La Théorie De Pangloss

âme ». Il croit dur comme fer la philosophie de Pangloss et ne l’abandonnera qu’a la fin du récit où il sera le seul à reprendre ses esprits et se mettre au travail. Cunégonde : Candide est obligé de quitter le château à cause de son amour pour elle : le père de Cunégonde les surprend en train de s’embrasser. C’est pour sa beauté que Candide l’aime, une fois devenue laide, il ne l’aime plus. Pangloss : Pangloss se dit philosophe, il avance des théories inspirées de Leibnitz sur l’optimisme qui deviennent

nègre, lorsqu’elle parle de « vivre heureux » elle évoque donc le bonheur, image propre au discours de Pangloss et à sa théorie concernant l’optimisme. On retrouve toujours à travers «tu as l'honneur d'être esclave » des images référence quant au discours de Pangloss concernant le meilleur des mondes possibles. Cette fois c’est à travers les paroles de Cacambo qu’on retrouve la théorie de Pangloss, lorsqu’il demande ce qu’est « optimisme » ce mot est à prendre au sens philosophique, comme quoi tout

retrouver sa bien-aimée. En chemin, il fait la rencontre de nombreux personnages, qui pour certains l'aideront dans sa quête du bonheur, et traverse différents pays, où il tentera d'appliquer au mieux les principes optimistes que son précepteur, Pangloss, lui avait enseigné lorsqu'il était encore au château. Il retrouve définitivement Cunégonde seulement à la fin de l'histoire, mais est finalement déçut par sa laideur nouvelle. Il se mariera cependant quand même avec elle, et ils habiteront avec

sur Terre. Leibniz, pour sa théorie, part du principe de la perfection et de la bonté divine. D'après lui, rien ne peut être aussi parfait que Dieu donc le monde n'est pas parfait, or, comme Dieu est bon, le monde qu'il a créé est forcément le meilleur possible. Cette théorie a ensuite été simplifiée et critiquée par Voltaire dans Candide[13] : Dans Candide ou l'Optimisme,Voltaire s'attaque ouvertement à l'optimisme leibnizien et invente un personnage nommé Pangloss qui fait de lui un défenseur

qui a tendance à confier au personnage une fonction (l’auxiliaire, l’agresseur, la princesse, le héros, etc.) au lieu de le doter d’un caractère développé. Candide, neveu bâtard du baron de Thunder-ten-tronckh qui part à la découverte du monde. Pangloss, maître de philosophie de Cunégonde et de Candide, porte-parole de la philosophie optimiste de Leibniz. Cunégonde, fille du baron de Thunder-ten-tronckh, dont Candide est amoureux. Cacambo, fidèle valet de Candide d’origine hispanique. La vieille

embrasse Cunégonde, il est alors mis hors de portée de celle-ci. Candide va alors tout mette en oeuvre dans le but de la retrouver: il s’engage dans l’armée, Il est recueilli par Jacques et retrouve Pangloss, un philosophe qui lui donne des conseils (Hollande). Jacques meurt dans le naufrage et Pangloss se fait pendre après le tremblement de terre (Lisbonne). Candide est recueilli par la vieille et retrouve Cunégonde (Lisbonne). Il tue les deux amants de Cunégonde et ils s’enfuient (Avacéna, Badajos

portes » et de « fenêtres » à son château; de même le rapport entre la masse de la Comtesse et le respect dont elle jouit. Le pouvoir et la considération des personnages relèvent donc de l'illusion, et non d'une réalité. De même, le raisonnement de Pangloss est totalement décalé, pour le montrer, le narrateur lui donne la parole au discours direct. Les exemples qu'il prend reposent sur une démonstration soi-disant logique: « donc », « par conséquent »; mais en réalité elle ne comporte aucune logique:

Chapitre 1:Candide habite au château des Thunder... en Westphalie avec sa cousine Cunégonde (Famille aristocratique). Son précepteur est le métaphysicien Pangloss. Candide embrasse Cunégonde et est chassé du paradis (c'est le château). Chapitre 2 La vie terrante peut commencer. Candide est un victime des Bulgares, il reçoit beaucoup de la peine, des coups de bâtons etc. Il apprend les ''plaisirs '' du métier de soldat. Il peut déserter (abhauen), mes les soldats lui attrapent. Il est fouetté mais

loin d'en incarner traits habituels. Il subit des événements déconcertants et il est manipulé. Statut d'anti-héros. Candide garde en mémoire son éducation, l'enseignement optimiste de Pangloss, la nostalgie de la vie idéale au château. Il n'a pas de jugement personnel, il se limite à la vision optimiste de Pangloss. Candide porte donc bien son nom de héros naïf, qui a tout à apprendre sur le monde du 18ème siècle avec toutes ses horreurs et barbaries. Le narrateur étant externe, le lecteur s'aperçoit

Valdberghoff-trarbk-dikdorff ou il est entrainer dans une guerre. Candide deserte et s'enfuis en Hollande ou il rencontre l'anabaptiste Jacques et par la suite Panglosse. Ils decident donc de suivre l'anabaptiste a Lisbonne. Lorsque ils arrivent à Lisbonne, la terre se met à trembler. Candide et Pangloss sont condamnés pour des paroles suspectes par l’Inquisition. Pangloss est pendu. Soigné par une vieille, Candide retrouve Cunégonde qui lui raconte son histoire. Cunégonde partage ses faveurs entre le juif don Issachar