Label d'agriculture biologique

Promotion 2005 Dossier Environnement Sujet : Enjeux et principes de l'agriculture biologique Nathalie DUFOUR – Fabienne FERON - Camille MARCEL Pierre COSTE-CHAREYRE - François-Régis DEHERY Dossier Environnement Page 1 sur 31 Agriculture Biologique Préambule : Le mythe de l’écolo façon José Bové est bel et bien tombé. Au diable la barbe et les faciles slogans prônant le végétarisme pour tous. Le Bio est directement arrivé dans nos assiettes. Ces évocations peuvent d’abord prêter à sourire mais

de répondre a la demande du publique en réduisant les pollutions, protéger les ressources et générer des avantages et bénéfices environnementaux. Il existe déjà des exploitations laitières, porcines et autres qui s’appuient sur les principes d’agriculture durable. Afin de comparer les exploitation entres elles il y a des méthodes à base d’indicateur de durabilité comme la méthode IDEA( indicateur des durabilité des exploitations agricoles), la méthode PLANETE ( qui a pour but l’analyse énergétique

stratégies économiques correspondent ces labels convoités par les espaces agricoles français ? Les agriculteurs adoptent des stratégies diverses pour rivaliser dans une concurrence accrue par la mondialisation : * adoption de labels : les labels permettent de certifier l’origine ou la qualité d’un produit agricole. Ils permettent aussi de valoriser les produits des agriculteurs auprès des consommateurs. Dans un but d’harmonisation les labels européens remplacent les labels français. * adoption du développement

pour demain ? Au sommet de la terre en 1992 + Agenda 21 = objectif de « promouvoir un développement agricole et rural DURABLE ». privilégier une alimentation de qualité avec la traçabilité (savoir d'où provient l'animal), la labellisation (label rouge), AOC (Appellation d'Origine Contrôlée => fromage), terroir d'origine changer d'habitude alimentaire : manger moins de viande, moins de produits de contre-saison (fraises,...), plus de produits locaux (limiter les transports,...) développer

Sommaire I. Explication du projet 1. Gamme 2. Choix du nom Flashou 3. Choix du logo 4. Choix de notre slogan 5.1 Choix de Danone 5.2 Histoire de Danone 5.3 Chiffre clés de l’entreprise  6. Label II. Etude de marché 1. Définition d’un produit BIO 2. Place de l’agriculture biologique 3. Questionnaire réalisé 3.1 Questionnaire général sur les produits BIO 3.2 Résultats 3.3 Analyse des résultats  4. Etude des prix/concurrences dans l’enseigne Carrefour à Mont Saint Aignan

produit issu de l’agriculture biologique. Depuis 2006, la réglementation interdit la mention « bio » pour des produits non issus de l’agriculture biologique. (Application du Règlement CE n° 1804/99) On se souvient cette année-là chez Danone du passage de la marque BIO à ACTIVIA. La marque BIO faisait référence au terme bios, la vie en grec pour évoquer les ferments lactiques présents dans le yaourt mais elle ne désignait en rien un produit biologique. Le label AB permet de communiquer sur

coté éthique de cette entreprise qui est le plus intéressant. Des ingrédients respectueux de l’environnement, des packagings écologiques et des ressources optimisées jusqu’au partage de la richesse tout y est. Ainsi la jeune entreprise a obtenu le label rainforets alliance et reverse 10% de ses profits a la fondation innocent qui agit dans différents pays émergeants pour aider le développement des populations et protéger l’environnement. De ce point de vue la jeune entreprise anglaise n’a pas a rougir

LIMOGES Jeudi 18 et vendredi 19 octobre 2001 ALIMENTATION ET SYSTEMES D’ELEVAGE EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE ACTES DES JOURNEES TECHNIQUES ELEVAGE 2001 Institut Technique de l’Agriculture Biologique 149, rue de Bercy – 75595 Paris Cedex 12 Tél. : 01 40 04 50 64 – fax : 01 40 04 50 66 – mèl : itab@itab.asso.fr Groupement des Agrobiologistes du Limousin 64-66 rue Paul Claudel – 87100 Limoges Tél. : 05 55 31 80 35 – fax : 05 55 31 00 31 Avec l’appui du Conseil Régional du Limousin et du

Module d’Initiative Locale En quoi l’installation de M. & Mme Grayon en Agriculture Biologique apporte-elle une plus value à l’exploitation ? Audrey Pommeyrol Kevin Sladek Laura Cipolla Promotion 2010-2012 BTS Agronomie : Productions Végétales Résumé M.Grayon nouvellement viticulteur, a repris une exploitation Auvergnate en 2007. Cette exploitation a été convertie directement en bio dès son installation par volonté éthique. Aujourd’hui elle est entièrement reconnue bio après

son succès, ne risquerait-il pas de perdre son âme ? La recherche du profit à tout prix ne mettraitelle pas en danger la qualité des produits bios ? On peut distinguer principalement deux schémas différents dans la vente et la revente de produits biologiques. Le premier étant comme on se l’imagine : le petit exploitant bio produit en petite quantité, avec une agriculture raisonnée, à échelle humaine. Ce dernier fournit une coopérative, qui elle-même se charge de revendre les produits à de petites surfaces