La Technique échappe T Elle à La Raison

conscience, c’est la faculté, c’est-à-dire le pouvoir qu’a l’esprit de se représenter quelque chose. C’est donc la conscience qui fait que l’on n’est pas seulement dans le monde comme une chose enfouie perdue par les choses, mais que nous sommes devant le monde, c’est-à-dire comme un sujet se tenant face à un objet extérieur à lui-même. La conscience implique donc une certaine séparation, une certaine distanciation par rapport à ce sur quoi elle porte, c’est-à-dire son objet. On parle en ce sens

La Technique est elle une fin ou un moyen ? La Technique est un mot fabriqué au 18ième siècle à partir du terme grec « techné » qui signifie primitivement « savoir faire ». Le concept de  « technique » apparaît au moment où se met en place un nouveau type de production: la production par les machines. La société grecque est d’essence artisanale et semble incroyablement éloignée de ce que les modernes nomment aujourd’hui sous le concept de Technique. La Technique se distingue des techniques

Nous sommes habitués à penser que le sens d’une oeuvre d’art est soumis à la diversité et à la relativité des jugements de goût. Cette thèse peut se réclamer d’un constat historique. L’âge classique méprisait les cathédrales gothiques dont le romantisme fit l’éloge. Pour autant, les romantiques ne se sentirent pas tenus d’obéir aux dogmes de l’Église catholique. N’est-ce pas la preuve que la signification est indépendante de la destination initiale de l’oeuvre ? Le créateur a beau être animé par

Q6 : Les innovations techniques impliquent-elles de nouvelles responsabilités ?IntroductionAlors que la science et la technologie progressent chaque jour et améliorent notre quotidien, leurs avancées bousculent nos coutumes, notre manière de penser et notre éthique. Les progrès faits dans de nombreux domaine comme l’intelligence artificielle nous interrogent sur la place à accorder aux robots et aux menaces qu’ils représentent. Il est vrai que la technologie est, et devrait être, une passerelle vers

internationalisation des relations économiques et culturelles, en particulier par les acquisitions et fusions qu’elles opèrent. Ce constat ne doit cependant pas conduire à négliger le poids des modifications institutionnelles qui ont accompagné ou favorisé ce mouvement. Les analystes mettent également en avant les progrès techniques intervenus dans le domaine des transports et des communications. Jusqu’à un certain point, cette mondialisation ne constitue que le prolongement de l’ouverture des économies

Nature ou culture? Mais y a-t-il une nature de l'homme? Un effet est produit par une cause: le déterminisme s'exerce-t-il dans l'humain. Voir Sartre, la condition humaine. ENJEU: Si les guerres sont causées par la nature de l'homme peut-on envisager leur disparition? -Si les guerres sont un effet d'autre chose, la rareté par exemple, ne pourra-t-on les éviter en produisant davantage de biens par la technique. -==Recherche des idées: Origine de la guerre: a) Hegel, Le désir de reconnaissance:

obstacle à sa liberté ? Développement Nul doute que nous soyons nombreux à souhaiter n'avoir pas à travailler : le travail tend à nous apparaître comme une contrainte sociale déplaisante et pénible. Néanmoins il faudra travailler pour gagner sa vie et prendre ainsi sa place dans la société, au point que la majeure partie de notre vie semble être placée sous le signe du travail. Or le travail est avant tout une activité impliquant de se soumettre à des règles dont on ne décide pas : il y a un savoir-faire

le roman des gares et celui de la pulsion de mort. Roubaud, sous-chef de gare au Havre, a dû se rendre à Paris. li attend sa femme, Séverine, au cinquième étage d’un immeuble de l’impasse d’Amsterdam d’où il contemple la gare Saint-Lazare. Au retour de la jeune femme, il apprend brutalement que le président Grandmorin, auquel il doit tout, abuse d’elle depuis son enfance. Fou de jalousie, il contraint Séverine à écrire au vieillard pour l’attirer dans l’express de six heures trente qui doit les ramener

donc qu’une démocratie sinon que le pouvoir qu’une société se donne à elle-même pour se faire être quelque chose dans l’avenir ? La démocratie est donc une société qui fonctionne à l’autorité.Il faut donc bien apprendre les mots, car ils ont une signification différente. Il faut essayer de faire la différence entre les mots que l’on utilise tel quel, utilisé par tous, et les notions. Aujourd’hui dans le débat politique et social il y a des mots qui créent des désaccords et font disjoncter des personnes

indispensable à l’épanouissement de l’homme. Un état auquel il aspire, qu’il revendique, pour lequel il combat. La liberté. Ce n’est pas seulement le souhait des adolescents qui désirent s’affranchir de la tutelle de leurs parents et de leurs professeurs. C’est, et ce fut le souhait de millions d’hommes, de tous les temps. Un souhait puissant et constant. Mais interrogeons-les. Interrogeons-nous. Nous sentons-nous libres ? Sommes-nous libres ? Demandons-le au chômeur et au malade. Au Somalien et à l’Irakien