Lavage broncho-alvéolaire

maladies en cause, si elles touchent essentiellement le compartiment interstitiel du poumon, peuvent aussi concerner le compartiment alvéolaire. 3. Les PID peuvent être classées en fonction de leur caractère aigu ou chronique et de leur cause, connue ou inconnue. 4. Les PID aiguës sont dominées par les causes infectieuses et hémodynamiques. 5. Le lavage broncho-alvéolaire est l’examen clé au cours des PID aiguës fébriles 6. Le bilan cardiologique est indispensable au cours des PID aiguës non fébriles

Ponction lombaire :  Liquide clair  Hyperprotéinorachie  Hypoglycorachie  LCR peut être normal sur le plan cellulaire et chimique chez le sidéen o Atteinte pulmonaire o Formes cutanées Diagnostic : o Prélèvements :  LCR  Lavage broncho-alvéolaire  Biopsie ou sérosités cutanées  Hémocultures  urines o A l’examen direct :  A l’état frais :  Mise en évidence des levures  La capsule est invisible  A l’encre de Chine utilisé pour le LCR, en première intention devant

Intérêts (pour les pathologies respiratoires = bronchoscopie) : - Visualiser la muqueuse des bronches et observer son état. - Réaliser des biopsies (= examens anatomopathologies) ou des petites opérations chirurgicales. - Lavage broncho-alvéolaires pour analyser le contenu alvéolaire (amiante, bactéries …). La Spirométrie Définition : Principes : Avantages : Inconvénients : Intérêts (pour les pathologies respiratoires) : - Dépister une maladie pulmonaire (asthme, mucoviscidose)

heures d’une miction précédente, - En dehors des périodes de menstruation (sinon port de tampon), - Avant tout traitement antibiotique si possible (sinon le signaler). Déroulement du prélèvement (fait en général par le patient lui-même) : - Lavage de mains - Toilette intime soigneuse au savon ou avec un antiseptique (lingette, compresse) : chez la femme : de la vulve, des grandes et des petites lèvres en les écartant, et du méat urétral chez l’homme : du prépuce et du méat urétral - Rincer

diarrhée, trouble de consciences, céphalées, peut aller jusque l’insuffisance rénale voir état de choc. • Les examens à réaliser pour confirmer le diagnostic sont : 1. Test d’antigène soluble urinaire (antigènurie) 2. Lavage broncho alvéolaire 3. Sérologie 4. Immunofluorescence directe 5. fibroscopie • Son mode de transmission : Par voie aérienne : inhalation de vapeur d’eau contaminée sous forme de fines gouttelettes ou aérosols (douche ou les

d’inspiration, jamais pendant l’expiration. Contrairement aux râles bulleux, ils ne sont pas modifiés par la toux. Ils deviennent au contraire plus nets après celle-ci. Ils indiquent un processus pathologique alvéolaire. On les attribue aux décollements qui se produisent entre les parois alvéolaires et leur contenu pathologique. On les rencontre principalement dans la pneumonie et dans l’oedème pulmonaire interstitiel de l’insuffisance ventriculaire gauche mais aussi dans certaines 20 pathologies plus

mouvements circulaires en remontant dans la trachée, or j’avais connaissance que cela n’était pas recommandés car au lieu d’enlever plus de sécrétions on en déposait le long de la trachée. Le protocole du service indique que l’on peut faire des lavages broncho alvéolaires en utilisant du sérum physiologique. Or ce produit n’est pas adapté car d’après une étude, les sécrétions et le sérum physiologique ne sont pas solubles, le bicarbonate serait plus adapté. b) Difficultés et points à approfondir L’infirmière

est surtout utilisé pour l'exploration des articulations (arthroscopie), de la cavité abdominale (coelioscopie ou laparoscopie), de la vessie ( cystoscopie) L'endoscopie est utilisé a visée : - Diagnostic : biopsies, brossage, LBA (lavage broncho alveolaire) - Thérapeutique : laser, résection de polypes, retrait de corps étranger, pose de prothèse Dispositifs medicaux coûteux, complexes nécessitant des processus de nettoyage et de désinfection répétés. 5) Traitement d'un endoscope

l'exercice de la profession, de tous produits. B - Broncho-alvéolite aiguë ou subaiguë avec syndrome respiratoire (dyspnée, toux, expectoration) et/ou signes généraux confirmés par l'exploration fonctionnelle respiratoire et la présence de signes immunologiques significatifs (présence d'anticorps précipitants dans le sérum contre l'agent pathogène responsable ou, en l'absence de ces anticorps, signes d'alvéolite lymphocytaire au lavage broncho-alvéolaire). 30 jours B. C. D - Travaux exposant à l'inhalation

60L/min avec 80% de FIO2. La biologie retrouve un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 35 mg/L associée à des d-dimères positifs motivant la réalisation d’un angioscanner ne retrouvant pas d’embolie pulmonaire mais un foyer de condensation alvéolaire étendu au lobe inferieur gauche. Le patient est rapidement transféré en USC mais devant une oxygeno-requerance majeure nécessitant l’OPTIFLOW à 70L/min avec 100% de FIO2 le transfert en réa est réalisé. Synthèse d’hospitalisation