Le Bilinguisme

nationale ; la promotion de la démocratie et de la culture démocratique ; la promotion du bilinguisme. » Principaux textes réglementaires : ¾ Décret n° 92/74 du 13/04/1992 (création des 6 universités) ¾ Décret n° 99/026 du 19/01/1993 (fixant l’organisation administrative et académique) ¾ Loi d’Orientation n° 005 du 16/04/2001 (définit les missions, intègre les établissements privés, consacre le bilinguisme) 3. Structures des Universités Les six universités d’état, nées de la restructuration de 1993

administratif) a continué à être géré en français (ou, à la rigueur, en anglais). Cette politique d'arabisation s'est déroulée de façon conflictuelle, à la différence de ce qui s'est passé en Tunisie et au Maroc, où une option de bilinguisme franco-arabe a été généralement assumée. Ce bilinguisme fut pratiqué dans les premières années de l'indépendance, mais le conflit qui opposait deux couches de la société a visé à éliminer la langue française. Les enjeux en étaient idéologiques, mais aussi économiques : il

qu’à la manière d’un groupe parmi d’autres dans un Québec pluriel. Sans surprise, on conteste la prétention de cette majorité historique francophone à servir de culture de convergence et, peu à peu, la logique du multiculturalisme d’État et du bilinguisme officiel s’instaure au Québec même, ce qui vient évidemment fragiliser l’identité québécoise. Seule l’indépendance permettra au Québec de sortir d’un cadre politique qui non seulement le marginalise, mais compromet en plus ses capacités à défendre

n’apparait pas davantage comme un idiome prestigieux. Le Cap-Vert n’est pas un État officiellement bilingue. Moins de 20 % de la population est bilingue. Il s'agit davantage d'un bilinguisme favorisant le portugais aux dépens du créole. L’Etat et une petite élite est bilingue. Néanmoins au sein même de l’Etat, ce bilinguisme est déséquilibré, diglossique, sinon symbolique (Leclerc, 2007). On pense que le non officialisation du créole s’explique par l’histoire, dans les représentations que l’on a encore

l’implantation du latin — c’est le substrat — ou postérieure à cette implantation — c’est le superstrat. Le latin, introduit en Gaule par la conquête romaine, a évincé la langue locale, le gaulois. Celui-ci n’a disparu que peu à peu après une période de bilinguisme, situation éminemment favorable à une sorte de compénétration. On sait que les Gaulois ont conservé dans leur latin un certain nombre de mots de leur langue première, mots que l’on retrouve en français ou dans les dialectes actuels de l’ancienne

a été développé dans le chapitre traitant la question ‘bilinguisme ou diglossie’. Le concept d’attitudes linguistiques, connu dans les années 60 un développement progressif dans le champ de la psychologie sociale du langage où la plupart des travaux étaient sur les réactions des sujets à l’égard de locuteurs qui s’expriment dans deux ou plusieurs variétés linguistiques. Ces travaux étaient réalisés par W. Lambert à Montréal où le bilinguisme créait, d’après l’auteur, une situation de conflit qui

parlé par la population La langue écrite 58-51 av. J.-Ch. Conquête de la Gaulle par Jules César Le celtique Le latin I-IV-e ss. Romanisation de la Gaulle Période du bilinguisme : Le celtique + le latin vulgaire, → gallo-roman Le latin V-VIII-e ss. Conquête de la Gaulle par les Francs Germanisation de la Gaulle Période du bilinguisme : Le gallo-roman + le francique Le latin IX-e s. Premiers monuments de la langue française → ancien français Le latin et l’AF Strats Le celtique – le substrat (vestiges

même pas généraliser cela. Dans cet ordre d'idées, la similarité entre le créole et le français est aussi un autre facteur qui a un rôle à jouer dans ce débat ; en réalité ce deuxième facteur forme parti du premier, puisqu'il relève du domaine du bilinguisme, car cela englobe les deux langues principales concerné par ce devoir. Il est donc important de souligner que le vocabulaire créole mauricien provient de plusieurs langues, notamment de la langue française et qu'il est normale de voir que ces deux

marché du travail . En effet, la scolarisation en français est de nature à stimuler le bilinguisme additif, par lequel l’apprentissage de la langue seconde se fait sans que la langue maternelle en pâtisse. La scolarisation en anglais, en revanche, encourage le bilinguisme soustractif, par lequel l’apprentissage de la langue seconde se fait au détriment de la langue maternelle. Bien souvent, ce type de bilinguisme constitue une phase transitoire menant vers l’unilinguisme dans la langue seconde .

simplifier ou construire des obstacles pour l’apprentissage de L3. Quand leur bilinguisme se constitue de la langue persane et de leur langue maternelle (l’une des langues minoritaires du pays) nous n’observons pas de difficulté majeure pour l’apprentissage d’une langue nouvelle européenne, surtout si celle-ci utilise un alphabet différent de celui du persan comme l’anglais ou le français. Néanmoins quand le bilinguisme ou le plurilinguisme se constitue d’au moins deux langues utilisant toutes deux