oisiveté l’arme au bras ; la gigantesque dépense des guérites supprimée ; les quatre milliards que coûtent annuellement les armées permanentes laissés dans la poche des citoyens ; les quatre millions de jeunes travailleurs qu’annule honorablement l’uniforme restitués au commerce, à l’agriculture et à l’industrie ; partout le fer disparu sous la forme glaive et chaîne et reforgé sous la forme charrue ; la paix, déesse à huit