La Théorie De Pangloss

est personnifié par Pangloss, et le Pessimisme, qui est personnifié par Martin. L’un ne pouvant pas prévaloir l’autre. Les personnages : Candide   " Sa physionomie annonçait son âme. ". Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin

...................................................................................................50 b. Les diverses tentatives de réponse ................................................................................................51 c. Une théorie séduisante : l'optimisme.............................................................................................51 2. L’évolution de Voltaire dans ses contes ...................................................................................

évidence du caractère aléatoire et éphémère des honneurs et de la gloire : présentation par le vieillard « je présume qu’en général ceux qui se mêlent des affaires publiques périssent quelquefois misérablement » + énumération du sort des rois par Pangloss, de l’Antiquité à l’époque contemporaine, tous morts d’une mort violente (l.120 à 131).        Bonheur lié à l’exploitation d’un jardin, d’une « petite terre » ; insistance sur le caractère réduit du domaine, comme celui du vieillard « je n’ai

sa physionomie annonçait son âme. " Candide est un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss. Il ne pense jamais par lui- même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire Pangloss et lui exposer sa pensée sans redouter quelque moquerie de sa part. Naïf et insouciant, le jeune Candide aime éperdument la belle Cunégonde

flagornerie à l'égard du maître de maison, où Pangloss, précepteur et philosophe de pacotille distille des discours absurdes, sans fondement.   Pangloss, voilà encore un nom qui révèle bien ce personnage : le mot est issu de deux radicaux grecs et signifie"tout en langue". Pangloss est, en effet, un bavard infatigable qui endoctrine le jeune Candide et qui lui instille sa philosophie de l'optimisme.   Et Candide, le naïf, croit aveuglément ce que dit Pangloss. Ainsi Voltaire dénonce cette philosophie

par ordre logique : du plus important au moins important. Commence par Candide, personnage central (on le voit car personnage éponyme), puis Monsieur le Baron de Thunder-ten-tronck, puis Madame la Baronne, puis Cunégonde, son frère et pour finir Pangloss. Voltaire fait une onomastique (c’est-à-dire un jeu entre le nom des personnages et leur caractère) : * Candide : il a « un esprit simple », établit une relation entre sa physionomie et son caractère « sa physionomie annonçant son caractère »

comme maillon du Conte Les chapitres 5 et 6 entretiennent des liens, la 1ere phrase du chap 6 évoque 1 évènement présenté dans le chap 5. Le mot « aps » ouvre le chap 6, c'est un lien chronologique entre les 2 chaps. Et on retrouve ds le 6, C et Pangloss qui étaient présent ds le chap 5. Les chaps 6 et 7 entretiennent des liens, car e dernier paragraphe du chap 6 annonce un changeant de lieu « il quitte le lieu du cérémonie » L33 et dans le chap 7 Candide change d'endroit et est pris en charge

et des fenêtres », ce qui est propre à n’importe quelle habitation, miséreuse ou luxueuse, ainsi qu’une « grande tapisserie » ornait sa grande salle, ce qui n’a rien de bien extraordinaire. La Westphalie est égalée à la Terre entière : « …maître Pangloss, le plus grand philosophe de la province, et par conséquent de toute la Terre ». Ceci montre l’égocentrisme des aristocrates, ils se prennent pour le centre du monde. La cour ici est critiquée car ses composants ne cherchent qu’à s’attirer les

genres littéraires repris par les philosophes comme le roman, l’essai, le conte philosophique de Voltaire se distingue. Son chef d’œuvre est Candide, publié en 1759 à Genève. Le héros Candide, est un jeune homme naïf à qui son précepteur Pangloss inculque une théorie très simple de l’optimisme. Chapitre I Introduction : Ce texte, qui ouvre le conte de voltaire, décrit la société du château de Thunder-ten-tronckh (TTT) qu’il présente comme un paradis terrestre digne des contes de fée. Cependant

lente» -L5 «nous éviterons le ridicule d'avoir trouvé la cause de ce qui n'est point» → il exprime clairement son désaccord . Dans la partie qui commence L9 → l'auteur emploie certains mots quimontre qu'il admire les savants et leur théorie : -L13 «miraculeuse» -L15-16 «afin que cette dent d'or ne manqua pas d'historien» -L18 «une belle et docte réplique» Dévalorisé → il ne manquait qu'autre chose → Subjonctif (mode qui explique l'irréalité) -L19 «un autre grand homme» Suivi