Le Bras de fer

dans des univers industriels rudes où se côtoient trains qui ne vont nulle part, regards au loin et yeux immensément grands et ouverts sur l'inconnu. Des squelettes hantent parfois ses tableaux. Un autre univers favori de Paul Delvaux est le chemin de fer ("Trains du soir"). Il a peint également de grandes compositions murales comme celle du Casino-Kursal d'Ostende, du Palais des Congrès de Bruxelles, de l'Institut de Zoologie à Liège.   Paul Delvaux décède le 20 juillet 1994 à Furnes, où il s'était

chevelu : il a été scalpé. Il a deux moignons à la place des jambes et il n’a plus de bras. Il tient ses cartes avec la bouche. Il a un œil de verre et n’a pas d’oreille. Le troisième personnage, à droite, n’a pas de jambes, il est posé sur un socle en fer. Contrairement au deux autres personnage, il a ses deux mains mais l’une des deux est articulée. Il a perdu son nez et sa mâchoire est une prothèse. Il porte une croix de fer sur son veston, c’est une décoration militaire allemande ; ce qui est absurde

rejoignent dans d’innombrables écrits, peintures ou encore chansons. Hésiode était un écrivain de référence par rapport à l’Age d’or, il en est l’un des plus grands partisans ; ces écrits, pour la plupart, proposent une critique explicite de l’Age de fer mais aussi de l’Homme qui est selon lui unique responsable de la « Chute. Pour comprendre ses motivations, il semble essentiel de connaître le contexte dans lequel vivait ce célèbre auteur, en Boétie. La région, entièrement vouée au travail de la terre

ville du rail". La ligne de chemin de fer dessert les grandes villes Dakar, Thiès, Bamako et Rufisque, qui deviennent les centres de la rébellion. Dakar est le centre administratif. C'est là que se prennent les décisions importantes. C'est également le siège de l'administration coloniale et des syndicats. | |  Publicité  | | | | |   | | Le roman s'ouvre sur une scène au Mali dans laquelle les syndicalistes hésitent à engager un bras de fer avec les autorités coloniales, comme

cet homme n'a plus de bras et tint ses cartes avec le pied qui lui reste, on peut en déduire qu'il n'y a plus de dignité. Le joueur de droite tient ses cartes d'une main rouge, sans peau et d'une autre main en bois articulée avec un bras en mouvement inhabituelle. Au dessus de son col, on remarque une prothèse de métal qui remplace sa mâchoire. L’extrémité de son nez est couverte par un bandeau noir sans doute en cuir attaché derrière la tête il porte en outre la croix de fer , une décoration donnée

(dont l'une porte l'inscription "Prothese Marke: Dix, ce qui peut signifier qu'Otto Dix s'identifie au personnage), l’un n’a plus d’oeil et son visage est déformé du fait qu’il lui manque un bout de chair. Le personnage de droite porte le croix de fer allemande sur son vêtement. C'est une décoration qui récompense la bravoure des soldats. On peut donc supposer qu'il n'est pas antimilitariste mais plutôt fier d'avori combattu. Le personnage vu de face n’a plus de peau autour du cou, tandis que son

de sueur perle sur le haut de mon front. Le regard hagard, les mains tremblantes, je sens mon cœur cogné dans ma poitrine, un oppressant sentiment d’être épié s’empare de moi. Je relève brusquement la tête, 14h à l’horloge du hall du Georges V. Le bras droit crispé sur l’accoudoir du fauteuil, une cigarette se consumant entre mon index et mon majeur gauche, et cette seule et même question raisonne dans ma tête. Comment lui annoncer que je n’ai pas rassemblé une telle somme. L’heure fatidique se rapproche

(roi de coeur) est en double ; sous le genou de l'homme de gauche et sur son pied Le personnage a droite manque ses jambes, son nez est caché, sa machoire est en fer, son bras est une prothese en bois. La croix de Fer, décoration allemande de la 1re GM, indique quíl est un ancien combattant de la 1re GM. Celui de gauche ná pas de bras ; il joue avec son unique pied. Il se tient comme un singe, ce qui deshumanise un ancien combattant de la 1re GM. Son visage est couvert de brulures et de cicatrices

dans les tiroirs comme le sang de ses veines ; mais, pareilles à des bras convulsifs, les bielles n'avaient plus que des tressaillements, les révoltes dernières de la vie ; et son âme s'en allait avec la force qui la faisait vivante, cette haleine immense dont elle ne parvenait pas à se vider toute. La géante éventrée s'apaisa encore, s'endormit peu à peu d'un sommeil très doux, finit par se taire. Elle était morte. Et le tas de fer, d'acier et de cuivre, qu'elle laissait là, ce colosse broyé, avec

« Barbara » et son amant « un homme » = Narration 3) Un amour heureux Bonheur > Expression sentiments (lyrisme) « épanouie ravie » > Répétition du sourire « souriante » « tu souriais » Rencontre réjouissante > « jetée dans ses bras » Indication de l'auteur « je dis tu à tous ceux qui s'aiment » = heureux de les voir ensemble, volonté de partager leur bonheur en le narrant L'amour rend Barbara belle > « epanouie ravie ruisselante » « ton visage heureux » = apparition lumineuse